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Les nuits fauves / Michel Condé
Titre : Les nuits fauves : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Condé, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 1993 Note générale :
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Les nuits fauves : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Michel Condé, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 1993.
Les Nuits fauves est un film autobiographique franco-italien réalisé par Cyril Collard, sorti en 1992.
Ce film est le premier à avoir remporté à la fois la mention « meilleur film » et « meilleur premier film » aux César en 1993. Le cinéaste est décédé des suites du sida trois jours avant la cérémonie.
* Prix du public, lors du Festival international du jeune cinéma de Turin 1992.
* César du meilleur film, meilleure première œuvre, meilleur espoir féminin (Romane Bohringer) et meilleur montage, ainsi que nomination aux Césars du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure musique en 1993.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Les Nuits fauves Cyril Collard Jacques Fieschi Nella Banfi Alessandro Verdecchi Jean-Frédéric Samie René-Marc Bini Noir Désir Si rien ne bouge Manuel Teran Marc Koninckx Lise Beaulieu Jacky Macchi Régine Arniaud Romane Bohringer Carlos López Corine Blue Claude Winter Maria Schneider sida cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1986. Jean a 30 ans, il est chef opérateur, reconnu, doué, curieux de tout. Mais il est séropositif et sait qu'il sera un jour exclu de cette vie qu'il traque avec avidité à travers sa caméra. Au cours d'un casting pour une publicité, il rencontre Laura, jeune, belle, vivante. Une passion naît entre eux. Mais Jean est bisexuel et a d'autres liaisons, dont la découverte bouleverse la jeune femme ...
Lors de sa sortie, ce film remporte un succès populaire notamment auprès des jeunes. Il rend accessible aux spectateurs la réalité de la maladie et permet la discussion sur le sida et les difficultés de l'utilisation des moyens de prévention.
Note de contenu :
À l'origine du film, il y a l'autobiographie, écrite par Cyril Collard, romancier, musicien, cinéaste, bisexuel et atteint du sida, qui puisa dans ses dernières forces pour cette adaptation à l'écran. L'auteur s'est expliqué sur le titre Les Nuits fauves : « Il suggère l'opposition entre l'obscur, les ombres de la mort et la lumière solaire, éclatante ... C'est aussi une référence au fauvisme en peinture, dont on retrouve dans le film les couleurs primaires vives. »
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302191 19 H.1.01090 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 11 - Eté 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 128 Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 11 - Eté 2018 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 128 : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401257 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401257.pngPortable Network Graphics 13 - Hiver 2018-2019 (Bulletin de Médor. Trimestriel belge d'enquête et de récits)
[n° ou bulletin]
Titre : 13 - Hiver 2018-2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 128 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 13 - Hiver 2018-2019 [texte imprimé] . - 2018 . - 128 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305270 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible
Titre : Alfred Hitchcock Type de document : texte imprimé Auteurs : Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 25 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-521-0 Note générale : Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Alfred Hitchcock [texte imprimé] / Bill Krohn, Auteur ; Alfred Hitchcock, Personne honorée ; Émilie Saada, Traducteur . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 25) .
ISBN : 978-2-86642-521-0
Alfred Hitchcock est un réalisateur britannico-américain, également producteur et scénariste, né Alfred Joseph Hitchcock le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres) au Royaume-Uni et mort le 29 avril 1980 à Bel Air à Los Angeles aux États-Unis.
Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique.
Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise plus de cinquante longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art : ce sont, entre autres, Les 39 Marches, Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses, Psychose, ou encore Les Oiseaux.
Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du thriller, Hitchcock, « le maître du suspense », est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique, installant les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers cinématographique. Ses thrillers se caractérisent également, le plus souvent, par une habile combinaison entre tension et humour. Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte d'identité. Un thème que l'on rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres, avec certaines variations, est celui de l'innocent persécuté.
Doué par ailleurs d'un sens aigu de l'autopromotion — notamment au travers de ses caméos —, Hitchcock demeure aujourd'hui l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables, et les plus connues, à travers le monde.
