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Titre : Claude Lévi-Strauss DVD 2. Type de document : document projeté ou vidéo Editeur : arte vidéo Année de publication : 2008 Importance : 1 DVD Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : AMERIQUE DU SUD / BRESIL / ENSEIGNEMENT / FRANCE / HISTOIRE / LITTERATURE / MUSIQUE / PARIS / PORTRAIT / URBANISME / AMERIQUE DU NORD / ECRITURE / ETHNOLOGIE / FAMILLE / GROUPE HUMAIN / MARIAGE / MUSIQUES CLASSIQUES / MYTHOLOGIE / SCIENCE / VILLE / SAO PAULO / COUPLE / LITTERATURE SCIENTIFIQUE / CROYANCE POPULAIRE / AMERIQUE INDIEN / LEVI-STRAUSS CLAUDE Index. décimale : 113 Sociologie/Anthropologie Résumé : "Claude Lévi-Strauss par lui-même" et "A propos de Tristes Tropiques".
"Claude Lévi-Strauss par lui-même" (2008 - 93'): Pierre-André Boutang retrace l'itinéraire intellectuel de l'auteur de "Tristes Tropiques", de "La Pensée sauvage" et des "Mythologiques" à travers des morceaux choisis d'entretiens filmés accordés par Claude Lévi-Strauss depuis les années soixante. Ce portrait du savant par lui-même est une découverte de la pensée d'un homme curieux de tous les hommes, d'un anthropologue féru de musique, d'un écologiste convaincu et d'un farouche défenseur de la diversité des peuples. Penseur au tempérament d'artiste et de poète, écrivain et anthropologue mondialement reconnu, Claude Lévi-Strauss domine le paysage intellectuel français.
Un documentaire de Pierre-André Boutang et Annie Chevallay - Claude Lévi-Strauss est interrogé par Jean-Claude Bringuier, Pierre Dumayet, Jean José Marchand, Bernard Pivot et Michel Treguer - Avec la participation de Vincent Debaene et Frédéric Keck.
"A propos de Tristes Tropiques" (de Jean-Pierre Beaurenaut, Jorge Bodanzky et Patrick Menget - 1991 - 46'): "Tel je me reconnais, voyageur, archéologue de l'espace, cherchant vainement à reconstituer l'exotisme à l'aide de parcelles et de débris". Dans la biographie de Lévi-Strauss, l'expérience de terrain apparaît comme un moment crucial. Au cours de ce voyage, l'écrivain revient sur les traces de ses premiers séjours au Brésil, de 1936 à 1938, chez les Nambikwara, les Caduveo et les Bororo. Confrontation entre les images qu'il réalisa alors, et celles filmées un demi-siècle plus tard sur les lieux mêmes de ses expéditions. Un voyage philosophique où Claude Lévi-Strauss nous fait partager son expérience et ses réflexions.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Claude Lévi-Strauss DVD 2. [document projeté ou vidéo] . - arte vidéo, 2008 . - 1 DVD.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : AMERIQUE DU SUD / BRESIL / ENSEIGNEMENT / FRANCE / HISTOIRE / LITTERATURE / MUSIQUE / PARIS / PORTRAIT / URBANISME / AMERIQUE DU NORD / ECRITURE / ETHNOLOGIE / FAMILLE / GROUPE HUMAIN / MARIAGE / MUSIQUES CLASSIQUES / MYTHOLOGIE / SCIENCE / VILLE / SAO PAULO / COUPLE / LITTERATURE SCIENTIFIQUE / CROYANCE POPULAIRE / AMERIQUE INDIEN / LEVI-STRAUSS CLAUDE Index. décimale : 113 Sociologie/Anthropologie Résumé : "Claude Lévi-Strauss par lui-même" et "A propos de Tristes Tropiques".
"Claude Lévi-Strauss par lui-même" (2008 - 93'): Pierre-André Boutang retrace l'itinéraire intellectuel de l'auteur de "Tristes Tropiques", de "La Pensée sauvage" et des "Mythologiques" à travers des morceaux choisis d'entretiens filmés accordés par Claude Lévi-Strauss depuis les années soixante. Ce portrait du savant par lui-même est une découverte de la pensée d'un homme curieux de tous les hommes, d'un anthropologue féru de musique, d'un écologiste convaincu et d'un farouche défenseur de la diversité des peuples. Penseur au tempérament d'artiste et de poète, écrivain et anthropologue mondialement reconnu, Claude Lévi-Strauss domine le paysage intellectuel français.
Un documentaire de Pierre-André Boutang et Annie Chevallay - Claude Lévi-Strauss est interrogé par Jean-Claude Bringuier, Pierre Dumayet, Jean José Marchand, Bernard Pivot et Michel Treguer - Avec la participation de Vincent Debaene et Frédéric Keck.
