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19 : Monographies : films
Ouvrages de la bibliothèque en indexation 19


116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Fernando Arrabal
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernando Arrabal, Auteur Année de publication : 1971 Importance : 1 vol. (50 p.) Présentation : ill. Note générale : Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
116 - Juillet 1971 - L'avant-scène cinéma 116 - Viva la muerte [texte imprimé] / Fernando Arrabal, Auteur . - 1971 . - 1 vol. (50 p.) : ill.
Viva la muerte (en français : Vive la mort) est un film franco-tunisien réalisé par Fernando Arrabal et sorti en 1971. Fernando Arrabal en a écrit avec Claudine Lagrive le scénario d'après son livre semi-autobiographique Baal Babylone. Il est aussi acteur dans le film.
Viva la muerte était un cri de ralliement du camp franquiste pendant la guerre d'Espagne.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Viva la muerte Fernando Arrabal Férid Boughedir Claudine Lagrive Baal Babylone Jacques Poitrenaud Jean-Yves Bosseur
Ekkoleg jeu d'écho Grethe Agatz Siesta Eddie Barclay Édouard Ruault Raymond Le Sénéchal Jean-Marc Ripert Pierre-Louis Calvet Laurence Leininger Hachemi Marzouk Roland Topor Hassen Daldoul Jean Velter Isabelle Films SATPEC Accatone Mohamed Bellasoued Mahdi Chaouch Jean-Louis Chassigneux Suzanne Compte Núria Espert Anouk Ferjac Víctor García Ivan Henryques Jazia Klibi cinéma français cinéma tunisienIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Après la guerre d’Espagne et sous le régime franquiste, Fando, un garçon d’une dizaine d’années, cherche à comprendre pourquoi son père a disparu. Il ne tarde pas à découvrir que c’est sa mère, pieuse catholique, qui a dénoncé son mari antifasciste. Perturbé par ces révélations, Fando va enquêter pour savoir ce qu’est devenu son père. Dans un pays cadenassé par la censure et les interdits religieux, Fando, partagé entre haine et amour pour sa mère et l’espoir de retrouver son père vivant, va enfanter autant de délires sexuels que morbides ... Note de contenu : Note de contenu :
1. Article de Calude Mauriac : "Sur un chef-d'oeuvre interdit"
2. Découpage intégral du film de Fernando Arrabal Viva la muerte
3. La critique
4. René Laloux et Roland Topor : "Les temps morts" (court-métrage)
5. Luchino Visconti : "Mort à Venise" (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301686 19 H.1.01446 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 350 - Mai 1986 - L'avant-scène cinéma - L'histoire officielle, Luis Puenzo (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Luis Puenzo
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 350 - Mai 1986 - L'avant-scène cinéma - L'histoire officielle, Luis Puenzo Type de document : texte imprimé Auteurs : Luis Puenzo, Personne honorée Année de publication : 1986 Importance : 1 vol. (137 p.) Présentation : ill. Note générale : 'Histoire officielle (La historia oficial) est un film argentin réalisé par Luis Puenzo, sorti en 1985. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma argentin L'Histoire officielle La historia oficial Luis Puenzo Patricia Oyuela Luis Puenzo Aída Bortnik Marcelo Piñeyro Atilio Stampone Félix Monti Juan Carlos Macías Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Pendant la dictature argentine, Alicia et son mari chef militaire, ont adopté une fille, Gaby. Après le témoignage de sa meilleure amie, qui fut enlevée, sur les adoptions illégales qui se faisait contre le gré des mères emprisonnées, Alicia va mener son enquête, pour trouver la vérité sur l'origine de sa fille, et surtout retrouver la vraie famille de sa fille. Note de contenu : 1. Article de Paulo Paranagua : "L'histoire officielle"
2. Article de Paulo Paranagua : "Luis Puenzo, le réalisateur"
3. Article de Paulo Paranagua : "Aida Bortnik, la scénariste"
4. Article de Paulo Paranagua : "Argentine, une chronologie politique"
5. Découpage plan par plan et traduction du dialogue par Carmen Fernandez
6. La presse
7. Images du cinéma argentin, texte et dossier photos (commenté par Paulo Paranagua)
8. Chronique : le Festival des trois continents à NantesGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
350 - Mai 1986 - L'avant-scène cinéma - L'histoire officielle, Luis Puenzo [texte imprimé] / Luis Puenzo, Personne honorée . - 1986 . - 1 vol. (137 p.) : ill.
'Histoire officielle (La historia oficial) est un film argentin réalisé par Luis Puenzo, sorti en 1985.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma argentin L'Histoire officielle La historia oficial Luis Puenzo Patricia Oyuela Luis Puenzo Aída Bortnik Marcelo Piñeyro Atilio Stampone Félix Monti Juan Carlos Macías Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Pendant la dictature argentine, Alicia et son mari chef militaire, ont adopté une fille, Gaby. Après le témoignage de sa meilleure amie, qui fut enlevée, sur les adoptions illégales qui se faisait contre le gré des mères emprisonnées, Alicia va mener son enquête, pour trouver la vérité sur l'origine de sa fille, et surtout retrouver la vraie famille de sa fille. Note de contenu : 1. Article de Paulo Paranagua : "L'histoire officielle"
2. Article de Paulo Paranagua : "Luis Puenzo, le réalisateur"
3. Article de Paulo Paranagua : "Aida Bortnik, la scénariste"
4. Article de Paulo Paranagua : "Argentine, une chronologie politique"
5. Découpage plan par plan et traduction du dialogue par Carmen Fernandez
6. La presse
7. Images du cinéma argentin, texte et dossier photos (commenté par Paulo Paranagua)
8. Chronique : le Festival des trois continents à NantesGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301689 19 H.1.00913 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Jeanne Moreau
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Moreau (1928-....), Auteur Année de publication : 1964 Importance : 1 vol. (64 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
36 - Avril 1964 - L'avant-scène cinéma 36 - Le journal d'une femme de chambre [texte imprimé] / Jeanne Moreau (1928-....), Auteur . - 1964 . - 1 vol. (64 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Le Journal d'une femme de chambre Luis Buñuel Jean-Claude Carrière Octave Mirbeau Juan Luis Buñuel Pierre Lary Roger Fellous Adolphe Charlet René Schneider Agathe Beaumont Antoine Petitjean Robert Cambourakis Louisette Hautecoeur Arlette Lalande Georges Wakhevitch René Calviera Charles Mérangel Georges Wakhevitch Jacqueline Moreau Maguy Vernadet Simone Knapp Suzanne Durrenberger Jean-Louis Castelli André Ratbi Jean Van Praag Robert Demolière cinéma français Jeanne Moreau Georges Géret Michel Piccoli Françoise Lugagne Jean Ozenne Daniel Ivernel Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Dans les années 1930, Célestine, une femme de chambre de 32 ans, arrive de Paris pour entrer au service d'une famille de notables résidents au Prieuré, leur vaste domaine provincial. La maîtresse de maison, hautaine et dédaigneuse avec sa domesticité, est une puritaine frigide, maniaque du rangement et obsédée par la propreté. Célestine doit affronter les avances du mari sexuellement frustré, et elle gère avec toute la sérénité possible le fétichisme étrange du patriarche, un ancien cordonnier qui lui demande fréquemment de porter des bottines qu'il tient jalousement enfermées dans un placard.
Malgré sa répugnance, Célestine est contrainte de côtoyer Joseph, le palefrenier de ses patrons, un rustre aux tendances sadiques, raciste et activiste d'extrême droite qui a des vues sur elle, l'associant à son projet de s'établir bistrotier. Une petite fille pour laquelle Célestine s'est prise d'affection est violée et assassinée. Célestine est persuadée de la culpabilité de Joseph et feint d'accepter de devenir sa femme pour obtenir ses aveux. Devant son mutisme, elle fabrique de faux indices pour le confondre, tout cela en pure perte, car il est finalement innocenté et s'en ira ouvrir son bistro avec une autre femme.
Parallèlement, Célestine a entrepris de se faire épouser par un voisin de ses patrons, l'ex-capitaine Mauger, un retraité aisé, autoritaire et tonitruant qu'elle domine cependant en exerçant subtilement son pouvoir de séduction. Elle l'asservira une fois devenue sa femme.Note de contenu : Satire féroce d'une bourgeoisie provinciale dont l'hypocrisie de façade est démantelée (et exploitée) par une femme de chambre intelligente et subversive. Du choix d'un noir et blanc austère et de l'absence de musique résulte un portrait froid et quasiment clinique, mais néanmoins jouissif, des mœurs d'une bourgeoisie des années 1930. Du grand Buñuel, et une interprétation de Jeanne Moreau justement récompensée par le prix de la meilleure actrice au Festival international du film de Karlovy Vary.1. Article de Marcel Martin : "Cela s'appelle le crépuscule"
2. Texte intégral du "Journal d'une femme de chambre" de Luis Buñuel
3. Article de Marcel Martin : "L'oeuvre de Luis Buñuel"
4. Article de Marcel Oms : "Une seule certitude, la mort"
5. Texte intégral de "Las hurdes" (= "Terre sans pain") de Luis Buñuel
6. Becket, Peter Glenville (supplément photos)Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301687 19 H.1.01420 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 375-376 - Novembre-décembre 1988 - L'Avant-scène cinéma 375 - Bagdad café (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / Percy Adlon
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 375-376 - Novembre-décembre 1988 - L'Avant-scène cinéma 375 - Bagdad café Type de document : texte imprimé Auteurs : Percy Adlon, Auteur Année de publication : 1988 Importance : 1 vol. (146 p.) Présentation : ill. Note générale : Bagdad Café (Out of Rosenheim) est un film allemand réalisé par Percy Adlon et sorti en 1987. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Bagdad Café Out of Rosenheim Percy Adlon Eleonore Adlon
Christopher Doherty Bob Telson Marianne Sägebrecht CCH Pounder Jack Palance Christine KaufmannIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Le Bagdad Café, motel pourvu d'un bar sans licence de vente d'alcool, est situé dans une zone désertique près de Las Vegas et longeant la célèbre Route 66. Jasmine (Marianne Sägebrecht), une touriste allemande abandonnée par son mari en plein désert y échoue avec, comme tout bagage, une valise contenant une garde-robe masculine et un jeu de magie. Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
375-376 - Novembre-décembre 1988 - L'Avant-scène cinéma 375 - Bagdad café [texte imprimé] / Percy Adlon, Auteur . - 1988 . - 1 vol. (146 p.) : ill.
Bagdad Café (Out of Rosenheim) est un film allemand réalisé par Percy Adlon et sorti en 1987.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Bagdad Café Out of Rosenheim Percy Adlon Eleonore Adlon
Christopher Doherty Bob Telson Marianne Sägebrecht CCH Pounder Jack Palance Christine KaufmannIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Le Bagdad Café, motel pourvu d'un bar sans licence de vente d'alcool, est situé dans une zone désertique près de Las Vegas et longeant la célèbre Route 66. Jasmine (Marianne Sägebrecht), une touriste allemande abandonnée par son mari en plein désert y échoue avec, comme tout bagage, une valise contenant une garde-robe masculine et un jeu de magie. Genre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302188 19 H.1.00767 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 385 - Octobre 1989 - L'avant-scène cinéma 385 - Sierra de Teruel et Espoir d'André Malraux (Bulletin de L'avant-scène : Cinéma) / André Malraux
[n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
Titre : 385 - Octobre 1989 - L'avant-scène cinéma 385 - Sierra de Teruel et Espoir d'André Malraux Type de document : texte imprimé Auteurs : André Malraux, Auteur Année de publication : 1989 Importance : 1 vol. (120 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Espoir : Sierra de Teruel André Malraux Antonio del Amo Max Aub Denis Marion Boris Peskine L'Espoir Édouard Corniglion-Molinier Roland Tual Darius Milhaud Louis Page André Thomas Georges Grace José Sempere Andrès Mejuto Nicolas Rodriguez José Lado Julio Pena Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Le tournage s'est déroulé en 1938 dans la ville de Tarragone en Catalogne, et à Collbató et Montserrat, dans la région de Barcelone.
Malraux participa à la Guerre d'Espagne dans les brigades internationales. Il en retira un roman L'Espoir sorti en 1937, mais également ce film, tourné en Espagne en 1938 aux derniers mois de la République espagnole.
Le livre et le film se recoupent largement, le roman développant et amplifiant les personnages et l'action. À noter que le titre du roman comporte un article défini, alors que le titre du film en est dépourvu.
Espoir est le seul film d'André Malraux.
En 1945, la version française, par Maurice Schumann qui présente le film à l'écran, accrédite l'idée d'une continuité entre les Républicains Espagnols et les Résistants Français.
Note de contenu : 1. Article de Marcel Oms : "Ce qu'il reste de "L'espoir""
2. Annexes : Repères chronologiques ; Film, roman, découpage ; Prologue de Maurice Schumann au film
3. Article de Max Aub : "Histoire du film"
4. Article d'André Camp : "Max Aub, mon grand frère"
5. Espoir/ Sierra de Teruel d'André Malraux. Texte établi par MAx Aub ; traduction André Camp ; Dialogue bilingue
6. Festival
7. Mémorial Joris IvensGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin]
est un bulletin de L'avant-scène : Cinéma / Jacques G. Perret
385 - Octobre 1989 - L'avant-scène cinéma 385 - Sierra de Teruel et Espoir d'André Malraux [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - 1989 . - 1 vol. (120 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Espoir : Sierra de Teruel André Malraux Antonio del Amo Max Aub Denis Marion Boris Peskine L'Espoir Édouard Corniglion-Molinier Roland Tual Darius Milhaud Louis Page André Thomas Georges Grace José Sempere Andrès Mejuto Nicolas Rodriguez José Lado Julio Pena Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Le tournage s'est déroulé en 1938 dans la ville de Tarragone en Catalogne, et à Collbató et Montserrat, dans la région de Barcelone.
Malraux participa à la Guerre d'Espagne dans les brigades internationales. Il en retira un roman L'Espoir sorti en 1937, mais également ce film, tourné en Espagne en 1938 aux derniers mois de la République espagnole.
