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Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 163 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 692 - Octobre 2018 - Numéro spécial Comédies musicales [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 163 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : cinéma Dilili Kirikou Michel Ocelot Girl Lukas Dhont Nos batailles Guillaume Senez Donbass Sergei Loznitsa Amin Philippe Faucon Les Âmes mortes Wang Bing Ingmar Bergman I feel Good Six Portraits XL musical comédies musicales Albert Wolsky Ann Reinking Jean-Luc Choplin Sondheim Note de contenu : Critique du film Dilili à Paris de Michel Ocelot
et entretien avec le réalisateur
Critique du film Girl de Lukas Dhont
et entretien avec le réalisateur
Critique du film No Batailles de Guillaume Senez et entretien avec le réalisateur
Critique du film Donbass de Sergei Loznitsa
et entretien avec le réalisateur
Mon ami Fairbanks, impressions par Raoul Walsh.
Une réflexion sur l’autisme au cinéma.
Un retour sur les films Fièvre sur Anatahan
et A Brighter Summer Day.Genre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305216 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305216.pngPortable Network Graphics Ken Loach / Erika Thomas
Titre : Ken Loach : Un regard cinématographique sur l'aliénation familiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Erika Thomas, Auteur ; Ken Loach (1936-....), Personne honorée Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-296-00739-0 Note générale : Kenneth Loach, plus connu sous le diminutif de Ken Loach, est un réalisateur britannique de cinéma et de télévision, né le 17 juin 1936, à Nuneaton (Warwickshire).
Loach est reconnu comme l'un des grands noms du cinéma social européen, mais aussi comme le digne héritier du Free cinema et d'un cinéma britannique indépendant à base documentaire (John Grierson, Paul Rotha, Basil Wright ou encore Humphrey Jennings).
Dans une industrie anglaise relativement tournée vers les capitaux américains, il ouvre la voie, d'abord à la télévision puis au cinéma, au renouveau des années 1980 et 1990 qui a révélé des cinéastes comme Mike Leigh, Stephen Frears et David Leland.
Son style naturaliste s'axe sur une étude sans concession de la misère en Grande-Bretagne, des tares socio-familiales et du ravage des politiques publiques (Riff-Raff, Raining Stones, Ladybird, Carla's Song, Sweet Sixteen). Il ose également explorer les heures sombres de l'histoire outre-Manche (Hidden Agenda, Land and Freedom, Le Vent se lève, Route Irish). Son œuvre, très militante, laisse entrevoir son engagement à gauche dans les conflits sociaux et la lutte pour le droit des travailleurs ou des immigrés clandestins (Les Dockers de Liverpool, Bread and Roses, The Navigators, It's a Free World...)[2]. Son marxisme assumé et ses prises de position radicales ont souvent déclenché la polémique au Royaume-Uni.
En 2006, il reçoit la Palme d'or du 59e Festival de Cannes pour Le Vent se lève.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma anglais cinéma britannique Kes Family Life Riff-Raff Ladybird Land and Freedom Sweet Sixteen Le vent se lève Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Kes (1970), Family (1971) et Sweet sixteen (2002) forment une trilogie autour d'un questionnement sur l'aliénation familiale. L'auteure s'attache à explorer ces univers oppressifs et répressifs en soulignant combien les problématiques vécues comme individuelles s'articulent toujours, chez Loach, au sein du collectif. Ken Loach : Un regard cinématographique sur l'aliénation familiale [texte imprimé] / Erika Thomas, Auteur ; Ken Loach (1936-....), Personne honorée . - Paris [France] : L'Harmattan, 2006.
ISBN : 978-2-296-00739-0
Kenneth Loach, plus connu sous le diminutif de Ken Loach, est un réalisateur britannique de cinéma et de télévision, né le 17 juin 1936, à Nuneaton (Warwickshire).
Loach est reconnu comme l'un des grands noms du cinéma social européen, mais aussi comme le digne héritier du Free cinema et d'un cinéma britannique indépendant à base documentaire (John Grierson, Paul Rotha, Basil Wright ou encore Humphrey Jennings).
Dans une industrie anglaise relativement tournée vers les capitaux américains, il ouvre la voie, d'abord à la télévision puis au cinéma, au renouveau des années 1980 et 1990 qui a révélé des cinéastes comme Mike Leigh, Stephen Frears et David Leland.
Son style naturaliste s'axe sur une étude sans concession de la misère en Grande-Bretagne, des tares socio-familiales et du ravage des politiques publiques (Riff-Raff, Raining Stones, Ladybird, Carla's Song, Sweet Sixteen). Il ose également explorer les heures sombres de l'histoire outre-Manche (Hidden Agenda, Land and Freedom, Le Vent se lève, Route Irish). Son œuvre, très militante, laisse entrevoir son engagement à gauche dans les conflits sociaux et la lutte pour le droit des travailleurs ou des immigrés clandestins (Les Dockers de Liverpool, Bread and Roses, The Navigators, It's a Free World...)[2]. Son marxisme assumé et ses prises de position radicales ont souvent déclenché la polémique au Royaume-Uni.
