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Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) / Anne Marquez
Titre : Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Marquez, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : s.d. Importance : 22 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) [texte imprimé] / Anne Marquez, Auteur . - Paris : CNC, s.d. . - 22 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
--- POUR LE COURS ÉDUCATION AUX MÉDIAS ---
Valse avec Bachir (Vals im Bashir) est un film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. C'est une coproduction israëlo-franco-allemande. Le film a obtenu de nombreux prix dans le monde, dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger et le César du meilleur film étranger en 2009, et était en compétition pour la Palme d'or 2008 et l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2009.
Distinctions :
* Le film a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2008[10]
* Six Ophirs du cinéma israéliens : Meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleure bande son, meilleur montage, meilleur design artistique
* Prix du meilleur film d'animation lors des Asian Pacific Screen Awards
* Golden Globe Award 2009 : Meilleur film étranger
* Prix des auditeurs du Masque et la Plume 2008 du film étranger.
* César du meilleur film étranger 2009
* Nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère 2009.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Valse avec Bachir Vals im Bashir Ari Folman Max Richter Nili Feller Serge Lalou Geirhard Meixner Yael Nahlieli Roman Paul Bridgit Folman Film Gang Les Films d'Ici Razor Film Produktion GmbH Arte Tal Gadon Gali Edelbaum Neta Holzer Asenath 'Osi' Wald Sefi Ayego Orit Shimon Zohar Shahar Lilach Sarid Barak Drori Documentaire Animation Guerre Patrick Floersheim Miki Leon Ori Sivan Yehezkel Lazarov Ronny Dayag Shmuel Frenkel Zahava Solomon Ron Ben-Yishai Dror Harazi Cinéma israélien Cinéma allemand Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1982, durant l'opération « paix en Galilée », le jeune Ari Folman, dix-neuf ans, fait son service militaire. Vingt-quatre ans plus tard, en 2006, il rencontre un ami de cette époque, Boaz, qui lui parle d'un rêve étrange qu'il fait toutes les nuits depuis plus de deux ans, mettant en scène des chiens qu'il a tués durant la guerre.
Ari tente alors de se rappeler cette période de sa vie, sans y parvenir. Il parvient cependant à se remémorer une scène qu'il ne peut interpréter : lui et deux jeunes soldats sortant nus de la mer sous la lumière de fusées éclairantes dans la baie de Beyrouth. Il pense alors qu'il s'agit des scènes du massacre de Sabra et Chatila, où l'armée israélienne a couvert les milices phalangistes chrétiennes, mais sans en être sûr, sans même savoir s'il était réellement présent près du camp cette nuit du 17 septembre 1982. Ari Folman décide de rencontrer des compagnons de cette période et de les questionner sur la guerre. Mais il doit se rendre à l'évidence : premièrement, ses amis n'arrivent pas à tout se rappeler, et deuxièmement, il est probable que les événements anciens que se racontent ces vétérans n'aient jamais eu lieu et soient des faux souvenirs créés par leur inconscient afin d'obscurcir les souvenirs des trop douloureuses scènes de guerre.
Petit à petit, Ari retrouve par flash des scènes de cette guerre et de sa participation : l'attaque d'une voiture civile ; la mort d'un enfant ayant tiré une roquette sur un char ; l'attaque de son tank ; sa permission au bout de six semaines de guerre… Mais surtout, il redécouvre qu'il a indirectement participé au massacre, en tirant des fusées éclairantes depuis le toit d'un immeuble pour faciliter la tâche des miliciens.
Le film se termine par des images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres.
Note de contenu :
L'œuvre met en avant le questionnement sur la culpabilité, en utilisant entre autres l'analyse des rêves, faites par des psychanalystes dans le film.
Valse avec Bachir est le premier long-métrage documentaire d'animation et l'une des principales œuvres du genre. Ce film, proche du questionnement documentaire, aborde la question de la mémoire et de l'oubli. Il s'intéresse en particulier aux soldats israéliens confrontés aux souvenirs du massacre de Sabra et Chatila en 1982 lors de l'intervention militaire israélienne au Liban de 1982 : étaient-ils partie prenante ou simplement spectateurs ? Un tel thème historique est atypique pour un film d'animation.
Valse avec Bachir explore la mémoire du réalisateur, Ari Folman. Il ne cache pas que ce film est fondé sur son histoire personnelle et dont les nuits sont troublées par des hallucinations. Il est fondé sur des interviews réelles, d'amis de l'époque qu'il est allé retrouver. La plupart témoignent sous leur vrai nom. Par ailleurs, Ari Folman précise que les dessins de son film ne sont pas réalisés en rotoscopie. « Chaque dessin du film a été créé de toutes pièces », explique-t-il.
Le titre du film fait référence à une scène durant laquelle, pendant un combat en plein Beyrouth, un soldat israélien tire longuement avec une MAG en tournant sur lui-même, effectuant ce qui ressemble à une valse, à quelques mètres d'un immense portrait de Bachir Gemayel. Le récent meurtre de Gemayel ayant été l'événement déclencheur des massacres de Sabra et Chatila, cette scène est une métaphore sur les relations entre les Phalangistes (les hommes de Bachir) et l'armée israélienne.
