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27 recherche sur le mot-clé 'Eve Newman'
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Titre : Bullhead Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Michaël R. Roskam, Metteur en scène, réalisateur ; Schoenaerts, Matthias, Acteur ; Perceval, Jaroen, Acteur ; Dandoy, Jeanne, Acteur Editeur : Paris : Ad Vitam Année de publication : 2012 Importance : 1 dvd Présentation : 122 min (sans les suppléments) ISBN/ISSN/EAN : 3700754100182 Langues : Français (fre) Néerlandais (nla) Langues originales : Néerlandais (dut) Français (fre) Néerlandais (nla) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheMots-clés : mafia hormones élevage bétail film noir masculinité testostérone ferme flamande événement traumatique homosexualité émasculation polar vengeance Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Interdit aux moins de 12 ans
Jacky est issu d'une importante famille d'agriculteurs et d'engraisseurs du sud du Limbourg. A 33 ans, il apparaît comme un être renfermé et imprévisible, parfois violent… Grâce à sa collaboration avec un vétérinaire corrompu, Jacky s’est forgé une belle place dans le milieu de la mafia des hormones. Alors qu’il est en passe de conclure un marché exclusif avec le plus puissant des trafiquants d'hormones de Flandre occidentale, un agent fédéral est assassiné. C’est le branle-bas de combat parmi les policiers. Les choses se compliquent pour Jacky et tandis que l’étau se resserre autour de lui, tout son passé, et ses lourds secrets, ressurgissent…Note de contenu : Suppléments:
- entretien avec Matthias Schoenaerts
- courts-métrages de Michaël R. Roskam : "The one thing to do" et "Carlo"
- Bande-annonceGenre : Drame psychologique, drame social, film policier Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Bullhead [document projeté ou vidéo] / Michaël R. Roskam, Metteur en scène, réalisateur ; Schoenaerts, Matthias, Acteur ; Perceval, Jaroen, Acteur ; Dandoy, Jeanne, Acteur . - Paris : Ad Vitam, 2012 . - 1 dvd : 122 min (sans les suppléments).
ISSN : 3700754100182
Langues : Français (fre) Néerlandais (nla) Langues originales : Néerlandais (dut) Français (fre) Néerlandais (nla)
Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Géographie:Géographie humaine:Agriculture / élevage / pêcheMots-clés : mafia hormones élevage bétail film noir masculinité testostérone ferme flamande événement traumatique homosexualité émasculation polar vengeance Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Interdit aux moins de 12 ans
Jacky est issu d'une importante famille d'agriculteurs et d'engraisseurs du sud du Limbourg. A 33 ans, il apparaît comme un être renfermé et imprévisible, parfois violent… Grâce à sa collaboration avec un vétérinaire corrompu, Jacky s’est forgé une belle place dans le milieu de la mafia des hormones. Alors qu’il est en passe de conclure un marché exclusif avec le plus puissant des trafiquants d'hormones de Flandre occidentale, un agent fédéral est assassiné. C’est le branle-bas de combat parmi les policiers. Les choses se compliquent pour Jacky et tandis que l’étau se resserre autour de lui, tout son passé, et ses lourds secrets, ressurgissent…Note de contenu : Suppléments:
- entretien avec Matthias Schoenaerts
- courts-métrages de Michaël R. Roskam : "The one thing to do" et "Carlo"
- Bande-annonceGenre : Drame psychologique, drame social, film policier Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104246 92.7 N.1.2096 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
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[article]
Titre : Crises rhétoriques, crises démocratiques : La rhétorique de la catastrophe Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 41-56 Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours) Mots-clés : Shoah Auschwitz historiographie événement révision rhétorique catastrophe pathos hyperbole mémoire collective. Index. décimale : 10 Communication Résumé : A la charnière du XXe au XXIe siècle s’est mis en place un dispositif intellectuel et mental qui tend à accorder à l’« événement Auschwitz » le statut, sur le plan historiographique,d’unematrice pour une révision et une réévaluation de toute l’histoire de l’occident moderne et, sur le plan mémoriel, celui d’un événement sursignifiant à partir duquel doivent s’élaborer les orientations normatives, politiques et juridiques des sociétés contemporaines. sans négliger les enjeux historiographiques de ces relectures, cet article s’intéresse surtout à leur rhétorique laquelle, mobilisant le pathos et l’hyperbole, a engendré une doxa fondée sur quelques postulats : « Auschwitz » serait un événement qui échappe à la raison, absolument unique, incomparable et irreprésentable. ce faisant, l’événement se voit complètement decontextualisé, soustrait à l’histoire, pour devenir un pur objet métaphysique livré à des spéculations théologiques et mystiques. dans sa radicalité actuelle cette rhétorique semble ainsi recycler, sous le signe de la « dernière catastrophe », tous les schémas de pensée catastrophistes et apocalyptiques propres à toutes les théologies politiques qui n’ont eu de cesse de proclamer l’échec de la raison, l’inanité de l’idéologie du progrès et la fin de tout projet d’amélioration et d’émancipation de l’homme et de la société. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/
in Questions de communication > 12 (2007) . - 41-56[article] Crises rhétoriques, crises démocratiques : La rhétorique de la catastrophe [texte imprimé] . - 2008 . - 41-56.
Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 12 (2007) . - 41-56
Catégories : Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours) Mots-clés : Shoah Auschwitz historiographie événement révision rhétorique catastrophe pathos hyperbole mémoire collective. Index. décimale : 10 Communication Résumé : A la charnière du XXe au XXIe siècle s’est mis en place un dispositif intellectuel et mental qui tend à accorder à l’« événement Auschwitz » le statut, sur le plan historiographique,d’unematrice pour une révision et une réévaluation de toute l’histoire de l’occident moderne et, sur le plan mémoriel, celui d’un événement sursignifiant à partir duquel doivent s’élaborer les orientations normatives, politiques et juridiques des sociétés contemporaines. sans négliger les enjeux historiographiques de ces relectures, cet article s’intéresse surtout à leur rhétorique laquelle, mobilisant le pathos et l’hyperbole, a engendré une doxa fondée sur quelques postulats : « Auschwitz » serait un événement qui échappe à la raison, absolument unique, incomparable et irreprésentable. ce faisant, l’événement se voit complètement decontextualisé, soustrait à l’histoire, pour devenir un pur objet métaphysique livré à des spéculations théologiques et mystiques. dans sa radicalité actuelle cette rhétorique semble ainsi recycler, sous le signe de la « dernière catastrophe », tous les schémas de pensée catastrophistes et apocalyptiques propres à toutes les théologies politiques qui n’ont eu de cesse de proclamer l’échec de la raison, l’inanité de l’idéologie du progrès et la fin de tout projet d’amélioration et d’émancipation de l’homme et de la société. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300021 10 H.1.03200/12 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[article]
Titre : Echanges : RÉPLIQUE : QUELLE VÉRITÉ POUR LES MÉDIAS ? QUELLE VÉRITÉ POUR LE CHERCHEUR ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 181-194 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel Mots-clés : Médias et conflits sphère publique journalisme objectivité/subjectivité vérité événement et récit information image effets visés/effets possibles/effets produits. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Il s’agit d’une réplique, donc d’une réaction à un écrit qui pose un certain nombre de questions concernant le traitement médiatique du conflit israélo-palestinien et débouche, au-delà, sur une critique globale des médias. Cela a amené l’auteur de cette réplique à se demander : de quelle vérité les médias peuvent-ils être porteurs, mais aussi quelle vérité le chercheur peut-il atteindre et quelle doit être sa posture. Pour ce qui concerne les médias, l’auteur s’applique à comparer le traitement du conflit incriminé avec celui du conflit bosniaque qui fut analysé par le Centre d’analyse du discours et tente de voir s’il y a une spécificité de chacun d’eux ou s’il y a une constante dans le traitement d’un conflit quel qu’il soit par les médias. Pour ce qui concerne la posture du chercheur, est proposée, à partir d’une série de question une réflexion sur ce que devrait être l’éthique du chercheur. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/
in Questions de communication > 9 (2006) . - 181-194[article] Echanges : RÉPLIQUE : QUELLE VÉRITÉ POUR LES MÉDIAS ? QUELLE VÉRITÉ POUR LE CHERCHEUR ? [texte imprimé] . - 2008 . - 181-194.