Le livre et le film se recoupent largement, le roman développant et amplifiant les personnages et l'action. À noter que le titre du roman comporte un article défini, alors que le titre du film en est dépourvu.
Espoir est le seul film d'André Malraux.
En 1945, la version française, par Maurice Schumann qui présente le film à l'écran, accrédite l'idée d'une continuité entre les Républicains Espagnols et les Résistants Français.
Note de contenu : 1. Article de Marcel Oms : "Ce qu'il reste de "L'espoir""
2. Annexes : Repères chronologiques ; Film, roman, découpage ; Prologue de Maurice Schumann au film
3. Article de Max Aub : "Histoire du film"
4. Article d'André Camp : "Max Aub, mon grand frère"
5. Espoir/ Sierra de Teruel d'André Malraux. Texte établi par MAx Aub ; traduction André Camp ; Dialogue bilingue
6. Festival
7. Mémorial Joris IvensGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301690 19 H.1.00798 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Anatomie d'un film Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Mandelbaum, Auteur Editeur : Grasset Année de publication : 2009 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-71111-7 Note générale :
Parc est un film français réalisé par Arnaud des Pallières sorti en salles le 14 janvier 2009.Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Parc Arnaud des Pallières Bullet Park John Cheever Jeanne Lapoirie Martin Wheeler Les Films d'ici Sergi Lopez Jean-Marc Barr Nathalie Richard Laurent Delbecque Delphine Chuillot Jean-Pierre Kalfon Laszlo Szabo Geraldine Chaplin Judith Henry Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Georges Clou habite au Parc, luxueuse ville privée de la Côte d’Azur. Il aime sa femme, son fils, sa maison et son chien. Va au bureau le matin, à l’église le dimanche, indifférent à l’agitation sociale qui secoue le pays. Riche, solitaire, Paul Marteau traîne une existence mélancolique et désœuvrée. Déchiré entre la sévérité du jugement qu’il porte sur le monde et son désir d’y appartenir, Marteau s’installe au Parc. Clou y voit l’occasion d’une sincère amitié. Marteau y trouve une nouvelle raison de vivre : détruire l’idéal de bonheur de l’homme occidental incarné par la famille Clou.
Note de contenu :
Raconter comment un film se monte aujourd'hui en France. Passer derrière l'écran, rencontrer les acteurs, sonder les partenaires financiers, se heurter aux agents, explorer les circuits de diffusion et de distribution, évaluer le poids des chaînes de télévision, décrire les tourments d'un tournage, les affres d'une sélection dans un grand festival, les angoisses inhérentes à tout processus de création. Ni monographie ni journal de tournage, l'enquête de Jacques Mandelbaum raconte avec précision les étapes de fabrication d'un film, signé Arnaud des Pallières, l'un des réalisateurs les plus ambitieux de la nouvelle génération: Parc. A travers ce cas d'école, c'est l'histoire exemplaire du cinéma d'auteur, à une époque où jamais le financement n'en a été aussi périlleux et imprévisible.
En ligne : http://www.amazon.fr/Anatomie-dun-film-Jacques-Mandelbaum/dp/2246711118%3FSubscr [...] Anatomie d'un film [texte imprimé] / Jacques Mandelbaum, Auteur . - [S.l.] : Grasset, 2009 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-246-71111-7
Parc est un film français réalisé par Arnaud des Pallières sorti en salles le 14 janvier 2009.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Parc Arnaud des Pallières Bullet Park John Cheever Jeanne Lapoirie Martin Wheeler Les Films d'ici Sergi Lopez Jean-Marc Barr Nathalie Richard Laurent Delbecque Delphine Chuillot Jean-Pierre Kalfon Laszlo Szabo Geraldine Chaplin Judith Henry Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Georges Clou habite au Parc, luxueuse ville privée de la Côte d’Azur. Il aime sa femme, son fils, sa maison et son chien. Va au bureau le matin, à l’église le dimanche, indifférent à l’agitation sociale qui secoue le pays. Riche, solitaire, Paul Marteau traîne une existence mélancolique et désœuvrée. Déchiré entre la sévérité du jugement qu’il porte sur le monde et son désir d’y appartenir, Marteau s’installe au Parc. Clou y voit l’occasion d’une sincère amitié. Marteau y trouve une nouvelle raison de vivre : détruire l’idéal de bonheur de l’homme occidental incarné par la famille Clou.
Note de contenu :
Raconter comment un film se monte aujourd'hui en France. Passer derrière l'écran, rencontrer les acteurs, sonder les partenaires financiers, se heurter aux agents, explorer les circuits de diffusion et de distribution, évaluer le poids des chaînes de télévision, décrire les tourments d'un tournage, les affres d'une sélection dans un grand festival, les angoisses inhérentes à tout processus de création. Ni monographie ni journal de tournage, l'enquête de Jacques Mandelbaum raconte avec précision les étapes de fabrication d'un film, signé Arnaud des Pallières, l'un des réalisateurs les plus ambitieux de la nouvelle génération: Parc. A travers ce cas d'école, c'est l'histoire exemplaire du cinéma d'auteur, à une époque où jamais le financement n'en a été aussi périlleux et imprévisible.
En ligne : http://www.amazon.fr/Anatomie-dun-film-Jacques-Mandelbaum/dp/2246711118%3FSubscr [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300738 19 H.1.03940 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300738URLL'aurore / Joël Magny
Accompagne L'aurore / Friedrich Wilhelm Murnau
Titre : L'aurore : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-435-0 Note générale :
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
Accompagne L'aurore / Friedrich Wilhelm Murnau
L'aurore : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Cahiers du Cinéma : France : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-435-0
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302234 19 H.1.2776 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Carnets de voyage : Diarios de motocicleta, un film de Walter Salles Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Importance : 51 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Che Guevara minorités discrimination communisme Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : En 1952, deux jeunes Argentins, Alberto Granado (biochimiste) et Ernesto Guevara (étudiant en dernière année de médecine), décident de partir à la découverte du continent sud-américain. Pour mener à bien ce long périple, ils comptent sur une vieille moto qu'ils baptisent «La Vigoureuse»... Au fil de leur voyage, ils rencontrent la misère sociale, l'isolement et l'impuissance des plus démunis, comme ces Indiens chassés de leurs terres et contraints de risquer leur vie dans la mine pour survivre, ou encore ces lépreux coupés du monde, à qui ils vont apporter des soins mais surtout un peu de chaleur humaine... Cette expérience sera déterminante pour les deux compagnons, en particulier pour le futur «Che», un jeune homme idéaliste, intègre et désormais déterminé à consacrer sa vie à la lutte contre l'injustice sociale.Film biographique sur la jeunesse de Che Guevara, Carnets de voyage est loin d'être un film militant et engagé. C'est d'abord le récit humoristique d'une expérience personnelle très forte débouchant sur une prise de conscience politique. En ce sens, le film de Walter Salles présente un intérêt remarquable pour de jeunes spectateurs, qui se réapproprient d'ailleurs aujourd'hui - et de manière assez symptomatique - l'effigie du célèbre Commandant assassiné en 1967. Note de contenu : Sommaire :
->Un voyage, deux personnalités
->Parcours géographique et cheminement personnel
->Che Guevara entre mythe et réalité
->Mise en scène d'une prise de consciencePays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire et supérieur Carnets de voyage : Diarios de motocicleta, un film de Walter Salles [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 2004 . - 51 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Che Guevara minorités discrimination communisme Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : En 1952, deux jeunes Argentins, Alberto Granado (biochimiste) et Ernesto Guevara (étudiant en dernière année de médecine), décident de partir à la découverte du continent sud-américain. Pour mener à bien ce long périple, ils comptent sur une vieille moto qu'ils baptisent «La Vigoureuse»... Au fil de leur voyage, ils rencontrent la misère sociale, l'isolement et l'impuissance des plus démunis, comme ces Indiens chassés de leurs terres et contraints de risquer leur vie dans la mine pour survivre, ou encore ces lépreux coupés du monde, à qui ils vont apporter des soins mais surtout un peu de chaleur humaine... Cette expérience sera déterminante pour les deux compagnons, en particulier pour le futur «Che», un jeune homme idéaliste, intègre et désormais déterminé à consacrer sa vie à la lutte contre l'injustice sociale.Film biographique sur la jeunesse de Che Guevara, Carnets de voyage est loin d'être un film militant et engagé. C'est d'abord le récit humoristique d'une expérience personnelle très forte débouchant sur une prise de conscience politique. En ce sens, le film de Walter Salles présente un intérêt remarquable pour de jeunes spectateurs, qui se réapproprient d'ailleurs aujourd'hui - et de manière assez symptomatique - l'effigie du célèbre Commandant assassiné en 1967. Note de contenu : Sommaire :
->Un voyage, deux personnalités
->Parcours géographique et cheminement personnel
->Che Guevara entre mythe et réalité
->Mise en scène d'une prise de consciencePays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire et supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305173 19 H.1.04340/40 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401254.jpgImage Jpeg
Titre : Le cinéma documentaire : une approche à travers trois films récents Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2006 Importance : 45 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignementMots-clés : Congo climat terrorisme répression Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : À travers trois documentaires fort différents par leur forme et par leurs thèmes - les maux endémiques qui frappent le Congo et ses populations (Congo River de Thierry Michel); les débordements inadmissibles de la politique anti-terroriste américaine menée au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 (The Road to Guantanamo de Mat Whitecross et Michael Winterbottom); la description de l'écosystème de la banquise arctique et les menaces qui pèsent aujourd'hui sur elle (La Planète blanche de Thierry Piantanida et Thierry Ragobert) -, ce dossier pédagogique a pour objectif de mettre à la disposition des enseignants quelques méthodes générales pour exploiter en classe la vision de ce genre de films où l'objectivité apparente des images masque souvent un propos plus ou moins complexe.
Les outils proposés doivent permettre une mise en perspective des différents moyens mis en oeuvre par les documentaristes pour amener le spectateur à partager une analyse ou un point de vue personnel sur la réalité: on espère ainsi fournir aux jeunes participants des instruments leur permettant d'adopter une attitude réfléchie par rapport à ce regard forcément partiel et orienté.Note de contenu : Sommaire :
->Qu'est-ce qu'un documentaire ?
->Documentaire et reportage
->Documentaire et fiction réaliste
->La «force» des images
->Dégager, organiser, interpréter des observations
Pays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire et supérieur Le cinéma documentaire : une approche à travers trois films récents [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 2006 . - 45 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignementMots-clés : Congo climat terrorisme répression Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : À travers trois documentaires fort différents par leur forme et par leurs thèmes - les maux endémiques qui frappent le Congo et ses populations (Congo River de Thierry Michel); les débordements inadmissibles de la politique anti-terroriste américaine menée au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 (The Road to Guantanamo de Mat Whitecross et Michael Winterbottom); la description de l'écosystème de la banquise arctique et les menaces qui pèsent aujourd'hui sur elle (La Planète blanche de Thierry Piantanida et Thierry Ragobert) -, ce dossier pédagogique a pour objectif de mettre à la disposition des enseignants quelques méthodes générales pour exploiter en classe la vision de ce genre de films où l'objectivité apparente des images masque souvent un propos plus ou moins complexe.
Les outils proposés doivent permettre une mise en perspective des différents moyens mis en oeuvre par les documentaristes pour amener le spectateur à partager une analyse ou un point de vue personnel sur la réalité: on espère ainsi fournir aux jeunes participants des instruments leur permettant d'adopter une attitude réfléchie par rapport à ce regard forcément partiel et orienté.Note de contenu : Sommaire :
->Qu'est-ce qu'un documentaire ?
->Documentaire et reportage
->Documentaire et fiction réaliste
->La «force» des images
->Dégager, organiser, interpréter des observations
Pays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire et supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305194 19 H.1.04340/41 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401253.jpgImage JpegCitizen Kane / Jean Roy
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Titre : Citizen Kane Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Roy, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1989 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-188622-0 Note générale :
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Accompagne Citizen Kane / Orson Welles
Citizen Kane [texte imprimé] / Jean Roy, Auteur . - Paris : Nathan, 1989.
ISBN : 978-2-09-188622-0
Citizen Kane est un film dramatique américain réalisé par Orson Welles sorti en 1941, considéré par l'American Film Institute comme le meilleur film de tous les temps et particulièrement vanté pour ses innovations cinématographiques, musicales et narratives.
* Oscar du meilleur scénario original 1941 (décerné en 1942)
* National Film Registry 1989 : Sélectionné et conservé à la Bibliothèque du Congrès américain.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 2002 par 108 réalisateurs et 144 critiques internationaux consultés par la revue britannique "Sight and Sound" du British Film Institute.
* Élu « Meilleur film de tous les temps » en 1997 et 2007 par l'American Film Institute.
Le film a été tourné aux studios de la RKO à Hollywood (Californie) du 29 juin au 23 octobre 1940.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Citizen Kane Orson Welles Herman J. Mankiewicz Bernard Herrmann Van Nest Polglase Darrell Silvera Edward Stevenson Gregg Toland Harry J. Wild Vernon L. Walker Bailey Fesler James G. Stewart Robert Wise Orson Welles Mercury Productions RKO Pictures Buddy Swan Joseph Cotten Dorothy Comingore Agnes Moorehead Harry Shannon Sonny Bupp Ruth Warrick Ray Collins Erskine Sanford Everett Sloane William Alland Paul Stewart George Coulouris Fortunio Bonanova Gus Schilling Georgia Backus Charles Bennett Alan Ladd Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au début des années 1940, Charles Foster Kane meurt dans son manoir de Xanadu, en prononçant dans un dernier souffle « Rosebud » en laissant échapper une « boule à neige ». Ce dernier mot énigmatique attise la curiosité de la presse. Le journaliste Thompson est chargé de percer le mystère et va rencontrer tous ceux qui l'ont connu. Ces rencontres au présent où l'on plonge dans ses souvenirs sont accompagnées à chaque fois de flashbacks qui lèvent toujours un peu plus le voile sur sa vie.
Tout jeune, il a dû quitter sa mère, qui se trouvait par hasard héritière d’une mine d’or, pour être élevé par un financier dans la perspective de sa fortune à venir. Devenu un grand magnat de la presse, il épouse la nièce du président des États-Unis et espère faire une carrière politique, carrière qui s'interrompt lorsque l'on apprend qu'il trompe sa femme avec Susan, une pseudo-cantatrice. Sa femme demande le divorce et Kane épouse alors Susan, qui se sépare de lui par la suite. Kane finit par mourir seul dans son immense manoir inachevé.