Le film était en compétition officielle du 61e Festival de Cannes (2008), où il a reçu un large succès de la critique lors de sa première. Alors que Valse avec Bachir n'a pas été primé lors du Festival de Cannes 2008, le film a obtenu le Golden Globe Award du meilleur film étranger en 2009 et a été en compétition avec quatre autres films pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère la même année.
L'essentiel de la bande originale a été composée par Max Richter, un compositeur allemand associé au mouvement « post-minimaliste ». Ses musiques aident souvent à l'immersion dans les séquences de souvenirs, de rêve ou d'hallucinations, d'autant plus que ces scènes sont des récits d'instants de guerre. L'utilisation de la musique comme partie intégrante de l'œuvre a été relevée par la critique. Les compositions sont basées sur l'utilisation de violons et de bois tenant un thème insistant, répétitif, lancinant, soutenues par une percussion souvent limitée à une pulsation sourde (en particulier les toutes dernières scènes dans le camp), et parfois agrémentées d'une entrée en puissance des cuivres et d'autres percussions.
D'autres compositions classiques et chansons ont été utilisées :
* Enola Gay, d'Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD au générique)
* This is not a love song, de Public Image Limited (PIL au générique)
* I Bombed Beirut, par Zeev Tene, d'après I Bombed Korea du groupe Cake (dans l'album Motorcade of Generosity, 1994)
* Concerto pour piano n°5 de Johann Sebastian Bach, BWV 1056, 2e mouvement.
* Sonate pour piano n°20 de Franz Schubert, D. 959, Andantino.
* Valse op. 64 n° 2 en ut dièse mineur de Chopin.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303691 19 H.1.04339/20 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 748 - Octobre 2018 - Lars von trier en enfer Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 98 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma Lars von trier Note de contenu : Éditorial
Sauve qui peut (la presse) par Stéphane Delorme
Événement
The House That Jack Built de Lars von Trier
Le matériau du crime par Joachim Lepastier
Tu étais un Satan pervers et terrifié par Pacôme Thiellement
Faire les films qui manquent entretien avec Lars von Trier – par Joachim Lepastier
Un acteur libre entretien avec Matt Dillon – par Nicholas Elliott
Cahier critique
Mon cher enfant de Mohamed Ben Attia – par Florence Maillard
À court d’explication entretien avec Mohamed Ben Attia – par Ariel Schweitzer & Jean-Philippe Tessé
En liberté! de Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier
Avoir du métier entretien avec Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier & Jean-Philippe Tessé
People That Are Not Me de Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Au cœur de ma génération entretien avec Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Les Âmes Mortes de Wang Bing – par Nicholas Elliott
Rendre la parole entretien avec Wang Bing – par Nicholas Elliott
La Tendre Indifférence du monde d’Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Un cinéma partisan entretien avec Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Girl de Lukas Dhont – par Stéphane du Mesnildot
Six Portraits XL d’Alain Cavalier – par Louis Séguin
First Man de Damien Chazelle – par Jean-Philippe Tessé
Halloween de David Gordon Green – par Vincent Malausa
Le Rouge et le Gris de François Lagarde – par Nicholas Azalbert
L’Envers d’une histoire de Mila Turajlic – par Thierry Méranger
Breaking Away de Peter Yates – par Stéphane du Mesnildot
Notes sur d’autres films A Star is born (Bradley Cooper) – Amin (Philippe Faucon) – L’amour est une fête (Cédric Anger) – L’Autre Rio (Émilie Beaulieu-Guérette) – Blindspotting (Carlos Lopez Estrada) – Capharnaüm (Nadine Labaki) – Chris the Swiss (Anja Kofmel) – Cold War (Pawel Pawlikowski) – Dilili à Paris (Michel Ocelot) – Domingo (Felipe Barbosa & Clara Linhart) – Frères ennemis (David Oelhoffen) – Les Frères Sisters (Jacques Audiard) – Nos batailles (Guillaume Senez) – La Particule humaine (Semih Kaplanolu) – La Saveur des Ramen (Eric Khoo) – Silvio et les autres (Paolo Sorrentino) – Touch Me Not (Adina Pintilie) – Un peuple et son roi (Pierre Schoeller)
Journal
Festival Open bar à Venise
Archives Les riches heures de l’IMEC
Festival La Colombie à Paris
Série Pose, voguing doux
Reprise Monstres japonais (Le Pornographe de Shohei Imamura)
DVD L’arbre vivant (The Tree of Life de Terrence Malick)
DVD Fleischer pervers (La Fille sur la balançoire de Richard Fleischer)
DVD Risi solaire (la « trilogie romaine » de Dino Risi)
Livre/DVD Midi-Minuit 3
Notes livres Ishiro Honda, Humaniste monstre de Fabien Mauro / XYZ de Clemente Palma
Festival Lussas, 30 ans
Festival Sarajevo, des nouvelles des Balkans
Festival 20 ans de cinéma différent
News internationales
Disparition Burt Reynolds
Réplique
La ruée vers l’ORE – ParcourSup à l’os par Laurence Giavarini