Langues : Français (fre)
in Questions de communication > 9 (2006) . - 181-194
Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux sur la communication et l'audiovisuel Mots-clés : Médias et conflits sphère publique journalisme objectivité/subjectivité vérité événement et récit information image effets visés/effets possibles/effets produits. Index. décimale : 10 Communication Résumé : Il s’agit d’une réplique, donc d’une réaction à un écrit qui pose un certain nombre de questions concernant le traitement médiatique du conflit israélo-palestinien et débouche, au-delà, sur une critique globale des médias. Cela a amené l’auteur de cette réplique à se demander : de quelle vérité les médias peuvent-ils être porteurs, mais aussi quelle vérité le chercheur peut-il atteindre et quelle doit être sa posture. Pour ce qui concerne les médias, l’auteur s’applique à comparer le traitement du conflit incriminé avec celui du conflit bosniaque qui fut analysé par le Centre d’analyse du discours et tente de voir s’il y a une spécificité de chacun d’eux ou s’il y a une constante dans le traitement d’un conflit quel qu’il soit par les médias. Pour ce qui concerne la posture du chercheur, est proposée, à partir d’une série de question une réflexion sur ce que devrait être l’éthique du chercheur. En ligne : http://ques2com.ciril.fr/ Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300026 10 H.1.03200/9 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt L'homme de la plaine / Bernard Benoliel
Titre : L'homme de la plaine : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Benoliel, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 9872866423962 Note générale :
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
L'homme de la plaine : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Bernard Benoliel, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2004. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866423962
L’Homme de la plaine (The Man from Laramie) est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en 1955.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L’Homme de la plaine The Man from Laramie Anthony Mann Philip Yordan Frank Burt Saturday Evening Post Thomas T. Flynn William Goetz Columbia Pictures George Duning Lester Lee Charles Lang William A. Lyon James Stewart Arthur Kennedy Donald Crisp Cathy O'Donnell Alex Nicol Aline MacMahon Wallace Ford Jack Elam John War Eagle James Millican Gregg Barton Boyd Stockman Frank DeKova Western Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Will Lockhart convoie des marchandises en provenance de Laramie, il approche bientôt de Coronado. Dans ce lieu perdu jouxtant un territoire apache, une colonne de l'armée a été récemment décimée par les indiens. Les marchandises livrées, Will Lockart s'attarde. Il apprend vite, et à ses dépens, que la ville a un maître tyrannique, Alec Waggoman, flanqué d'un fils caractériel sur lequel personne ne semble avoir prise.
Note de contenu :
Une étude sur l'un des classiques du genre western, réalisé par Anthony Mann : paysage, espace et couleurs bénéficient du format Cinémascope, tandis qu'une caméra contemplative raconte une violente histoire de vengeance.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302232 19 H.1.02669 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Citizen Kane / Jean Roy
PermalinkUn coin jardin dans l’école (flash) / Laszlo Mécs
PermalinkUn coin jardin dans l’école (flash) / Laszlo Mécs
PermalinkJeux d'autrefois / Annie Thonon
PermalinkMétiers de la nuit / Bernard Faure
PermalinkLa nourriture des animaux de la ferme / Rita Feroumont
PermalinkNous créons une médiathèque / Jean Govaers
PermalinkAu zoo : la journée d'un singe / Paul Krellstein
PermalinkUn bon dessert / Jean Govaers
PermalinkUn coin jardin dans mon école / Laszlo Mécs
PermalinkDes expériences et des découvertes / Jo Vanherenthals
PermalinkLe garde forestier / Charles Godefroid
PermalinkLa grenouille
PermalinkJe suis piéton / Gibus
PermalinkLe jour et la nuit / Alexandre Podolski
PermalinkLe mortier et le pilon / Radio-Télévision Belge (RTB)
PermalinkLa poubelle / Gilles Gay
PermalinkPourquoi la visite médicale? / Charles Godefroid
PermalinkLa promenade / Paulo Van den Hove
PermalinkUn village en Afrique
PermalinkPuzzle : les animaux / Rita Feroumont
PermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
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