Chaque personne qui l'a côtoyé, comme Thatcher, Mr Bernstein, Jedediah Leland, Susan Alexander Kane et son majordome, a une perception bien particulière du personnage, souvent très différente de celle des autres : les récits, même entrecroisés, ne font donc qu'éclairer certains aspects ponctuels de Charles Foster Kane.
* Il s'agit du premier film du réalisateur, et les acteurs proviennent pour la plupart de son groupe de théâtre : le Mercury Theatre.
* Le titre initial devait être American.
* Pour Kane, Orson Welles s'est inspiré d'un personnage réel : William Randolph Hearst (1863-1951), qui s'était réfugié dans un château, le Hearst Castle, à la fin de sa vie, comme Kane à Xanadu dans le film. Toutefois, d'autres sources, et certains auteurs comme Peter Harry Brown et Pat H. Broeske, ont fait valoir que le film devait être, à l'origine, une biographie plus ou moins fidèle du millionnaire Howard Hughes, alors autant connu pour ses entreprises cinématographiques (Les Anges de l'enfer, Scarface), pour ses records et ses activités dans l'aviation, que pour certaines de ses excentricités : il était victime de troubles obsessionnels compulsifs, lui faisant par exemple répéter plusieurs fois de suite la même phrase, et souffrait d'une phobie des microbes. L'ironie veut que Howard Hughes soit devenu quelques années plus tard le patron de la RKO qui a produit le film.
* Les tentatives d'interdire le film par Hearst ont donné lieu à un documentaire télévisé intitulé The Battle Over Citizen Kane.
* Rosebud, le fameux mot-clé prononcé par Kane, veut dire littéralement « bouton de rose ». On dit que ce mot était utilisé par William Randolph Hearst pour désigner le clitoris de sa maîtresse, Marion Davies (ce mot est également employé par La Mettrie pour désigner le clitoris, notamment dans L'Art de jouir). Certains estiment que c'est une des raisons pour lesquelles William Randolph Hearst a essayé d'interdire le film à sa sortie.
* Orson Welles a dit à propos de son film : "Le public est seul juge. Kane est à la fois un idéaliste et un escroc, un très grand homme et un individu médiocre. Tout dépend de celui qui en parle. Il n'est jamais vu à travers l'œil objectif d'un auteur. Le but du film réside d'ailleurs plus dans la présentation du problème que dans sa solution."
Note de contenu :
La collection Synopsis présente à tous ceux qui s'intéressent au cinéma et à l'étude des films l'une des œuvres maîtresses de l'histoire du cinéma. Chaque étude comporte une biographie du réalisateur, un résumé du film, la description de sa structure dramatique et narrative, l'analyse de ses thèmes principaux, de ses personnages, de ses particularités esthétiques et de séquences illustrées. Extraits critiques et bibliographie permettent de prolonger la réflexion. Critique de cinéma, délégué général de la Semaine de la critique au festival de Cannes, Jean Roy est secrétaire général de la Fédération internationale de la presse cinématographique. Il est l'auteur de Pour John, Ford.
Le narrateur de Citizen Kane est omniprésent et omnipotent. En attestent la première et la dernière scène du film. Ainsi, dès le début du film, la pancarte filmée en gros plan sur laquelle on lit « No trespassing » (« Défense d'entrer ») est immédiatement transgressée par la caméra qui franchit les grilles de Xanadu. Ensuite, la caméra finit par arriver devant la fenêtre de Kane, et par un champ-contrechamp, passe outre cette barrière de verre pour s’immiscer dans la vie du vieillard. De même, lors de la conclusion du film, la caméra décrit des arabesques au cœur des innombrables objets laissés par Kane pour aboutir simplement sur une luge dont se saisit un ouvrier ou un domestique pour la livrer aux flammes. L’œil de la caméra aura encore le temps de se rapprocher suffisamment de l’inscription que porte le jouet avant que l’action de la chaleur ne la fasse définitivement disparaître : « Rosebud », le mot qu’avait prononcé le mourant.
Contrairement aux traditions de l’époque, Welles décide de raconter la vie de Charles Foster Kane sous la forme de flashbacks. Cependant, afin de ne pas perdre le spectateur, le réalisateur prend la peine de réaliser un « sommaire » grâce à la scène de la bande d’actualité, qui résume la vie de Kane. D’autre part, les flashbacks reprennent un ordre chronologique, avec dans le pire des cas des superpositions (par exemple entre le témoignage de Leland et celui de Susan).
La rupture de Susan avec Kane est ainsi racontée successivement en flashback par deux protagonistes différents, Susan elle-même et le majordome de Xanadu. Kane et Susan connaissent leur dernière altercation, et Kane, impuissant, regarde Susan quitter la pièce et s’éloigner en franchissant différentes ouvertures. Le dernier plan cadrant Susan peut prendre toute sa dimension dans la mesure où c’est elle qui relate leur séparation. Thompson interroge ensuite le majordome dont les souvenirs font l’objet du flashback suivant, qui débute de manière abrupte (par un cri de cacatoès) au moment où le majordome voit Susan partir. Welles choisit ainsi de couvrir la fin de la liaison entre Kane et Susan Alexander par deux personnages différents. La construction en flashbacks remplit ici son office car elle autorise une variation sur ce qui avait déjà été dit auparavant en ménageant un nouveau point de vue. Plus précisément, la rupture était déjà connue lors du flashback précédent, mais est visible dans toute sa continuité grâce à la présence du majordome qui assure sa fluidité à la narration.
Welles brise ainsi le style linéaire habituel des films et invente de nouveaux codes cinématographiques.
Le recours à une longue profondeur de champ est omniprésent dans le film. Comme pour le flashback, c’est la systématisation du procédé plus que le procédé lui-même qui marque une date dans l’histoire du cinéma.
Un plan devenu à ce titre exemplaire est celui de la découverte de la tentative de suicide de la femme de Kane. L’image montre en amorce le verre et la fiole tandis que Kane force la porte à l’arrière-plan, Susan respirant avec difficulté sur sa couche dans le plan intermédiaire. On sait que ce plan n’a pas été effectué en une seule prise mais que la mise au point a été successivement faite sur les différents composants du plan avant intégration dans une image unique.
De même, l’enfance de Kane qui fait l’objet des mémoires de Thatcher est représentée grâce à cette technique. La séquence débute par des images du jeune Charlie Kane jouant dans la neige avec sa luge. Puis, un travelling arrière fait comprendre que le point de vue se situait à l’intérieur de la maison familiale. Les jeux du garçon sont ensuite perçus en arrière-plan, tandis que son proche avenir est débattu dans le foyer, les deux plans étant nets.
De nombreux plans du film sont filmés en plongée, ou en contre-plongée. Si la contre-plongée traduit souvent l’exaltation, comme dans le discours de Kane contre Gettys, la plongée sert à illustrer les périodes de doute et d’échec, telles que la demande de mutation de Leland à Kane après la débâcle électorale, et la destruction de la chambre par Kane après le départ de Susan.
Welles transgresse aussi les règles basiques des contre-plongées en les inversant. Car si cette même contre-plongée traduit généralement l'exaltation, la puissance écrase parfois Kane, comme dans la scène de la rupture avec sa seconde femme.
Welles aime faire appel à des effets spéciaux pour enrichir son film. Ils sont dus pour la plupart au talent de Vernon L. Walker. On peut en citer six exemples, tous assez remarquables :
* La scène où Leland parle à Thompson à l'hôpital a été jouée devant un mur blanc, des diapositives ayant ensuite été utilisées pour créer le fond.
* Les vues extérieures de Xanadu et la foule du meeting politique sont des illusions : ce sont en réalité des toiles peintes.
* La scène où Gettys surveille le discours de Kane depuis le poulailler possède une caractéristique très particulière : chaque moitié d'image a été filmée séparément puis rassemblée, ce qui permet de voir nettement les deux personnages.
* Le départ de Susan a été filmé en trois fois, pour pouvoir avoir les trois plans nets. Seul un plan est éclairé et filmé, puis la bobine est rembobinée et le plan suivant est éclairé, et ainsi de suite.
* Welles a employé le procédé d'impression optique à la Truca. Cela consiste à aligner une caméra avec un projecteur dont le fonctionnement est synchronisé. La pellicule peut ensuite être retravaillée en post-production.
* Au début du film, dans la longue séquence de la bande d'actualités News on the March retraçant la carrière de Kane, est inséré un plan où Kane et Adolf Hitler sont côte à côte sur un balcon, ce qui est un habile montage.
« Throw that junk », traduit en français par Jette ce machin , constitue l'ultime réplique du film. Elle survient lors de la séquence finale de l'inventaire dans le château de Kane, lorsque le majordome Raymond (interprété par Paul Stewart) passe devant une luge d'enfant et s'écrie ces mots « Throw that junk ». On jette la luge dans un brasier, puis la caméra sur la musique de Bernard Herrmann s'avance lentement en travelling, et le mot gravé sur le bois noirci par le feu apparaît soudain : "Rosebud", révélant peut-être que la seule chose à laquelle Kane restait encore attaché à la toute fin de sa vie était la luge avec laquelle il aimait à jouer lors des hivers neigeux de son enfance.
La séquence de révélation concernant le mot "Rosebud" peut être rapprochée de la dernière scène du film d'Alfred Hitchcock, Rebecca, qui, un an plus tôt, se concluait sur la lettre "R" soigneusement cousue sur le coussin de la chambre de Rebecca, et qui brûlait en conclusion du film.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302187 19 H.1.00820 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 302229 19 H.1.02017 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Les combattants : dossier pédagogique / Anne Vervier
Titre : Les combattants : dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2014 Importance : 28 p. Note générale : Dossier pédagogique sur le film de Thomas Cailley Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique Les combattants : dossier pédagogique [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 2014 . - 28 p.
Dossier pédagogique sur le film de Thomas Cailley
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Pays : Belgique Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304689 19 H.1.04340/39 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Est accompagné de
AccompagneDVD 5. Congo River / Thierry Michel
Titre : Congo river Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Michel (1952-....), Photographe ; Lye Mudaba Yoka, Auteur ; Isidore Ndaywel E Nziem, Auteur Editeur : Bruxelles : Tournesol Conseils SA - Renaissance du livre Année de publication : 2006 Importance : 192 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. et jaquette ill. en co Format : 31 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87415-612-0 Note générale : Cinéaste, photographe et journaliste, Thierry Michel est né le 13 octobre 1952 à Charleroi (Belgique), dans une région industrielle surnommée " le Pays noir ". Il a réalisé deux longs métrages de fiction et de nombreux documentaires internationalement reconnus, primés et diffusés. Parmi ceux-ci " Gosses de Rio ", " Donka, radioscopie d'un hôpital africain " et " Iran sous le voile des apparences ", " Mobutu, roi du Zaïre " et " Congo River, au-delà des ténèbres ". Thierry Michel est également professeur. Il enseigne le cinéma du réel à l'Institut des Arts de Diffusion (IAD) en Belgique et dirige, de par le monde, des séminaires sur l'écriture et la réalisation de films documentaires. Des mines de charbon aux prisons, du Brésil au Maghreb, de l'Iran à l'Afrique noire, Thierry Michel dénonce les détresses et les révoltes du monde, mêlant parfois fiction et réalité. Lye Mudaba Yoka, talentueux écrivain et chroniqueur kinois, est docteur ès lettres, de l'université de Paris III (Sorbonne). Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques, mais surtout des nouvelles dont certaines ont obtenu des prix littéraires internationaux. Il est actuellement consultant au ministère de la Culture et des Arts de la République démocratique du Congo, conseiller pour le bureau de l'Unesco au Congo et professeur à l'Institut national des Arts. Il est l'un des deux commissaires du festival Africalia consacré au Congo en 2007. Isidore Ndaywel è Nziem, historien, professeur ordinaire à l'université de Kinshasa, chercheur associé au CNRS et au CEMAF (Centre d'études des mondes africains) de l'université Paris I (Sorbonne), et membre correspondant de l'Académie royale des Sciences d'Outre-Mer (Bruxelles) est, de 1999 à 2004, le directeur des Langues et de l'Ecrit à l'Agence intergouvernementale de la Francophonie. Jadis professeur aux universités de Lubumbashi, de Brazzaville et de Québec, il a également été directeur d'études associé à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (Paris), directeur général de la Bibliothèque nationale du Congo et administrateur au conseil d'administration de l'Institut des Musées nationaux du Congo. Il est par ailleurs l'auteur d'une monumentale Histoire générale du Congo : " De l'héritage ancien à la République démocratique " (Louvain-la-Neuve, Duculot, 1998). Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Congo (cours d'eau) Photographies Congo Vallée du Histoire Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Voyage photographique au cœur de l'Afrique, Congo River est un hymne à la vie, à l'égal de cette végétation indomptable qui enserre le fleuve Congo. Au-delà de sa beauté naturelle, le fleuve raconte l'histoire du pays auquel il est intimement lié, sa genèse énigmatique, son parcours sinueux contre vents et marées, ses brusques arrêts, ses élans vains. Il nous fait également découvrir le souvenir de ces personnages mythologiques qui ont façonné le destin du pays : de Lianja à Stanley et Livingstone en passant par Léopold II, Lumumba et Mobutu... Mais le fleuve n'est pas seulement un reflet de l'histoire du pays, il est aussi symbole de vie et de survie pour les Congolais d'aujourd'hui. Au-delà des guerres, de la mort ou de la misère, il nous emmène à la rencontre d'un peuple qui avance résolument vers l'avenir. Poursuivant son exploration de l'Afrique, après " Le cycle du serpent " et surtout " Mobutu roi du Zaïre ", Thierry Michel remonte le fleuve Congo à la rencontre de l'Afrique et de ses démons. Un voyage bouleversant dont personne ne sort indemne.