Souvent considéré comme l'un des plus grands réalisateurs britanniques, son nom figure à la première place sur une liste dressée en 2007 par des critiques cinématographiques pour le Daily Telegraph, avec le commentaire : « Sans aucun doute le plus grand cinéaste à émerger de ces îles, Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en engageant comme nul autre les émotions du public. »
Alfred Hitchcock était Knight Commander (chevalier commandeur) de l'Ordre de l'Empire britannique.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Les 39 Marches Une femme disparaît Rebecca Correspondant 17 Soupçons L'Ombre d'un doute Les Enchaînés L'Inconnu du Nord-Express La Loi du silence Le Crime était presque parfait Fenêtre sur cour Le Faux Coupable L'Homme qui en savait trop Sueurs froides La Mort aux trousses Psychose Les Oiseaux Pas de printemps pour Marnie Alfred Hitchcock présente Cinéma anglais cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Alfred Hitchcock (Angleterre, 1899-1980) est l'un des plus célèbres réalisateurs au monde. Son nom est devenu synonyme de cinéma et ses films, véritables trésors du patrimoine artistique, suscitent au fil des générations un enthousiasme renouvelé. A partir des années 1920, Hitchcock donne au cinéma britannique quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre, parmi lesquels Les Trente-Neuf Marches (1935), Agent secret (1936) et Une femme disparaît (1938). Précédé d'une réputation de génie précoce, il se tourne ensuite vers Hollywood où, fusionnant modernité et classicisme, il entreprend de réinventer les codes de la grammaire cinématographique avec Vertigo (1957), La Mort aux trousses (1959) ou Les Oiseaux (1963), confiant à James Stewart et Cary Grant des rôles d'antihéros fascinants, et faisant de Grace Kelly, Kim Novak et Tippi Hedren les incarnations du "mythe de la blonde", à jamais gravées dans l'imaginaire du public. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300016 18 H.1.03183 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300016.jpgImage Jpeg L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 32-33 Titre : Le guépard (de Luchino Visconti) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1963 Note générale : Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
L'avant-scène cinéma, 32-33. Le guépard (de Luchino Visconti) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1963.
Le Guépard (Il Gattopardo) est un film franco-italien de
Luchino Visconti sorti en 1963 et adapté du roman homonyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
* Palme d'or au Festival de Cannes 1963.
* Sélection de la version restaurée au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Cannes Classics.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Il Gattopardo Le Guépard The Leopard Luchino Visconti Suso Cecchi D'Amico Pasquale Festa Campanile Enrico Medioli Massimo Franciosa Giuseppe Tomasi di Lampedusa René Barjavel Mario Garbuglia Piero Tosi Giuseppe Rotunno Mario Serandrei Mario Messina Nino Rota Giuseppe Verdi Franco Ferrara Alberto Testa Goffredo Lombardo Pietro Notarianni Titanus Pathé Cinéma Burt Lancaster Jean Martinelli Alain Delon Claudia Cardinale Paolo Stoppa Alfred Pasquali Rina Morelli Jacqueline Ferrière Romolo Valli Robert Marcy Mario Girotti Pierre Clémenti Ottavia Piccolo Serge Reggiani Giuliano Gemma Cinéma italien Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
L'action se passe en Sicile, dans les années 1860-1863. Lors du débarquement de l'armée révolutionnaire de Garibaldi à Marsala, qui vise à annexer le royaume des Bourbons à l'Italie du Nord, le prince Fabrizio Corbera de Salina quitte son domaine avec sa famille, pour son palais de villégiature dans le village de Donnafugata. Comprenant que les jours de la féodalité sont passés, il assure le mariage de son neveu Tancredi avec Angelica, la fille du riche maire libéral de Donnafugata, Don Calogero.
Note de contenu :
Visconti déclare : « J'épouse le point de vue de Lampedusa, et disons aussi de son personnage, le prince Fabrizio. Le pessimisme du prince Salina l'amène à regretter la chute d'un ordre qui, pour immobile qu'il ait été, était quand même un ordre. Mais, notre pessimisme se charge de volonté et, au lieu de regretter l'ordre féodal et bourbonien, il vise à établir un ordre nouveau. »[réf. nécessaire]
Le film décrit la gestion de crise de l'aristocratie italienne, dont la scène du bal (qui dure 45 minutes) donne la clé. Celle-ci fut tournée au palais Valguarnera-Gangi, à Palerme, mais l'essentiel du film est tourné au palais Chigi (it) d'Ariccia près de Rome[1]. Très impliqué dans l'écriture du personnage du prince Fabrizio, Visconti a choisi l'acteur américain Burt Lancaster pour l'incarner. Le choix surprit, mais se révéla remarquablement pertinent. L'osmose se répétera pour un autre rôle sur lequel Visconti se projetait tout autant, Violence et Passion en 1974.
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