"A propos de Tristes Tropiques" (de Jean-Pierre Beaurenaut, Jorge Bodanzky et Patrick Menget - 1991 - 46'): "Tel je me reconnais, voyageur, archéologue de l'espace, cherchant vainement à reconstituer l'exotisme à l'aide de parcelles et de débris". Dans la biographie de Lévi-Strauss, l'expérience de terrain apparaît comme un moment crucial. Au cours de ce voyage, l'écrivain revient sur les traces de ses premiers séjours au Brésil, de 1936 à 1938, chez les Nambikwara, les Caduveo et les Bororo. Confrontation entre les images qu'il réalisa alors, et celles filmées un demi-siècle plus tard sur les lieux mêmes de ses expéditions. Un voyage philosophique où Claude Lévi-Strauss nous fait partager son expérience et ses réflexions.Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102714 113 N.1.1393 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102712URL Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303675 19 H.1.04339/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Genesis" / Anne Vervier
Titre : Dossier pédagogique de "Genesis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Note générale :
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Genesis" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303785 19 H.1.04340/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
Titre : Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 44 pp. Note générale :
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 44 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303780 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 303781 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'évangile selon saint Mathieu / Stéphane Bouquet
Titre : L'évangile selon saint Mathieu : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Bouquet (1967-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2003 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-349-0 Note générale :
L'Évangile selon saint Matthieu (Il Vangelo Secondo Matteo) est un film italien réalisé par Pier Paolo Pasolini, sorti en 1964.
Le film a été tourné dans le Mezzogiorno (sud de l’Italie), encore pauvre et archaïque, notamment :
* dans le Basilicate à Barile, Castel Lagopesole (commune d'Avigliano) et Matera ;
* en Calabre à Cutro et Le Castella (commune d'Isola di Capo Rizzuto) ;
* dans les Pouilles à Ginosa, Gioia del Colle et Massafra.
Cependant, Pasolini s’était rendu en juillet 1963 en Palestine avec le père Don Andrea Carraro, pour y effectuer des repérages. Le cinéaste est déçu par la modernité trop apparente des paysages et renonce à y tourner son film, mais les images filmées sur place deviennent, sous l’impulsion du producteur Alfredo Bini, un documentaire à mi-chemin entre le carnet de voyage et la réflexion intérieure : « Repérages en Palestine pour L'Évangile selon saint Matthieu ».
Le rôle du Christ était en premier lieu destiné à être joué par un poète. Pasolini proposa le rôle successivement à Evgueni Evtouchenko, Allen Ginsberg, Jack Kerouac puis Luis Goytisolo, mais ils refusèrent tous. Pasolini rencontra par la suite, Enrique Irazoqui, un jeune étudiant espagnol, à qui il confia le rôle.
Elsa Morante fit une première sélection de musiques destinées à accompagner le film.
* Prix spécial du jury au Festival de Venise
* Grand prix de l'Office catholique du cinéma
* Prix Cinéforum
* Prix de l'Union internationale de la critique
* Prix Nastro d'Argento (Ruban d'argent : syndicat des journalistes cinématographiques italiens)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Évangile selon saint Matthieu Il Vangelo secondo Matteo Pier Paolo Pasolini Gianni Cianfarelli Modica Victor Hugo Contini Tonino Delli Colli Mario Del Pozzo Luigi Scaccianoce Dante Ferretti Danilo Donati Don Giovanni Rossi Luis Bacalov Carlo Rustichelli Bach Webern Mozart Prokofiev Missa Luba Nino Baragli Arco film Lux Compagnie Alfredo Bini Fausto Ancillai Elsa Morante Maurizio Lucidi Paul A.M. Schneider Lina D’Amico Marcello Ceccarelli Titanus Distribuzione S.p.a. Enrique Irazoqui Enrico Maria Salerno Margherita Caruso Susanna Pasolini Marcello Morante Mario Socrate Settimio Di Porte Religion catholique Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une reconstitution fidèle de cet évangile qui reprend une sélection de scènes de l'histoire de la vie du Christ, de l'Annonciation à sa Passion.Note de contenu :
Une lettre de Pier Paolo Pasolini explique son attachement à L'Évangile de Saint Matthieu : " Ce jour-là je l'ai lu tout à la file, comme un roman. Et dans l'exaltation de cette lecture, il m'est venu l'idée d'en faire un film. " En fait, dès son adolescence, la lecture de Matthieu fut une source d'inspiration pour sa poésie. Il s'est d'ailleurs souvent identifié lui-même à la figure du Christ, venu aider et aimer les hommes, et que les hommes rejetaient. La réalisation d'Il Vangelo secondo Matteo marque un tournant dans la carrière de Pasolini cinéaste, ce film a été le laboratoire de son style propre, dans la mesure où il s'aperçoit très vite que l'adaptation du texte du Nouveau Testament le mène à la limite du chromo. Il choisit donc de rester littéralement fidèle au texte en bouleversant, la grammaire cinématographique. Il mêle des expériences formelles variées, du réalisme du reportage à la stylisation de certains " tableaux " de la vie du Christ pour aboutir à ce qu'il nomme un " magma ". Son Christ, au milieu de ces années 60 si novatrices, dégage un parfum de scandale. Le poète rebelle, influencé par la vision humaniste du communisme d'Antonio Gramsci, porté par les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire : le cinéaste entend dans l'Evangile un appel à la lutte contre un ordre ancien, vers un monde meilleur où régnerait une grande joie primitive.