AccompagneDVD 5. Congo River / Thierry Michel Congo river [texte imprimé] / Thierry Michel (1952-....), Photographe ; Lye Mudaba Yoka, Auteur ; Isidore Ndaywel E Nziem, Auteur . - Bruxelles (Quai aux Pierres de taille 37/39, 1000) : Tournesol Conseils SA - Renaissance du livre, 2006 . - 192 p. : ill. en noir et en coul., couv. et jaquette ill. en co ; 31 cm.
ISBN : 978-2-87415-612-0
Cinéaste, photographe et journaliste, Thierry Michel est né le 13 octobre 1952 à Charleroi (Belgique), dans une région industrielle surnommée " le Pays noir ". Il a réalisé deux longs métrages de fiction et de nombreux documentaires internationalement reconnus, primés et diffusés. Parmi ceux-ci " Gosses de Rio ", " Donka, radioscopie d'un hôpital africain " et " Iran sous le voile des apparences ", " Mobutu, roi du Zaïre " et " Congo River, au-delà des ténèbres ". Thierry Michel est également professeur. Il enseigne le cinéma du réel à l'Institut des Arts de Diffusion (IAD) en Belgique et dirige, de par le monde, des séminaires sur l'écriture et la réalisation de films documentaires. Des mines de charbon aux prisons, du Brésil au Maghreb, de l'Iran à l'Afrique noire, Thierry Michel dénonce les détresses et les révoltes du monde, mêlant parfois fiction et réalité. Lye Mudaba Yoka, talentueux écrivain et chroniqueur kinois, est docteur ès lettres, de l'université de Paris III (Sorbonne). Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques, mais surtout des nouvelles dont certaines ont obtenu des prix littéraires internationaux. Il est actuellement consultant au ministère de la Culture et des Arts de la République démocratique du Congo, conseiller pour le bureau de l'Unesco au Congo et professeur à l'Institut national des Arts. Il est l'un des deux commissaires du festival Africalia consacré au Congo en 2007. Isidore Ndaywel è Nziem, historien, professeur ordinaire à l'université de Kinshasa, chercheur associé au CNRS et au CEMAF (Centre d'études des mondes africains) de l'université Paris I (Sorbonne), et membre correspondant de l'Académie royale des Sciences d'Outre-Mer (Bruxelles) est, de 1999 à 2004, le directeur des Langues et de l'Ecrit à l'Agence intergouvernementale de la Francophonie. Jadis professeur aux universités de Lubumbashi, de Brazzaville et de Québec, il a également été directeur d'études associé à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (Paris), directeur général de la Bibliothèque nationale du Congo et administrateur au conseil d'administration de l'Institut des Musées nationaux du Congo. Il est par ailleurs l'auteur d'une monumentale Histoire générale du Congo : " De l'héritage ancien à la République démocratique " (Louvain-la-Neuve, Duculot, 1998).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeMots-clés : Congo (cours d'eau) Photographies Congo Vallée du Histoire Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé : Voyage photographique au cœur de l'Afrique, Congo River est un hymne à la vie, à l'égal de cette végétation indomptable qui enserre le fleuve Congo. Au-delà de sa beauté naturelle, le fleuve raconte l'histoire du pays auquel il est intimement lié, sa genèse énigmatique, son parcours sinueux contre vents et marées, ses brusques arrêts, ses élans vains. Il nous fait également découvrir le souvenir de ces personnages mythologiques qui ont façonné le destin du pays : de Lianja à Stanley et Livingstone en passant par Léopold II, Lumumba et Mobutu... Mais le fleuve n'est pas seulement un reflet de l'histoire du pays, il est aussi symbole de vie et de survie pour les Congolais d'aujourd'hui. Au-delà des guerres, de la mort ou de la misère, il nous emmène à la rencontre d'un peuple qui avance résolument vers l'avenir. Poursuivant son exploration de l'Afrique, après " Le cycle du serpent " et surtout " Mobutu roi du Zaïre ", Thierry Michel remonte le fleuve Congo à la rencontre de l'Afrique et de ses démons. Un voyage bouleversant dont personne ne sort indemne.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301248 19 H.1.04003 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301248URLDialogues avec Daney / Louis Skorecki
Titre : Dialogues avec Daney Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Skorecki, Auteur Editeur : Paris [France] : Presses Universitaires de France (PUF) Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-056084-5 Note générale :
Serge Daney est un critique de cinéma français né à Paris le 4 juin 1944 et mort le 12 juin 1992. Il est parti de la critique de films pour passer à une critique de la télévision et a fini par développer une théorie critique de l'image.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Cahiers du cinéma Libération Trafic Critique Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
J'ai toujours considéré Louis Skorecki comme un écrivain. Un écrivain qui s'intéresserait avant tout aux fantômes. Le cinéma en est peuplé, et c'est pourquoi Skorecki nous parle de cinéma, le pays de son enfance. Les films vivent en lui sans qu'il ait besoin de les voir. Il lui suffit de les évoquer pour abolir le temps. Serge Daney aussi est un fantôme, un fantôme avec lequel Skorecki dialogue par delà la mort. D'ailleurs, la mort n'existe pas au cinéma. Roland Jaccard. Dialogues avec Daney réunit 39 textes autour de la question de la cinéphilie, dont 17 dialogues avec Serge Daney, publiés dans Libération entre 2001 et 2006.
Note de contenu :
Après avoir fondé une revue Visages du cinéma en 1962, Serge Daney débute sa carrière comme critique aux Cahiers du cinéma, en 1964, invité par Jean Douchet (à la fin de la période jaune — en référence à la couleur de la couverture — période où des critiques comme François Truffaut, Jean-Luc Godard, Éric Rohmer ou Jacques Rivette passent à la réalisation et lancent la Nouvelle Vague). Après 1968, il voyage, puis devient, en 1973, aux côtés de Serge Toubiana, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, après une période de grands débats théoriques et d'engagement politique radical, sur fond de maoïsme. Daney appellera cela la période « non légendaire des Cahiers ».
En 1981, il quitte les Cahiers, et rejoint le quotidien Libération, d'abord comme critique cinéphile, mais avec la volonté d'y créer une rubrique plus large consacrée à l'image. Il s'intéresse tout particulièrement à la télévision et écrit des séries d'articles sur les films télédiffusés et la programmation télévisuelle. De 1985 à 1990, il anime une émission hebdomadaire, Microfilms, sur la radio France Culture, où il reçoit un invité pour parler de sujets ayant trait au cinéma. Il a donné des cours de cinéma à la Faculté de Censier de l'université Sorbonne Nouvelle - Paris 3.
En 1991, il revient à la critique cinématographique et fonde la revue trimestrielle Trafic.
Serge Daney meurt des suites du sida en 1992.
Du 20 juin au 5 août 2012, la Cinémathèque française lui rend hommage à l'occasion du vingtième anniversaire de sa mort.
Dialogues avec Daney [texte imprimé] / Louis Skorecki, Auteur . - Paris (France) : Presses Universitaires de France (PUF), 2007.
ISBN : 978-2-13-056084-5
Serge Daney est un critique de cinéma français né à Paris le 4 juin 1944 et mort le 12 juin 1992. Il est parti de la critique de films pour passer à une critique de la télévision et a fini par développer une théorie critique de l'image.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Cahiers du cinéma Libération Trafic Critique Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
J'ai toujours considéré Louis Skorecki comme un écrivain. Un écrivain qui s'intéresserait avant tout aux fantômes. Le cinéma en est peuplé, et c'est pourquoi Skorecki nous parle de cinéma, le pays de son enfance. Les films vivent en lui sans qu'il ait besoin de les voir. Il lui suffit de les évoquer pour abolir le temps. Serge Daney aussi est un fantôme, un fantôme avec lequel Skorecki dialogue par delà la mort. D'ailleurs, la mort n'existe pas au cinéma. Roland Jaccard. Dialogues avec Daney réunit 39 textes autour de la question de la cinéphilie, dont 17 dialogues avec Serge Daney, publiés dans Libération entre 2001 et 2006.
Note de contenu :
Après avoir fondé une revue Visages du cinéma en 1962, Serge Daney débute sa carrière comme critique aux Cahiers du cinéma, en 1964, invité par Jean Douchet (à la fin de la période jaune — en référence à la couleur de la couverture — période où des critiques comme François Truffaut, Jean-Luc Godard, Éric Rohmer ou Jacques Rivette passent à la réalisation et lancent la Nouvelle Vague). Après 1968, il voyage, puis devient, en 1973, aux côtés de Serge Toubiana, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, après une période de grands débats théoriques et d'engagement politique radical, sur fond de maoïsme. Daney appellera cela la période « non légendaire des Cahiers ».
En 1981, il quitte les Cahiers, et rejoint le quotidien Libération, d'abord comme critique cinéphile, mais avec la volonté d'y créer une rubrique plus large consacrée à l'image. Il s'intéresse tout particulièrement à la télévision et écrit des séries d'articles sur les films télédiffusés et la programmation télévisuelle. De 1985 à 1990, il anime une émission hebdomadaire, Microfilms, sur la radio France Culture, où il reçoit un invité pour parler de sujets ayant trait au cinéma. Il a donné des cours de cinéma à la Faculté de Censier de l'université Sorbonne Nouvelle - Paris 3.
En 1991, il revient à la critique cinématographique et fonde la revue trimestrielle Trafic.
Serge Daney meurt des suites du sida en 1992.
Du 20 juin au 5 août 2012, la Cinémathèque française lui rend hommage à l'occasion du vingtième anniversaire de sa mort.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302227 19 H.1.02977 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogie de "L'enfant" / Jean-Pierre Dardenne
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305244 19 H.1.4340/41 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt dossier pédagogiqe de "Hugo Cabret" / Hélène Famin
Supplément de Hugo Cabret / Martin Scorsese
Titre : dossier pédagogiqe de "Hugo Cabret" Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Famin, Auteur ; Guillemette Loheac, Auteur ; Pierre Périvier, Auteur Editeur : Zéro de conduite Année de publication : 201? Importance : 22 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias:Arts et médias:CinémaIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : 9-12 ans
Supplément de Hugo Cabret / Martin Scorsese
dossier pédagogiqe de "Hugo Cabret" [texte imprimé] / Hélène Famin, Auteur ; Guillemette Loheac, Auteur ; Pierre Périvier, Auteur . - [S.l.] : Zéro de conduite, 201? . - 22 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias:Arts et médias:CinémaIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : 9-12 ans Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304713 19 H.1.04339/37 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Valise pédagogique : éducation aux médias de la maternelle au secondaire (Isabelle) Disponible Dossier pédagogique de "4 mois, 3 semaines et 2 jours" / Michel Condé
Supplément de 4 mois, 3 semaines & 2 jours / Cristian Mungiu
Titre : Dossier pédagogique de "4 mois, 3 semaines et 2 jours" Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur ; Anne Vervier, Auteur ; Vinciane Fonck Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2007 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 32 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de 4 mois, 3 semaines & 2 jours / Cristian Mungiu
Dossier pédagogique de "4 mois, 3 semaines et 2 jours" [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur ; Anne Vervier, Auteur ; Vinciane Fonck . - Les Grignoux, 2007 . - 32 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santé
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303812 19 H.1.04340/26 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "L'âge de glace" / Anne Vervier
Supplément de L'âge de glace 1 / Chris Wedge
Titre : Dossier pédagogique de "L'âge de glace" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2002 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
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Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactique
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Préhistoire (-2,9 Ma à -3000)Index. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire
Supplément de L'âge de glace 1 / Chris Wedge
Dossier pédagogique de "L'âge de glace" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2002 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Préhistoire (-2,9 Ma à -3000)Index. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303743 19 H.1.04340/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Apocalypse, la 2ème guerre mondiale"
Supplément de Apocalypse. La 2ème guerre mondiale / Isabelle Clarke
Titre : Dossier pédagogique de "Apocalypse, la 2ème guerre mondiale" Type de document : texte imprimé Editeur : Zéro de conduite Année de publication : s.d. Importance : 14 p. Note générale : Dossier à destination des enseignants du cours d'histoire Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Ouvrages généraux:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Index. décimale : 19 Monographies : films Genre : Dossier pédagogique Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique
Supplément de Apocalypse. La 2ème guerre mondiale / Isabelle Clarke
Dossier pédagogique de "Apocalypse, la 2ème guerre mondiale" [texte imprimé] . - [S.l.] : Zéro de conduite, s.d. . - 14 p.
Dossier à destination des enseignants du cours d'histoire
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Ouvrages généraux:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Index. décimale : 19 Monographies : films Genre : Dossier pédagogique Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire didactique Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304692 19 H.1.04339/39 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Azur et Azmar" / Vinciane Fonck
Accompagne Azur et Asmar / Michel Ocelot
Titre : Dossier pédagogique de "Azur et Azmar" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2006 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 32 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
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Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire et +
Accompagne Azur et Asmar / Michel Ocelot
Dossier pédagogique de "Azur et Azmar" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2006 . - 32 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
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Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303761 19 H.1.04340/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Babel" / Vinciane Fonck
Supplément de Babel / Alejandro Gonzales Inarritu
Titre : Dossier pédagogique de "Babel" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2007 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 32 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et +
Supplément de Babel / Alejandro Gonzales Inarritu
Dossier pédagogique de "Babel" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2007 . - 32 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303809 19 H.1.04340/25 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Bamako" / Erwan Le Nader
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Titre : Dossier pédagogique de "Bamako" Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Importance : 9 pp. Note générale : Pour le cours de sciences sociales et sciences économiques Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Dossier pédagogique de "Bamako" [texte imprimé] / Erwan Le Nader, Auteur ; Frédérique Omer, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, s.d. . - 9 pp.
Pour le cours de sciences sociales et sciences économiques
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303682 19 H.1.04339/11 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Bamako" / Florence Salé
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Titre : Dossier pédagogique de "Bamako" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Importance : 7 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Bamako est un film franco-américano-malien d'Abderrahmane Sissako sorti en 2006.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Abderrahmane Sissako Denis Freyd Danny Glover Arnaud Louvet François Sauvagnargues Maji-da Abdi Joslyn Barnes Archipel 33 Chinguitty Films Mali Images arte France Cinéma Louverture Films Jacques Besse Nadia Ben Rachid Mahamadou Kouyaté Maji-da Abdi Aïssa Maïga Tiècoura Traoré Hélène Diarra Habib Dembélé Djénéba Koné Hamadoun Kassogué Hamèye Mahalmadane Cinéma Malien Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Melé est une chanteuse de bar et son mari, Chaka, au chômage s'enfonce dans le silence. Malgré une fille qui les unit, leur couple s'émiette petit à petit. Ils vivent dans une maison qu'ils partagent avec plusieurs familles. Dans la cour, se tient un étonnant événement : le procès de la société civile africaine contre la Banque mondiale et le FMI !