Hommage
Kira Mouratova
Kira Mouratova ou la liberté sans conditions par Eugénie Zvonkine
Entretien
Jerzy Skolimowski
Le film des passages entretien avec Jerzy Skolimowski – par Joachim Lepastier
The End
Un jeune homme mélancoliqueGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 748 - Octobre 2018 - Lars von trier en enfer [texte imprimé] . - 2018 . - 98 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma Lars von trier Note de contenu : Éditorial
Sauve qui peut (la presse) par Stéphane Delorme
Événement
The House That Jack Built de Lars von Trier
Le matériau du crime par Joachim Lepastier
Tu étais un Satan pervers et terrifié par Pacôme Thiellement
Faire les films qui manquent entretien avec Lars von Trier – par Joachim Lepastier
Un acteur libre entretien avec Matt Dillon – par Nicholas Elliott
Cahier critique
Mon cher enfant de Mohamed Ben Attia – par Florence Maillard
À court d’explication entretien avec Mohamed Ben Attia – par Ariel Schweitzer & Jean-Philippe Tessé
En liberté! de Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier
Avoir du métier entretien avec Pierre Salvadori – par Joachim Lepastier & Jean-Philippe Tessé
People That Are Not Me de Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Au cœur de ma génération entretien avec Hadas Ben Aroya – par Ariel Schweitzer
Les Âmes Mortes de Wang Bing – par Nicholas Elliott
Rendre la parole entretien avec Wang Bing – par Nicholas Elliott
La Tendre Indifférence du monde d’Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Un cinéma partisan entretien avec Adilkhan Yerzhanov – par Cyril Béghin
Girl de Lukas Dhont – par Stéphane du Mesnildot
Six Portraits XL d’Alain Cavalier – par Louis Séguin
First Man de Damien Chazelle – par Jean-Philippe Tessé
Halloween de David Gordon Green – par Vincent Malausa
Le Rouge et le Gris de François Lagarde – par Nicholas Azalbert
L’Envers d’une histoire de Mila Turajlic – par Thierry Méranger
Breaking Away de Peter Yates – par Stéphane du Mesnildot
Notes sur d’autres films A Star is born (Bradley Cooper) – Amin (Philippe Faucon) – L’amour est une fête (Cédric Anger) – L’Autre Rio (Émilie Beaulieu-Guérette) – Blindspotting (Carlos Lopez Estrada) – Capharnaüm (Nadine Labaki) – Chris the Swiss (Anja Kofmel) – Cold War (Pawel Pawlikowski) – Dilili à Paris (Michel Ocelot) – Domingo (Felipe Barbosa & Clara Linhart) – Frères ennemis (David Oelhoffen) – Les Frères Sisters (Jacques Audiard) – Nos batailles (Guillaume Senez) – La Particule humaine (Semih Kaplanolu) – La Saveur des Ramen (Eric Khoo) – Silvio et les autres (Paolo Sorrentino) – Touch Me Not (Adina Pintilie) – Un peuple et son roi (Pierre Schoeller)
Journal
Festival Open bar à Venise
Archives Les riches heures de l’IMEC
Festival La Colombie à Paris
Série Pose, voguing doux
Reprise Monstres japonais (Le Pornographe de Shohei Imamura)
DVD L’arbre vivant (The Tree of Life de Terrence Malick)
DVD Fleischer pervers (La Fille sur la balançoire de Richard Fleischer)
DVD Risi solaire (la « trilogie romaine » de Dino Risi)
Livre/DVD Midi-Minuit 3
Notes livres Ishiro Honda, Humaniste monstre de Fabien Mauro / XYZ de Clemente Palma
Festival Lussas, 30 ans
Festival Sarajevo, des nouvelles des Balkans
Festival 20 ans de cinéma différent
News internationales
Disparition Burt Reynolds
Réplique
La ruée vers l’ORE – ParcourSup à l’os par Laurence Giavarini
Hommage
Kira Mouratova
Kira Mouratova ou la liberté sans conditions par Eugénie Zvonkine
Entretien
Jerzy Skolimowski
Le film des passages entretien avec Jerzy Skolimowski – par Joachim Lepastier
The End
Un jeune homme mélancoliqueGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305224 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305224.pngPortable Network Graphics 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antonioni élode de Raimu par Henry Miller Josef von Sternberg [n° ou bulletin] 564 - Janvier 2002 - Cinéma français : la face cachée de l'embellie [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antonioni élode de Raimu par Henry Miller Josef von Sternberg Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400703 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 566 - Mars 2002 - Danielle Darrieux, la femme aux 100 films (Bulletin de Cahiers du Cinéma)
[n° ou bulletin]
Titre : 566 - Mars 2002 - Danielle Darrieux, la femme aux 100 films Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : cinéma italien Marcel Ophuls Max Ophuls [n° ou bulletin] 566 - Mars 2002 - Danielle Darrieux, la femme aux 100 films [texte imprimé] . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cinéma italien Marcel Ophuls Max Ophuls Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400705 70 Archives revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
PermalinkL'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
PermalinkPermalinkPermalinkCinéma 1900 / René Jeanne
PermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
Permalink