* L’Évangile selon saint Matthieu est le premier film où Pasolini utilise la technique du zoom avant (21 dans tout le film)
* L’Évangile selon saint Matthieu est dédié au « glorieux Pape Jean XXIII ».
* Le scénario original comportait 131 scènes, tandis que le film réalisé n’en compte plus que 44.
L'évangile selon saint Mathieu : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Stéphane Bouquet (1967-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2003. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-349-0
L'Évangile selon saint Matthieu (Il Vangelo Secondo Matteo) est un film italien réalisé par Pier Paolo Pasolini, sorti en 1964.
Le film a été tourné dans le Mezzogiorno (sud de l’Italie), encore pauvre et archaïque, notamment :
* dans le Basilicate à Barile, Castel Lagopesole (commune d'Avigliano) et Matera ;
* en Calabre à Cutro et Le Castella (commune d'Isola di Capo Rizzuto) ;
* dans les Pouilles à Ginosa, Gioia del Colle et Massafra.
Cependant, Pasolini s’était rendu en juillet 1963 en Palestine avec le père Don Andrea Carraro, pour y effectuer des repérages. Le cinéaste est déçu par la modernité trop apparente des paysages et renonce à y tourner son film, mais les images filmées sur place deviennent, sous l’impulsion du producteur Alfredo Bini, un documentaire à mi-chemin entre le carnet de voyage et la réflexion intérieure : « Repérages en Palestine pour L'Évangile selon saint Matthieu ».
Le rôle du Christ était en premier lieu destiné à être joué par un poète. Pasolini proposa le rôle successivement à Evgueni Evtouchenko, Allen Ginsberg, Jack Kerouac puis Luis Goytisolo, mais ils refusèrent tous. Pasolini rencontra par la suite, Enrique Irazoqui, un jeune étudiant espagnol, à qui il confia le rôle.
Elsa Morante fit une première sélection de musiques destinées à accompagner le film.
* Prix spécial du jury au Festival de Venise
* Grand prix de l'Office catholique du cinéma
* Prix Cinéforum
* Prix de l'Union internationale de la critique
* Prix Nastro d'Argento (Ruban d'argent : syndicat des journalistes cinématographiques italiens)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Évangile selon saint Matthieu Il Vangelo secondo Matteo Pier Paolo Pasolini Gianni Cianfarelli Modica Victor Hugo Contini Tonino Delli Colli Mario Del Pozzo Luigi Scaccianoce Dante Ferretti Danilo Donati Don Giovanni Rossi Luis Bacalov Carlo Rustichelli Bach Webern Mozart Prokofiev Missa Luba Nino Baragli Arco film Lux Compagnie Alfredo Bini Fausto Ancillai Elsa Morante Maurizio Lucidi Paul A.M. Schneider Lina D’Amico Marcello Ceccarelli Titanus Distribuzione S.p.a. Enrique Irazoqui Enrico Maria Salerno Margherita Caruso Susanna Pasolini Marcello Morante Mario Socrate Settimio Di Porte Religion catholique Cinéma italien Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une reconstitution fidèle de cet évangile qui reprend une sélection de scènes de l'histoire de la vie du Christ, de l'Annonciation à sa Passion.Note de contenu :
Une lettre de Pier Paolo Pasolini explique son attachement à L'Évangile de Saint Matthieu : " Ce jour-là je l'ai lu tout à la file, comme un roman. Et dans l'exaltation de cette lecture, il m'est venu l'idée d'en faire un film. " En fait, dès son adolescence, la lecture de Matthieu fut une source d'inspiration pour sa poésie. Il s'est d'ailleurs souvent identifié lui-même à la figure du Christ, venu aider et aimer les hommes, et que les hommes rejetaient. La réalisation d'Il Vangelo secondo Matteo marque un tournant dans la carrière de Pasolini cinéaste, ce film a été le laboratoire de son style propre, dans la mesure où il s'aperçoit très vite que l'adaptation du texte du Nouveau Testament le mène à la limite du chromo. Il choisit donc de rester littéralement fidèle au texte en bouleversant, la grammaire cinématographique. Il mêle des expériences formelles variées, du réalisme du reportage à la stylisation de certains " tableaux " de la vie du Christ pour aboutir à ce qu'il nomme un " magma ". Son Christ, au milieu de ces années 60 si novatrices, dégage un parfum de scandale. Le poète rebelle, influencé par la vision humaniste du communisme d'Antonio Gramsci, porté par les courants catholiques d'extrême-gauche de l'époque, dresse le portrait d'un Christ révolutionnaire : le cinéaste entend dans l'Evangile un appel à la lutte contre un ordre ancien, vers un monde meilleur où régnerait une grande joie primitive.
* L’Évangile selon saint Matthieu est le premier film où Pasolini utilise la technique du zoom avant (21 dans tout le film)
* L’Évangile selon saint Matthieu est dédié au « glorieux Pape Jean XXIII ».
* Le scénario original comportait 131 scènes, tandis que le film réalisé n’en compte plus que 44.
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