Note de contenu :
* Ce film mélange une partie de fiction scénarisée par Sissako et un procès improvisé par de vrais avocats, (dont les Français William Bourdon et Roland Rappaport), président du jury et témoins. Les divers "acteurs" du procès ont donc élaboré leurs propres arguments et plaidoiries, donnant une vision intéressante de la mondialisation et de ses conséquences en Afrique.
* Lors d'une scène où des personnages regardent la télévision malienne, cette dernière diffuse un faux film qui est une parodie de western spaghetti, "Death in Timbuktu", ironisant sur le monde actuel et montrant la complexité des choses: Blancs et Noirs tuant des Noirs, symbole d'une corresponsabilité des effets négatifs de la mondialisation actuelle dans les pays du Sud. Les cow-boys sont joués par Sissako lui-même, Danny Glover (qui est co-producteur du film) et d'autres amis personnels de Sissako, tous ayant accepté de jouer cette partie gratuitement.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Bamako / Abderrahmane Sissako
Dossier pédagogique de "Bamako" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, s.d. . - 7 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Bamako est un film franco-américano-malien d'Abderrahmane Sissako sorti en 2006.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Abderrahmane Sissako Denis Freyd Danny Glover Arnaud Louvet François Sauvagnargues Maji-da Abdi Joslyn Barnes Archipel 33 Chinguitty Films Mali Images arte France Cinéma Louverture Films Jacques Besse Nadia Ben Rachid Mahamadou Kouyaté Maji-da Abdi Aïssa Maïga Tiècoura Traoré Hélène Diarra Habib Dembélé Djénéba Koné Hamadoun Kassogué Hamèye Mahalmadane Cinéma Malien Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Melé est une chanteuse de bar et son mari, Chaka, au chômage s'enfonce dans le silence. Malgré une fille qui les unit, leur couple s'émiette petit à petit. Ils vivent dans une maison qu'ils partagent avec plusieurs familles. Dans la cour, se tient un étonnant événement : le procès de la société civile africaine contre la Banque mondiale et le FMI !
Note de contenu :
* Ce film mélange une partie de fiction scénarisée par Sissako et un procès improvisé par de vrais avocats, (dont les Français William Bourdon et Roland Rappaport), président du jury et témoins. Les divers "acteurs" du procès ont donc élaboré leurs propres arguments et plaidoiries, donnant une vision intéressante de la mondialisation et de ses conséquences en Afrique.
* Lors d'une scène où des personnages regardent la télévision malienne, cette dernière diffuse un faux film qui est une parodie de western spaghetti, "Death in Timbuktu", ironisant sur le monde actuel et montrant la complexité des choses: Blancs et Noirs tuant des Noirs, symbole d'une corresponsabilité des effets négatifs de la mondialisation actuelle dans les pays du Sud. Les cow-boys sont joués par Sissako lui-même, Danny Glover (qui est co-producteur du film) et d'autres amis personnels de Sissako, tous ayant accepté de jouer cette partie gratuitement.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303683 19 H.1.04339/12 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Ben X" / Vinciane Fonck
Supplément de Ben X / Nic Balthazar
Titre : Dossier pédagogique de "Ben X" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 24 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Ben X / Nic Balthazar
Dossier pédagogique de "Ben X" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2008 . - 24 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303766 19 H.1.04340/9 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Boyz'n the hood" / Michel Condé
Supplément de Boyz 'n the hood / John Singleton
Titre : Dossier pédagogique de "Boyz'n the hood" Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1993 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 72 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Boyz 'n the hood / John Singleton
Dossier pédagogique de "Boyz'n the hood" [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Les Grignoux, 1993 . - 72 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303731 19 H.1.04340/29 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Certains l'aiment chaud / Billy Wilder
Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison I. A. L. Diamond Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Che 1ère partie. L'argentin / Steven Soderbergh
Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two Che 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Benicio Del Toro Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique du "Colonel Chabert" / Michel Condé
Supplément de Le colonel Chabert / Yves Angelo
Titre : Dossier pédagogique du "Colonel Chabert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1995 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 18 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films
Supplément de Le colonel Chabert / Yves Angelo
Dossier pédagogique du "Colonel Chabert" [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Les Grignoux, 1995 . - 18 p.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303874 19 H.1.04340/28 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" / Garance Yahi
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Titre : Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" Type de document : texte imprimé Auteurs : Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 10 pp. Note générale : --- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Français
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La controverse de Valladolid / Jean-Daniel Verhaeghe
Dossier pédagogique de "La controverse de Valladolid" [texte imprimé] / Garance Yahi, Auteur ; Aude Fonvielle, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 10 pp.
--- POUR LE COURS DE MORALE ---
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid.
Récompenses :
* 7 d’or 1993 : Meilleur téléfilm, meilleur réalisateur, meilleur scénariste, meilleur acteur (Jean-Pierre Marielle).
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : La Controverse de Valladolid Jean-Daniel Verhaeghe Jean-Claude Carrière France 2 Jean-Pierre Marielle Jean-Louis Trintignant Jean Carmet Jean-Michel Dupuis Claude Laugier Pascal Elso Téléfilm Cinéma français Télévision Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les victimes.
La controverse verra s'affronter le point de vue conservateur du chanoine Juan Ginés de Sepúlveda et celui humaniste du dominicain Bartolomé de Las Casas. Un des grands intérêts du film est de montrer comment des hommes a priori honnêtes et sincères peuvent arriver à une conclusion qui paraît, au niveau de l'élévation morale alléguée du XXe siècle, parfaitement abjecte. Le verdict mêle la faiblesse de la conscience morale du XVIe siècle et les enjeux économiques. L’Église acceptera l’accession des indiens au statut d’être humain, mais l'issue de cette controverse en forme de procès sera marquée par un coup de théâtre qui aura des conséquences sur des millions d'hommes : il légitimera l'esclavage des noirs.
Note de contenu :
L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. En réalité, si Las Casas et Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place.
L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ». Las Casas comme Juan Ginés de Sepúlveda s'accordèrent sur le devoir de conversion des Indiens qui incombe aux Espagnols mais diffèrent sur le moyen d'y parvenir : colonisation pacifique et vie exemplaire pour le premier et colonisation institutionnelle où la force est légitimée par le réalisme et la nature même des civilisations précolombiennes, pour le second.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303689 19 H.1.04339/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Les convoyeurs attendent" / Vinciane Fonck
Supplément de Les convoyeurs attendent / Benoît Mariage
Titre : Dossier pédagogique de "Les convoyeurs attendent" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2000 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 40 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Société:LoisirsIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Les convoyeurs attendent / Benoît Mariage
Dossier pédagogique de "Les convoyeurs attendent" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2000 . - 40 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Société:LoisirsIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303741 19 H.1.04339/34 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Coraline" / Anne Vervier
Accompagne Coraline / Henry Selick
Titre : Dossier pédagogique de "Coraline" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2010 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 28 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire et +
Accompagne Coraline / Henry Selick
Dossier pédagogique de "Coraline" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2010 . - 28 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303746 19 H.1.04340/2 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Supplément de La Vie des Autres / Florian Henckel von Donnersmarck
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de La Vie des Autres / Florian Henckel von Donnersmarck
Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net : [S.l.] : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Desmond" / Anne Vervier
Accompagne Desmond et la créature du marais / Magnus Carlsson
Titre : Dossier pédagogique de "Desmond" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
La structure du film Desmond et la créature du marais est un peu inhabituelle. En effet, l'intrigue principale concerne les vols mystérieux qui se produisent dans le hameau et le piège que les habitants veulent tendre au voleur… Mais cette histoire est interrompue à trois reprises par des flash-backs: les personnages se souviennent d'événements qui se sont produits plus tôt.
Le premier est suscité par Petit Gator qui rappelle à Desmond qu'un jour, il en a eu assez de faire des muffins… S'ensuit l'histoire du frigo, du stock de muffins volé par Petit Gator et vendu à l'oncle Caïman.
Le deuxième concerne Sébastien qui a prétendu plusieurs jours de suite que c'était son anniversaire, pour être fêté plusieurs fois!
Le troisième relate la mésaventure de Willie, qui un jour, voulant être le champion de quelque chose, a décidé d'être le meilleur en méchanceté!
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Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : Desmond et la créature du marais Animation Magnus Carlsson Cinéma suédois Conte Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - Les vols mystérieux
Un beau jour, les habitants de la forêt des framboisiers découvrent qu'ils ont été volés! Quelqu'un s'est attaqué au pommier de Desmond et lui a volé des pommes; les gants de boxe de Sébastien ont disparu, tout comme la guitare de Willie et la collection de rouges à ongles de Léna… Tous pensent que le voleur est la créature du marais: un monstre qui vivrait dans le marais et que personne n'a jamais vu. Seul Gérard ne croit pas à l'existence de ce monstre.
Pour faire cesser ces méfaits, Petit Gator propose que l'on construise un piège. Desmond et Léna demandent un plan de «piège à créature du marais» à Gérard et voici les amis qui construisent un piège pour capturer la créature! Un gros muffin servira d'appât.
Tous, sauf Gérard, s'enferment dans une cabane abandonnée pour surveiller le piège et guetter le voleur. Mais rien ne bouge, le temps passe et les habitants du hameau qui n'ont pas prévu de pique-nique ont faim! Heureusement, Gérard est à l'extérieur et peut leur apporter de la nourriture. Mais en voulant prélever un morceau de muffin, c'est lui qui est pris dans le piège! Finalement, Petit Gator arrive à sortir par la fenêtre et à délivrer Gérard. Oncle Caïman arrive en même temps et ouvre la porte avec son passe-partout! Il veut qu'on l'aide à réparer son pneu crevé et c'est en cherchant la roue de secours que l'on découvre que c'est lui qui a volé les pommes, la guitare, les gants et les rouges!
Comme le piège n'est plus nécessaire, on le démonte et on construit une scène de spectacle avec les matériaux. Les amis font la fête tous ensemble!
2 - Desmond en a assez de faire des muffins
Desmond trouve que c'est ennuyeux de faire des muffins tous les jours! Il décide d'acheter un frigo et de faire des muffins en grande quantité qu'il gardera au frais.
Pendant ce temps, Oncle Caïman vient rendre visite à sa cousine Elie Gator. Il dit à Petit Gator qu'il a une voiture de course et Petit Gator en veut une lui aussi!
Oncle Caïman se rend chez Desmond: il veut lui acheter des muffins. Mais Desmond refuse de lui en vendre!
Petit Gator demande à Gérard de l'aider à construire une voiture de course, mais Gérard n'est pas très bon en bricolage. En plus, il est un peu jaloux d'Oncle Caïman, qui a l'air très proche d'Elie!
Desmond commence un peu à s'ennuyer… Il veut offrir un muffin à Sébastien mais constate que son frigo est vide! Qui a pris tous les muffins? Serait-ce la créature du marais? Les habitants du village se postent près du marais pour surprendre la créature, mais il n'y a que Gérard qui bouge dans les fourrés! Tout le monde découvre finalement Oncle Caïman qui est malade d'avoir mangé trop de muffins! C'est Petit Gator qui a pris les muffins et les a vendus à l'Oncle. Tout le monde veut aider Desmond à refabriquer beaucoup de muffins, mais celui-ci découvre que finalement, il adore faire des muffins. Il donne son frigo à Petit Gator pour le transformer en voiture de course!
3 - L'anniversaire de Sébastien
Sébastien rencontre Desmond qui lui dit que la veille, c'était l'anniversaire de Léna: il y a eu une petite fête avec un gâteau et des cadeaux. C'était très agréable pour tout le monde. Cette histoire donne une idée au lapin qui dit à Desmond que c'est aujourd'hui son anniversaire et qu'il l'invite.
Plus tard, Desmond se présente chez Sébastien pour son anniversaire: il a apporté un gâteau et un cadeau. Mais il n'y a pas d'autres invités! Sébastien mange tout le gâteau et ne s'occupe pas de Desmond! Le cochon est déçu et retourne chez lui. Desmond rencontre Willie qui est de mauvaise humeur parce que Sébastien l'a invité pour son anniversaire et qu'il s'y est ennuyé! Ils rencontrent alors Elie et Petit Gator qui se rendent chez Sébastien pour son anniversaire! Ils comprennent alors que Sébastien fête tous les jours son anniversaire!
Desmond et ses amis viennent se plaindre à Sébastien, qui s'excuse et invite tout le monde pour le soir même: le 6 juin, c'est la bonne date!
Les autres vont vérifier auprès de Gérard, qui consulte son dossier: Sébastien a son anniversaire le 9 juin. Ainsi, Sébastien s'est encore moqué d'eux! Personne ne se rend chez le lapin, qui est très triste. En réalité, Gérard qui avait mélangé tous ses papiers, s'est trompé! Il a lu la feuille à l'envers et l'anniversaire de Sébastien est bien le 6 juin. Tout le monde est d'accord de fêter Sébastien avec un jour de retard.
4 - Willie veut être le meilleur
Willie se balade et rencontre Charlotte qui construit un pont. Comme il prétend pouvoir le faire, elle lui donne un clou à clouer, mais il n'y arrive pas.
Il arrive en skate près de Léna qui vernit les ongles d'Elie. Il veut montrer qu'il peut aussi bien faire que Léna, mais il met du vernis partout!
Il rencontre ensuite Sébastien qui court: Sébastien est vraiment le plus rapide à la course! Il se rend alors chez Desmond et veut faire des muffins mais il laisse tout brûler… Il s'en va en perdant sa poupée Choupinette.
Willie est triste parce qu'il est nul, dit-il. Il ne sait pas faire ce que les autres font. Il décide qu'il peut être le meilleur en méchanceté et en colère!
Le lendemain, il va montrer à tous qu'il est le pire!
Il casse les vitres de la maison de Desmond, il sabote le pont de Charlotte et elle tombe dans le ruisseau, il fait des graffiti au vernis à ongles sur la maison de Léna!
Le lendemain, personne ne veut lui parler. Il est triste et veut se consoler en parlant avec ses poupées, mais il constate alors que Choupinette a disparu. Il est tout seul et tout triste.
Puis, tous les voisins arrivent chez lui pour lui dire que ce n'est pas bien d'être méchant. En plus, c'est facile, tout le monde peut le faire! Willie a pourtant un talent! Il sait fabriquer des poupées. Desmond lui rend Choupinette et Léna lui propose de monter un spectacle de marionnettes. Là, Willie est vraiment le meilleur.
Note de contenu :
Au milieu de la forêt des framboisiers, une petite communauté animale mène une vie bien tranquille. Desmond, le petit cochon, passe sa journée à cuisiner des pancakes, à se prélasser dans son sauna et à se rouler dans la boue. Léna l'élan reçoit les dames dans sa boutique d'esthéticienne. Gérard Caribou, le maire du village, approuve des propositions de loi et en pince secrètement pour la belle Eli Gator. Sébastien le lapin s'entraîne à la boxe sur son putching ball et fête son anniversaire le plus souvent possible. Willie le Putois casse les oreilles de tout le monde avec sa guitare électrique.
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où chacun s'aperçoit qu'il s'est fait cambrioler. Qui a pu faire un coup pareil ? Pour Desmond, il ne peut s'agir que de l'abominable créature du marais, que personne n'a jamais vue mais qui hante les cauchemars de tous les habitants de la forêt. Avec l'aide de ses amis, il construit un piège pour venir à bout du monstre. Cette intrigue principale est entrecoupée d'une série de flashbacks qui éclairent les faiblesses de chacun des personnages, et la manière dont ils sont arrivés à les dépasser. Mignonnet, le film, qui s'adresse aux enfants de 4 à 10 ans, souffre de cette structure tarabiscotée et manque par ailleurs d'un peu de piquant.
Voilà un film charmant à l'image de son personnage principal, Desmond, un sympathique petit cochon qui vit avec ses amis dans un coin de clairière bien agréable. Mais l'abominable créature du marais leur rend à tous la vie impossible ; enfin... si elle existe, car personne ne l'a jamais vue ! Mais qui d'autre aurait pu voler les pommes de Desmond, la collection de rouges à ongles de Léna la dame élan, la guitare électrique de Willie le putois et les gants de boxe de Sébastien Lapin ? Non, vraiment, trop c'est trop ! Ensemble, ils décident de construire un piège : un piège à créature du marais...
Ce film d'animation saura charmer les enfants sans les effrayer malgré la mystérieuse présence de la créature des marais. Il les fera participer à de joyeuses aventures tout en brossant une belle galerie de portraits d'animaux aussi charmants que loufoques.
Niveau : Primaire et +
Accompagne Desmond et la créature du marais / Magnus Carlsson
Dossier pédagogique de "Desmond" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
La structure du film Desmond et la créature du marais est un peu inhabituelle. En effet, l'intrigue principale concerne les vols mystérieux qui se produisent dans le hameau et le piège que les habitants veulent tendre au voleur… Mais cette histoire est interrompue à trois reprises par des flash-backs: les personnages se souviennent d'événements qui se sont produits plus tôt.
Le premier est suscité par Petit Gator qui rappelle à Desmond qu'un jour, il en a eu assez de faire des muffins… S'ensuit l'histoire du frigo, du stock de muffins volé par Petit Gator et vendu à l'oncle Caïman.
Le deuxième concerne Sébastien qui a prétendu plusieurs jours de suite que c'était son anniversaire, pour être fêté plusieurs fois!
Le troisième relate la mésaventure de Willie, qui un jour, voulant être le champion de quelque chose, a décidé d'être le meilleur en méchanceté!
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : Desmond et la créature du marais Animation Magnus Carlsson Cinéma suédois Conte Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - Les vols mystérieux
Un beau jour, les habitants de la forêt des framboisiers découvrent qu'ils ont été volés! Quelqu'un s'est attaqué au pommier de Desmond et lui a volé des pommes; les gants de boxe de Sébastien ont disparu, tout comme la guitare de Willie et la collection de rouges à ongles de Léna… Tous pensent que le voleur est la créature du marais: un monstre qui vivrait dans le marais et que personne n'a jamais vu. Seul Gérard ne croit pas à l'existence de ce monstre.
Pour faire cesser ces méfaits, Petit Gator propose que l'on construise un piège. Desmond et Léna demandent un plan de «piège à créature du marais» à Gérard et voici les amis qui construisent un piège pour capturer la créature! Un gros muffin servira d'appât.
Tous, sauf Gérard, s'enferment dans une cabane abandonnée pour surveiller le piège et guetter le voleur. Mais rien ne bouge, le temps passe et les habitants du hameau qui n'ont pas prévu de pique-nique ont faim! Heureusement, Gérard est à l'extérieur et peut leur apporter de la nourriture. Mais en voulant prélever un morceau de muffin, c'est lui qui est pris dans le piège! Finalement, Petit Gator arrive à sortir par la fenêtre et à délivrer Gérard. Oncle Caïman arrive en même temps et ouvre la porte avec son passe-partout! Il veut qu'on l'aide à réparer son pneu crevé et c'est en cherchant la roue de secours que l'on découvre que c'est lui qui a volé les pommes, la guitare, les gants et les rouges!
Comme le piège n'est plus nécessaire, on le démonte et on construit une scène de spectacle avec les matériaux. Les amis font la fête tous ensemble!
2 - Desmond en a assez de faire des muffins
Desmond trouve que c'est ennuyeux de faire des muffins tous les jours! Il décide d'acheter un frigo et de faire des muffins en grande quantité qu'il gardera au frais.
Pendant ce temps, Oncle Caïman vient rendre visite à sa cousine Elie Gator. Il dit à Petit Gator qu'il a une voiture de course et Petit Gator en veut une lui aussi!
Oncle Caïman se rend chez Desmond: il veut lui acheter des muffins. Mais Desmond refuse de lui en vendre!
Petit Gator demande à Gérard de l'aider à construire une voiture de course, mais Gérard n'est pas très bon en bricolage. En plus, il est un peu jaloux d'Oncle Caïman, qui a l'air très proche d'Elie!
Desmond commence un peu à s'ennuyer… Il veut offrir un muffin à Sébastien mais constate que son frigo est vide! Qui a pris tous les muffins? Serait-ce la créature du marais? Les habitants du village se postent près du marais pour surprendre la créature, mais il n'y a que Gérard qui bouge dans les fourrés! Tout le monde découvre finalement Oncle Caïman qui est malade d'avoir mangé trop de muffins! C'est Petit Gator qui a pris les muffins et les a vendus à l'Oncle. Tout le monde veut aider Desmond à refabriquer beaucoup de muffins, mais celui-ci découvre que finalement, il adore faire des muffins. Il donne son frigo à Petit Gator pour le transformer en voiture de course!
3 - L'anniversaire de Sébastien
Sébastien rencontre Desmond qui lui dit que la veille, c'était l'anniversaire de Léna: il y a eu une petite fête avec un gâteau et des cadeaux. C'était très agréable pour tout le monde. Cette histoire donne une idée au lapin qui dit à Desmond que c'est aujourd'hui son anniversaire et qu'il l'invite.
Plus tard, Desmond se présente chez Sébastien pour son anniversaire: il a apporté un gâteau et un cadeau. Mais il n'y a pas d'autres invités! Sébastien mange tout le gâteau et ne s'occupe pas de Desmond! Le cochon est déçu et retourne chez lui. Desmond rencontre Willie qui est de mauvaise humeur parce que Sébastien l'a invité pour son anniversaire et qu'il s'y est ennuyé! Ils rencontrent alors Elie et Petit Gator qui se rendent chez Sébastien pour son anniversaire! Ils comprennent alors que Sébastien fête tous les jours son anniversaire!
Desmond et ses amis viennent se plaindre à Sébastien, qui s'excuse et invite tout le monde pour le soir même: le 6 juin, c'est la bonne date!
Les autres vont vérifier auprès de Gérard, qui consulte son dossier: Sébastien a son anniversaire le 9 juin. Ainsi, Sébastien s'est encore moqué d'eux! Personne ne se rend chez le lapin, qui est très triste. En réalité, Gérard qui avait mélangé tous ses papiers, s'est trompé! Il a lu la feuille à l'envers et l'anniversaire de Sébastien est bien le 6 juin. Tout le monde est d'accord de fêter Sébastien avec un jour de retard.
4 - Willie veut être le meilleur
Willie se balade et rencontre Charlotte qui construit un pont. Comme il prétend pouvoir le faire, elle lui donne un clou à clouer, mais il n'y arrive pas.
Il arrive en skate près de Léna qui vernit les ongles d'Elie. Il veut montrer qu'il peut aussi bien faire que Léna, mais il met du vernis partout!
Il rencontre ensuite Sébastien qui court: Sébastien est vraiment le plus rapide à la course! Il se rend alors chez Desmond et veut faire des muffins mais il laisse tout brûler… Il s'en va en perdant sa poupée Choupinette.
Willie est triste parce qu'il est nul, dit-il. Il ne sait pas faire ce que les autres font. Il décide qu'il peut être le meilleur en méchanceté et en colère!
Le lendemain, il va montrer à tous qu'il est le pire!
Il casse les vitres de la maison de Desmond, il sabote le pont de Charlotte et elle tombe dans le ruisseau, il fait des graffiti au vernis à ongles sur la maison de Léna!
Le lendemain, personne ne veut lui parler. Il est triste et veut se consoler en parlant avec ses poupées, mais il constate alors que Choupinette a disparu. Il est tout seul et tout triste.
Puis, tous les voisins arrivent chez lui pour lui dire que ce n'est pas bien d'être méchant. En plus, c'est facile, tout le monde peut le faire! Willie a pourtant un talent! Il sait fabriquer des poupées. Desmond lui rend Choupinette et Léna lui propose de monter un spectacle de marionnettes. Là, Willie est vraiment le meilleur.
Note de contenu :
Au milieu de la forêt des framboisiers, une petite communauté animale mène une vie bien tranquille. Desmond, le petit cochon, passe sa journée à cuisiner des pancakes, à se prélasser dans son sauna et à se rouler dans la boue. Léna l'élan reçoit les dames dans sa boutique d'esthéticienne. Gérard Caribou, le maire du village, approuve des propositions de loi et en pince secrètement pour la belle Eli Gator. Sébastien le lapin s'entraîne à la boxe sur son putching ball et fête son anniversaire le plus souvent possible. Willie le Putois casse les oreilles de tout le monde avec sa guitare électrique.
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où chacun s'aperçoit qu'il s'est fait cambrioler. Qui a pu faire un coup pareil ? Pour Desmond, il ne peut s'agir que de l'abominable créature du marais, que personne n'a jamais vue mais qui hante les cauchemars de tous les habitants de la forêt. Avec l'aide de ses amis, il construit un piège pour venir à bout du monstre. Cette intrigue principale est entrecoupée d'une série de flashbacks qui éclairent les faiblesses de chacun des personnages, et la manière dont ils sont arrivés à les dépasser. Mignonnet, le film, qui s'adresse aux enfants de 4 à 10 ans, souffre de cette structure tarabiscotée et manque par ailleurs d'un peu de piquant.
Voilà un film charmant à l'image de son personnage principal, Desmond, un sympathique petit cochon qui vit avec ses amis dans un coin de clairière bien agréable. Mais l'abominable créature du marais leur rend à tous la vie impossible ; enfin... si elle existe, car personne ne l'a jamais vue ! Mais qui d'autre aurait pu voler les pommes de Desmond, la collection de rouges à ongles de Léna la dame élan, la guitare électrique de Willie le putois et les gants de boxe de Sébastien Lapin ? Non, vraiment, trop c'est trop ! Ensemble, ils décident de construire un piège : un piège à créature du marais...
Ce film d'animation saura charmer les enfants sans les effrayer malgré la mystérieuse présence de la créature des marais. Il les fera participer à de joyeuses aventures tout en brossant une belle galerie de portraits d'animaux aussi charmants que loufoques.
Niveau : Primaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303782 19 H.1.04340/17 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Die Welle" / Vinciane Fonck
Supplément de La vague / Dennis Gansel
Titre : Dossier pédagogique de "Die Welle" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2009 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 32 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Index. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et +
Supplément de La vague / Dennis Gansel
Dossier pédagogique de "Die Welle" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2009 . - 32 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Index. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303772 19 H.1.04340/12 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "La domination masculine"
Accompagne La domination masculine / Patric Jean
Titre : Dossier pédagogique de "La domination masculine" Type de document : texte imprimé Importance : 178 pp. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films
Accompagne La domination masculine / Patric Jean
Dossier pédagogique de "La domination masculine" [texte imprimé] . - [s.d.] . - 178 pp.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303856 19 H.1.4380 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" / Christine Courme-Thubert
Supplément de 12 hommes en colère / Sidney Lumet
Titre : Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de 12 hommes en colère / Sidney Lumet
Dossier pédagogique de "Douze hommes en colère" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
Douze hommes en colère (12 Angry Men) est un drame judiciaire américain réalisé par Sidney Lumet et sorti en 1957.
* Oscars 1958 : Meilleur film, Meilleur réalisateur pour Sidney Lumet et Meilleur scénario adapté pour Reginald Rose.
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur film.
* Festival International du film de Berlin 1957 : Ours d'or
* Festival international du film de Locarno 1957 : Mention spéciale
* British Academy Film Awards 1958 : Meilleur acteur étranger pour Henry Fonda
* Prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario pour Reginald Rose
* Entrée au National Film Registry en 2007.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : 12 Angry Men Douze hommes en colère Sidney Lumet Reginald Rose Robert Markell Boris Kaufman Carl Lerner Kenyon Hopkins United Artists Henry Fonda Claude Perran Martin Balsam John Fiedler Lee J. Cobb E.G. Marshall Jack Klugman Ed Binns Jack Warden Joseph Sweeney Léonce Corne Ed Begley Jiri Voskovec Robert Webber John Savoca Rudy Bond James Kelly Billy Nelson Cinéma américain
RacismeIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Aux États-Unis, un jury de douze hommes doit statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le douzième — M. Davis joué par Henri Fonda —, sans être certain de l'innocence de l'accusé, a de sérieux doutes. Il expose fermement ses doutes et les failles de l'enquête, et retourne les autres jurés un par un, situation qui sert de révélateur des motivations et des préjugés de certains.
Note de contenu :
* Le scénario de Reginald Rose a au départ été écrit pour un téléfilm diffusé en 1954 puis adapté au théâtre l'année suivante. Cette pièce a été créée en France en 1958 au théâtre de la Gaîté-Montparnasse dans une mise en scène de Lars Schmidt.
* Sur les 12 jurés du téléfilm d'origine, 2 figurent également dans le film : Joseph Sweeney et George Voskovec.
* Au fur et à mesure du tournage, le réalisateur Sidney Lumet utilisa des objectifs de focales croissantes, de sorte que les décors semblent se rapprocher des protagonistes, accroissant le sentiment d'étouffement.
* Le film est un huis clos spatialement limité à une salle exigüe à côté de la salle d'audience. Un personnel du tribunal enferme les douze hommes à clef pour la délibération, le ventilateur semble en panne et la chaleur écrasante fait transpirer les jurés. Ces différents éléments contribuent à donner une sensation d'étouffement général qui s'ajoute à la tension entre les jurés qui s'opposent verbalement et physiquement de manière très vive sur la culpabilité du prévenu. Un bref intermède spatial a lieu dans les toilettes contigües à la pièce.
* Le film respecte donc la règle classique des trois unités: unité de temps, unité de lieu et unité d'action.
* Jusqu'au dernier instant du film, aucun des noms des protagonistes n'est prononcé : les 12 hommes ne s'appellent jamais par leur patronyme. On découvre les noms des deux premiers jurés en faveur de la non culpabilité — M. Davis (Henri Fonda) et M. MacCardle (Joseph Sweeney) — lorsqu'ils quittent le tribunal avant le mot fin.
* Dans la série américaine Happy Days (1978), l'épisode 27 de la saison 5 Coupable ou non coupable est clairement une adaptation du film : juré dans une affaire de vol, Fonzie est le seul à croire l'accusé (un motard) non coupable... il va essayer de convaincre les autres jurés de son innocence.
* Le scénario du film a également été adapté dans d'autres séries Preuve à l'appui (saison 3, épisode 2, Sans preuve à l'appui), Demain à la une (saison 1, épisode 17 Juré malgré lui) The Dead Zone (saison 1, épisode 5, Coupable) Veronica Mars (saison 2, épisode 10, Une Affaire simple), Monk (saison 4, épisode 16, Monk est juré) Ma famille d'abord, Hancock's Half Hour, Un drôle de shérif, Larry et Balki, The Odd Couple, King of the Hill, Matlock, voire le dessin animé Hé Arnold !. À noter qu'un remake par la série 7 à la maison (saison 4, épisode 17, Douze jurés en colère) où le personnage principal, Eric Camden tente de convaincre de la culpabilité de l'accusé, ce qui est l'inverse du film de Lumet.
* Dans Les Simpsons , l'épisode 20 de la saison 5, intitulé Le Garçon qui en savait trop fait référence à Douze hommes en colère : Homer, désigné comme juré, est seul à voter non coupable.
* Dans le manga L'Ara aux sept couleurs, épisode 21 (qui porte le nom de l'œuvre d'origine, Douze hommes en colère), l'intrigue est inversée et l'Ara cherche à prouver la culpabilité de l'accusé.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303677 19 H.1.04339/4 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "L'écume des jours" / Charlotte Béra
Titre : Dossier pédagogique de "L'écume des jours" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Béra, Auteur ; Boris Vian, Auteur ; Michel Gondry (1963-....), Metteur en scène, réalisateur Editeur : [Paris] : Librairie générale française Année de publication : 2013 Importance : 96 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Pays : france Dossier pédagogique de "L'écume des jours" [texte imprimé] / Charlotte Béra, Auteur ; Boris Vian, Auteur ; Michel Gondry (1963-....), Metteur en scène, réalisateur . - [Paris] : Librairie générale française, 2013 . - 96 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsIndex. décimale : 19 Monographies : films Pays : france Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304355 19 H.1.04642 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Eldorado" / Vinciane Fonck
Supplément de Eldorado / Bouli Lanners
Titre : Dossier pédagogique de "Eldorado" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 24 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Eldorado / Bouli Lanners
Dossier pédagogique de "Eldorado" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2008 . - 24 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303764 19 H.1.04340/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "L'enfant qui voulait être un ours" / Michel Condé
Supplément de L'enfant qui voulait être un ours / Jannik Hastrup
Titre : Dossier pédagogique de "L'enfant qui voulait être un ours" Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur ; Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2003 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Supplément de L'enfant qui voulait être un ours / Jannik Hastrup
Dossier pédagogique de "L'enfant qui voulait être un ours" [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur ; Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2003 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
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Education par les médias:Société:Ages de la vie:EnfanceIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303749 19 H.1.04340/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 303751 vente 2.90€ Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Entre les murs"
Suppléments
Supplément de Entre les murs / Laurent Cantet
Titre : Dossier pédagogique de "Entre les murs" Type de document : texte imprimé Editeur : Zérodeconduite.net Importance : 53 pp. Note générale : Pour le cours de français, de sciences sociales Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
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Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : secondaire supérieur
Supplément de Entre les murs / Laurent Cantet
Dossier pédagogique de "Entre les murs" [texte imprimé] . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, [s.d.] . - 53 pp.
Pour le cours de français, de sciences sociales
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Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : secondaire supérieur
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301521 19 H.1.04339/27 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Entre les murs" / Michel Condé
Supplément de Dossier pédagogique de "Entre les murs"
Titre : Dossier pédagogique de "Entre les murs" Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur ; Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 28 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Education par les médias:Société:Ages de la vie:Adolescence
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Dossier pédagogique de "Entre les murs"
Dossier pédagogique de "Entre les murs" [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur ; Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2008 . - 28 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
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Education par les médias:Société:Ages de la vie:Adolescence
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303768 19 H.1.04340/10 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Entre nos mains"
Accompagne Entre nos mains / Mariana Otero
Titre : Dossier pédagogique de "Entre nos mains" Type de document : texte imprimé Editeur : Zéro de conduite Importance : 24 p. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Genre : Dossier pédagogique Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire
Accompagne Entre nos mains / Mariana Otero
Dossier pédagogique de "Entre nos mains" [texte imprimé] . - [S.l.] : Zéro de conduite, [s.d.] . - 24 p.
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Education par les médias:Sciences humaines:Economie
Education par les médias:Sciences humaines:Politique / luttes sociales
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesIndex. décimale : 19 Monographies : films Genre : Dossier pédagogique Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303988 19 H.1.04339/31 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de L'expérience / Oliver Hirschbiegel
Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" / Vincent Malausa
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Titre : Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Malausa, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur
Supplément de La famille Tenenbaum / Wes Anderson
Dossier pédagogique de "La famille Tenenbaum" [texte imprimé] / Vincent Malausa, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) est un film américain réalisé par Wes Anderson et écrit par Wes Anderson et Owen Wilson, sorti en salles en 2001.
Récompenses :
Le film a été nommé à vingt-huit prix et en a obtenu neuf:
* BAFTA 2002
o Nommé au BAFTA du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Berlinale 2002
o Nommé à l'Ours d'Or du Meilleur film pour Wes Anderson
* Oscars du cinéma 2002
o Nommé à l'Oscar du meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson
* Prix de la critique
o Prix de la National Society of Film Critics 2002
+ Prix NSFC pour Gene Hackman.
o Prix de la Online Film Critics Society 2002
+ Nommé au meilleur ensemble
+ Nommé au meilleur scénario original pour Wes Anderson et Owen Wilson.
* Prix d'associations de professionnels du cinéma
o Arts Directors Guild
+ Nommé à l'Excellence in Production Design Award
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Wes Anderson Barry Mendel Scott Rudin Touchstone Pictures Carl Sprague Robert D. Yeoman David Wasco Daniel R. Padgett Dylan Tichenor Mark Mothersbaugh Nick Drake Van Morrison Lou Reed The Rolling Stones The Beatles Ramones The Clash Elliott Smith Maurice Ravel Erik Satie Antonio Vivaldi Gene Hackman Jacques Richard Anjelica Huston Monique Thierry Gwyneth Paltrow Barbara Kelsch Ben Stiller Maurice Decoster Luke Wilson Patrick Mancini Owen Wilson Éric Legrand Danny Glover Richard Darbois Bill Murray Gabriel Le Doze Alec Baldwin Hervé Jolly Seymour Cassel Cinéma américain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Pour rassembler sa famille, Royal Tenenbaum fait croire à son ex-femme et à ses enfants qu'il est atteint d'un mal incurable et qu'il ne lui reste que quelques semaines à vivre.
Les enfants Tenenbaum sont tous des êtres exceptionnellement intelligents. Dès son plus jeune âge, Chas est une pointure dans le monde de la finance, Richie est un champion de tennis et Margot, leur sœur adoptive, est une brillante dramaturge lauréate du prix Pulitzer.
Traversant une période difficile, tous les enfants Tenenbaum repartent s'installer chez leur mère : Chas ne se remet pas de la mort de son épouse, Margot déprime dans sa baignoire, incomprise par son mari Raleigh, plus âgé, qu'elle trompe avec Eli Cash, et n'écrit plus de pièces depuis des années, et Richie, qui a tout abandonné pour partir seul en bateau autour du monde, est depuis toujours désespérément amoureux de Margot.
Petit à petit, les personnages en viennent à comprendre ce qui les trouble les uns les autres, et les secrets sont dévoilés : Raleigh découvre les infidélités de Margot, la famille découvre que Royal n'est pas malade, Margot rompt avec Eli, qui se drogue, et Richie tente de se suicider puis avoue son amour à Margot qui l'aime également.
Royal finit par signer son divorce, permettant ainsi à Etheline de se remarier avec son collègue. Royal parvient à créer une relation avec ses enfants et petits enfants, Eli suit une cure de désintoxication, Richie devient professeur de tennis et Margot sort une nouvelle pièce. Quand plus tard, Royal meurt d'une crise cardiaque, il est réconcilié avec toute sa famille.
Note de contenu :
Les scènes extérieures sont toutes filmées à New York. Tout a pourtant été fait pour que cela ne paraisse pas. Par exemple, en cachant la Statue de la Liberté en plaçant les acteurs devant.
À l'origine, le réalisateur Wes Anderson souhaitait ouvrir le film avec le célèbre Hey Jude des Beatles. La mort du guitariste George Harrison l'empêcha de négocier les droits du morceau. Il songea alors à Elliott Smith pour enregistrer une reprise du morceau. Malheureusement, les problèmes de drogue et la dépression, dont souffraient le chanteur en 2001, contraignirent le réalisateur à confier la reprise à Mutato Muzika Orchestra.
Elliott Smith marque toutefois la bande originale du film par son Needle in the Hay, qui figurait sur son second album solo éponyme. On entend ce titre lorsque Richie Tenenbaum s'ouvre les veines dans la salle de bain. Ironie du sort, Elliott Smith, selon la version actuelle des faits, s'est suicidé de coups de couteau dans la poitrine en 2003, suite à une dispute avec sa petite amie, qui s'était elle-même enfermée dans la salle de bains.
Les destins dramatiques se bousculent sur la bande originale, puisqu'on trouve également les titres :
1. Fly, du chanteur folk Nick Drake, mort d'une overdose d'un anti-dépresseur, bien que l'on n'ait jamais pu déterminer si celle-ci fut accidentelle ou non.
2. These Days et The Fairest Of The Seasons de Nico, égérie du Velvet Underground. Héroïnomane souffrant du syndrome d'Asperger, elle mourut d'un banal accident de vélo sur l'île d'Ibiza.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303678 19 H.1.04339/5 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Fast Food Nation" / Anne Vervier
Accompagne Fast food nation
Titre : Dossier pédagogique de "Fast Food Nation" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2007 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santéIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire
Accompagne Fast food nation
Dossier pédagogique de "Fast Food Nation" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2007 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education à la santéIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Primaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303805 19 H.1.04340/24 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" / Susana Arbizu
Supplément de Fausta la teta asustada / Claudia Llosa
Titre : Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" Type de document : texte imprimé Auteurs : Susana Arbizu, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 23 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
Fausta est un film hispano-péruvien, deuxième long-métrage de la réalisatrice Claudia Llosa. Inspiré de faits réels qui ont eu lieu pendant le conflit interne au Pérou entre 1980 et 1992, ce film raconte l'histoire d'une jeune fille marquée par ces événements. Fausta évoque cette période pour approfondir dans l'histoire des survivants et de la génération suivante. Le film a été projeté pour la première fois le 12 février 2009, pendant le 59° Festival de Berlin, où il a été récompensé de l'Ours d'or. Il a été aussi distingué par d'autres nombreux prix dans le monde entier avant d'avoir été nommé aux Oscars 2010 dans la catégorie « Meilleur Film Étranger ».
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : La teta asustada Fausta Claudia Llosa Natasha Braier Selma Mutal Frank Gutiérrez Magaly Solier Susi Sánchez Marino Ballón Efarín Solós Bárbara Lazón María del Pilar Guerrero Delci Heredia Karla Heredia Fernando Caycho Edward Llungo Cinéma péruvien Cinéma espagnol Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film raconte l'histoire de Fausta (Magaly Solier), une jeune fille qui souffre de la maladie du « Sein effrayé ». Selon une croyance populaire, cette étrange maladie est transmise par le lait des mères ayant été violées par des soldats entre les années 1980-1992. Cette période correspond aux luttes anti-subversives menées par le Gouvernement péruvien contre des guérillas maoïstes dans les Andes.
Comme des milliers de personnes, Fausta s’est installée avec sa mère dans un bidonville de la périphérie de Lima, pour échapper à la violence des guérillas et de l’Armée. La mère de Fausta meurt, et celle-ci décide de faire le voyage de retour à son village pour l’enterrer. Sans argent pour y parvenir, Fausta se met au service d’une riche aristocrate comme femme de ménage. Mais Fausta n’est pas une fille normale. Sa maladie fait d’elle une personne très peureuse, surtout des hommes. Le viol qu’a subi sa mère est à l’origine de son caractère introverti. Pour éviter toute tentative de viol, Fausta garde une pomme de terre dans son vagin et ne parle jamais aux inconnus.
Mais ce nouveau travail l’oblige à traverser toute la ville pour se rendre chez Aída, une femme issue de l’aristocratie de Lima et pianiste en manque d’inspiration. Elle doit maintenant éviter les gens qu’elle rencontre sur le chemin et dans la riche maison d’Aida, où il y a toujours des hommes au travail. Entre autres, Fausta fait la connaissance de Noé, le jardinier, un homme qui lui montre que tous les hommes ne sont pas dangereux, au moins pas lui.
Très vite se noue une relation entre la maîtresse de la maison et la nouvelle femme de ménage. Fausta a l’habitude de répéter les chansons que sa mère lui chantait dans leur langue, le quechua, et Aida remarque avec bienveillance sa belle voix. Elle lui propose un marché : pour chaque chanson que Fausta aura chanté, elle recevra une perle.
Mais la santé de Fausta se dégrade, car la pomme de terre a commencé à pourrir, et l’avidité d’Aida ne tarde pas à se dévoiler. Pour son dernier concert, elle adapte au piano une chanson de Fausta sans lui demander et la renvoie de son emploi quand la fille se rend compte du plagiat.
Fausta revient chez Aida pour prendre toutes les perles qui lui appartiennent, et se réveille dans un lit d’hôpital, après avoir subi une opération. Noé l’a retrouvée allongée par terre après s’être évanouie, et l’a amenée à l’hôpital, où les médecins ont retiré la pomme de terre.
Avec l’argent des perles, Fausta pourra enfin partir à son village et enterrer sa mère. Une fois sur le chemin, elle voit le désert et la mer, et descend avec le cadavre de sa mère, qu’elle laissera partir dans l’eau.
Note de contenu :
Entre 1980 et 1992, le Pérou a connu une période de violence terroriste, surtout dans la région montagneuse des Andes, à cause des actions du groupe Maoiste Sentier Lumineux et de la réponse des forces paramilitaires et des forces armées de l’État. En 1990, le conflit armé est arrivé à la ville de Lima, la capitale du Pérou. Le film de Claudia Llosa fait référence à une croyance populaire selon laquelle le traumatisme des femmes ayant subi un viol par des soldats serait transmis par le lait à ses enfants, d’où « La teta asustada », le titre en espagnol, ou « Le sein effrayé ». Cette période de violence affecte encore non seulement ceux qui l’ont subi, mais aussi la génération suivante.
Le film est basé sur le livre Entre Prójimos de Kimberly Theidon, Professeur au Département d’Anthropologie de l’Université de Harvard, et directeur de Praxis, Institut pour la Justice Sociale. Ce livre rassemble beaucoup de témoignages des femmes violées pendant cette période et des victimes de la violence en général. Le film de Llosa est une tentative de répondre aux témoignages de ces victimes.
La musique de Fausta regroupe des chansons de la culture populaire péruvienne et des compositions de Magaly Solier avec des paroles de Claudia Llosa.
La critique internationale parle de Fausta en très bons termes. Pour la première fois un film péruvien a remporté l’Ours d’Or à Berlin et a été nommé aux Oscars.
Pourtant, des nombreuses polémiques autour du film dans son pays d’origine se sont relayées pour montrer le mécontentement d’un secteur de la population péruvienne. Le film est accusé de raciste, il se voit reprocher la représentation qu’il fait de la pauvreté du pays, et même son succès dans les Festivals internationaux est critiqué.Niveau : Secondaire supérieur
Supplément de Fausta la teta asustada / Claudia Llosa
Dossier pédagogique de "Fausta, la teta asustada" [texte imprimé] / Susana Arbizu, Auteur . - [S.l.] : Zérodeconduite.net, 2007 . - 23 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
Fausta est un film hispano-péruvien, deuxième long-métrage de la réalisatrice Claudia Llosa. Inspiré de faits réels qui ont eu lieu pendant le conflit interne au Pérou entre 1980 et 1992, ce film raconte l'histoire d'une jeune fille marquée par ces événements. Fausta évoque cette période pour approfondir dans l'histoire des survivants et de la génération suivante. Le film a été projeté pour la première fois le 12 février 2009, pendant le 59° Festival de Berlin, où il a été récompensé de l'Ours d'or. Il a été aussi distingué par d'autres nombreux prix dans le monde entier avant d'avoir été nommé aux Oscars 2010 dans la catégorie « Meilleur Film Étranger ».
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : La teta asustada Fausta Claudia Llosa Natasha Braier Selma Mutal Frank Gutiérrez Magaly Solier Susi Sánchez Marino Ballón Efarín Solós Bárbara Lazón María del Pilar Guerrero Delci Heredia Karla Heredia Fernando Caycho Edward Llungo Cinéma péruvien Cinéma espagnol Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film raconte l'histoire de Fausta (Magaly Solier), une jeune fille qui souffre de la maladie du « Sein effrayé ». Selon une croyance populaire, cette étrange maladie est transmise par le lait des mères ayant été violées par des soldats entre les années 1980-1992. Cette période correspond aux luttes anti-subversives menées par le Gouvernement péruvien contre des guérillas maoïstes dans les Andes.
Comme des milliers de personnes, Fausta s’est installée avec sa mère dans un bidonville de la périphérie de Lima, pour échapper à la violence des guérillas et de l’Armée. La mère de Fausta meurt, et celle-ci décide de faire le voyage de retour à son village pour l’enterrer. Sans argent pour y parvenir, Fausta se met au service d’une riche aristocrate comme femme de ménage. Mais Fausta n’est pas une fille normale. Sa maladie fait d’elle une personne très peureuse, surtout des hommes. Le viol qu’a subi sa mère est à l’origine de son caractère introverti. Pour éviter toute tentative de viol, Fausta garde une pomme de terre dans son vagin et ne parle jamais aux inconnus.
Mais ce nouveau travail l’oblige à traverser toute la ville pour se rendre chez Aída, une femme issue de l’aristocratie de Lima et pianiste en manque d’inspiration. Elle doit maintenant éviter les gens qu’elle rencontre sur le chemin et dans la riche maison d’Aida, où il y a toujours des hommes au travail. Entre autres, Fausta fait la connaissance de Noé, le jardinier, un homme qui lui montre que tous les hommes ne sont pas dangereux, au moins pas lui.
Très vite se noue une relation entre la maîtresse de la maison et la nouvelle femme de ménage. Fausta a l’habitude de répéter les chansons que sa mère lui chantait dans leur langue, le quechua, et Aida remarque avec bienveillance sa belle voix. Elle lui propose un marché : pour chaque chanson que Fausta aura chanté, elle recevra une perle.
Mais la santé de Fausta se dégrade, car la pomme de terre a commencé à pourrir, et l’avidité d’Aida ne tarde pas à se dévoiler. Pour son dernier concert, elle adapte au piano une chanson de Fausta sans lui demander et la renvoie de son emploi quand la fille se rend compte du plagiat.
Fausta revient chez Aida pour prendre toutes les perles qui lui appartiennent, et se réveille dans un lit d’hôpital, après avoir subi une opération. Noé l’a retrouvée allongée par terre après s’être évanouie, et l’a amenée à l’hôpital, où les médecins ont retiré la pomme de terre.
Avec l’argent des perles, Fausta pourra enfin partir à son village et enterrer sa mère. Une fois sur le chemin, elle voit le désert et la mer, et descend avec le cadavre de sa mère, qu’elle laissera partir dans l’eau.
Note de contenu :
Entre 1980 et 1992, le Pérou a connu une période de violence terroriste, surtout dans la région montagneuse des Andes, à cause des actions du groupe Maoiste Sentier Lumineux et de la réponse des forces paramilitaires et des forces armées de l’État. En 1990, le conflit armé est arrivé à la ville de Lima, la capitale du Pérou. Le film de Claudia Llosa fait référence à une croyance populaire selon laquelle le traumatisme des femmes ayant subi un viol par des soldats serait transmis par le lait à ses enfants, d’où « La teta asustada », le titre en espagnol, ou « Le sein effrayé ». Cette période de violence affecte encore non seulement ceux qui l’ont subi, mais aussi la génération suivante.
Le film est basé sur le livre Entre Prójimos de Kimberly Theidon, Professeur au Département d’Anthropologie de l’Université de Harvard, et directeur de Praxis, Institut pour la Justice Sociale. Ce livre rassemble beaucoup de témoignages des femmes violées pendant cette période et des victimes de la violence en général. Le film de Llosa est une tentative de répondre aux témoignages de ces victimes.
La musique de Fausta regroupe des chansons de la culture populaire péruvienne et des compositions de Magaly Solier avec des paroles de Claudia Llosa.
La critique internationale parle de Fausta en très bons termes. Pour la première fois un film péruvien a remporté l’Ours d’Or à Berlin et a été nommé aux Oscars.
Pourtant, des nombreuses polémiques autour du film dans son pays d’origine se sont relayées pour montrer le mécontentement d’un secteur de la population péruvienne. Le film est accusé de raciste, il se voit reprocher la représentation qu’il fait de la pauvreté du pays, et même son succès dans les Festivals internationaux est critiqué.Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303676 19 H.1.04339/2 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique du film "Les enfants invisibles"
Titre : Dossier pédagogique du film "Les enfants invisibles" Type de document : texte imprimé Editeur : UNICEF Année de publication : 2009 Importance : 28 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Ages de la vie:EnfanceIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : À l’occasion des 20 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant, en 2009, il était plus que jamais urgent de rappeler le sort de ces millions d’enfants qui vivent dans l’ombre.
Parce que le film « Les enfants invisibles » dénonce la situation de 7 enfants dont la vie et le destin sont devenus invisibles aux yeux de leur entourage et du monde, l’Unicef France a souhaité s’associer à sa diffusion pour sensibiliser les jeunes aux conditions de vie et au respect des droits des enfants dans le monde.
À travers les personnages du film, ce sont en effet les dizaines de millions d’enfants qui vivent dans la rue, les centaines de milliers d’enfants pris dans les conflits armés, les plus de deux millions d’enfants de moins de quinze ans qui vivent avec le virus du sida, les millions d’enfants qui sont exclus qui s’expriment.
Avec ce dossier pédagogique, conforme aux programmes scolaires, vous pourrez illustrer de façon concrète vos activités pédagogiques. En s’appuyant sur le film, ce dossier apportera à la fois une information de fond sur les droits et les conditions de vie des enfants dans le monde et des pistes d’exploitation pédagogique.Dossier pédagogique du film "Les enfants invisibles" [texte imprimé] . - [S.l.] : UNICEF, 2009 . - 28 p.
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Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Ages de la vie:EnfanceIndex. décimale : 19 Monographies : films Résumé : À l’occasion des 20 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant, en 2009, il était plus que jamais urgent de rappeler le sort de ces millions d’enfants qui vivent dans l’ombre.
Parce que le film « Les enfants invisibles » dénonce la situation de 7 enfants dont la vie et le destin sont devenus invisibles aux yeux de leur entourage et du monde, l’Unicef France a souhaité s’associer à sa diffusion pour sensibiliser les jeunes aux conditions de vie et au respect des droits des enfants dans le monde.
À travers les personnages du film, ce sont en effet les dizaines de millions d’enfants qui vivent dans la rue, les centaines de milliers d’enfants pris dans les conflits armés, les plus de deux millions d’enfants de moins de quinze ans qui vivent avec le virus du sida, les millions d’enfants qui sont exclus qui s’expriment.
Avec ce dossier pédagogique, conforme aux programmes scolaires, vous pourrez illustrer de façon concrète vos activités pédagogiques. En s’appuyant sur le film, ce dossier apportera à la fois une information de fond sur les droits et les conditions de vie des enfants dans le monde et des pistes d’exploitation pédagogique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304329 19 H.1.04339/32 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique du film "Marion" / Anne Vervier
Titre : Dossier pédagogique du film "Marion" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1997 Importance : 28 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : famille Index. décimale : 19 Monographies : films Note de contenu : Sommaire :
- Préparer la vision du film
- Les personnages
- Les rapports sociaux
- Le discours moral du filmDossier pédagogique du film "Marion" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 1997 . - 28 p.
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Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : famille Index. décimale : 19 Monographies : films Note de contenu : Sommaire :
- Préparer la vision du film
- Les personnages
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304673 19 H.1.04340/37 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique du film "Sindbad" / Vinciane Fonck
Titre : Dossier pédagogique du film "Sindbad" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2003 Importance : 44 p. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : famille Index. décimale : 19 Monographies : films Note de contenu : Sommaire :
- Reconstituer les histoires
- Evoquer le contexteDossier pédagogique du film "Sindbad" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Liège (Belgique) : Les Grignoux, 2003 . - 44 p.
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : famille Index. décimale : 19 Monographies : films Note de contenu : Sommaire :
- Reconstituer les histoires
- Evoquer le contexteExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304674 19 H.1.04339/38 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Fleur du désert" / Anne Vervier
Accompagne Fleur du désert / Sherry Hormann
Titre : Dossier pédagogique de "Fleur du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2011 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et +
Accompagne Fleur du désert / Sherry Hormann
Dossier pédagogique de "Fleur du désert" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Les Grignoux, 2011 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Société:Culture et communautésIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Secondaire et + Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303799 19 H.1.04340/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Franz et le chef d'orchestre" / Vinciane Beelen
Supplément de Franz et le chef d'orchestre
Titre : Dossier pédagogique de "Franz et le chef d'orchestre" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Beelen, Auteur ; Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2006 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 28 pp. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
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Education par les médias:Arts et médias:Musique
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Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Maternelle et +
Supplément de Franz et le chef d'orchestre
Dossier pédagogique de "Franz et le chef d'orchestre" [texte imprimé] / Vinciane Beelen, Auteur ; Vinciane Fonck, Auteur . - Les Grignoux, 2006 . - 28 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
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Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueIndex. décimale : 19 Monographies : films Niveau : Maternelle et + Exemplaires
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