En 2006, il reçoit la Palme d'or du 59e Festival de Cannes pour Le Vent se lève.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma anglais cinéma britannique Kes Family Life Riff-Raff Ladybird Land and Freedom Sweet Sixteen Le vent se lève Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Kes (1970), Family (1971) et Sweet sixteen (2002) forment une trilogie autour d'un questionnement sur l'aliénation familiale. L'auteure s'attache à explorer ces univers oppressifs et répressifs en soulignant combien les problématiques vécues comme individuelles s'articulent toujours, chez Loach, au sein du collectif. Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301170 18 H.1.02817 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 302097 18 H.1.02817 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Mulholland Drive de David Lynch / Hervé Aubron
Titre : Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me Type de document : texte imprimé Auteurs : Hervé Aubron, Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2006 ISBN/ISSN/EAN : 19 H.1.03158 Note générale :
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
Mulholland Drive de David Lynch : Dirt walk with me [texte imprimé] / Hervé Aubron, Auteur . - Crisnée [Belgique] : Yellow Now, 2006.
ISSN : 19 H.1.03158
Mulholland Drive est un film franco-américain écrit et réalisé par David Lynch en 1999 (pour l'essentiel) et 2000 (pour certaines scènes), et sorti en 2001.
Le film, qui révéla Naomi Watts, Laura Harring et Justin Theroux, remporta le prix de la mise en scène au festival de Cannes ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur.
Il a été élu meilleur film de la décennie 2000 par les Cahiers du cinéma (n° 652, janvier 2010).
L'histoire, comme celle de Une histoire vraie, se passe sur la route. « Il s'agit du rêve de Hollywood, d'une relation entre deux filles différentes et d'un polar, avec des virages intéressants », a expliqué Lynch.
Dates de tournage : la quasi-totalité du film fut tournée du 8 février au 29 mars 1999, quelques scènes ayant été tournées du 9 au 17 octobre 2000
* Festival de Cannes 2001 : prix de la mise en scène, ex æquo avec The Barber des Frères Coen
* César 2002 : meilleur film étranger
Le dernier mot du film est « Silencio », tout comme « Silenzio » est le dernier mot du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : Mulholland Drive Mulholland Dr. David Lynch Angelo Badalamenti John Neff Peter Deming Mary Sweeney Alain Sarde Pierre Edelman StudioCanal Asymmetrical Prod. Universal Pictures TVA Films Naomi Watts Chloé Lambert Laura Harring Sandy Ouvrier Justin Theroux Laurent Natrella Ann Miller Dan Hedaya Lori Heuring Cinéma américain Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Victime d’un accident de voiture, une mystérieuse femme, amnésique et blessée, erre sur la sinueuse route de Mulholland Drive. Elle se réfugie dans la première maison qu'elle trouve, l'appartement de la tante de Betty Elms, apprentie comédienne fraîchement débarquée de province et venue conquérir Hollywood. Intriguée par cette inconnue qui se fait appeler Rita, Betty, en tentant de l'aider à retrouver la mémoire, découvre dans son sac des liasses de dollars et une clef bleue. De plus en plus complices et devenues amantes, les deux jeunes femmes mènent l’enquête pour retrouver l’identité de Rita. Entre conscience et inconscience, jusqu'au moment où, la clef bleue ayant trouvé sa serrure, l'histoire se renverse.
Note de contenu :
Il est dangereux d'écrire sur David Lynch, tant on court le risque de réduire ses abysses à des rébus, dont il s'agirait de révéler le sens caché. C'est d'autant plus vrai, dans le cas de Mulholland Drive, que ce film a provoqué une durable fièvre interprétative, au-delà des seuls cercles cinéphiles. Il n'était pas rare de surprendre, en 2001, dans les conversations ou sur les forums Internet, des joutes ésotériques sur le fin mot de l'affaire Mulholland. On ne cherchera pas ici à casser le code de la boîte bleue, mais plutôt à décrire les aventures de Rita et Betty pour ce qu'elles sont : des images qui se croyaient déliées de toute contrainte matérielle et découvrent brutalement qu'elles bourgeonnent sur un cadavre. Tout comme les euphories du " virtuel " et du numérique butent sur la chair souffrante du visible, à la fois poids mort et dernier recours.
Mulholland Drive a souvent inspiré les romanciers et les scénaristes. Cette route montagneuse en plein Los Angeles est très longue, très sinueuse et relativement dangereuse. Elle va d'Hollywood aux canyons de Bel Air, le long de la crête. De là-haut, on peut admirer le « centre-ville » de Los Angeles, le panneau Hollywood en lettres majuscules, mais aussi la plupart des studios de production, comme Universal Pictures ou Warner Bros. Pictures. David Lynch confie qu'on se sent « fictif, un personnage irréel » quand on est sur cette route.
Initialement, Mulholland Drive doit être un nouveau Mystères à Twin Peaks, une série télévisée destinée à être diffusé sur le réseau ABC. Le pilote, avec les acteurs originaux, fait l'objet de plusieurs montages, dont un qui fait perdre tout leur sens aux travaux de Lynch, mais que le réalisateur refait lui-même en une seule nuit. Mais ABC n'est pas convaincu par le pilote, d'autant plus que le réseau et Lynch entretiennent depuis le début des années 1990 des rapports conflictuels, entre grands succès (Twin Peaks), échecs (On The Air, Hotel Room) et tensions. Après moult tractations, la chaîne, qui a déjà déboursé sept millions de dollars, décide de ne pas utiliser le pilote, effrayée par sa durée (2 h 30) et par la complexité de l'histoire. Elle juge également le rythme trop lent. C'est alors que StudioCanal contacte Lynch pour le convaincre de transformer le pilote en long métrage pour le cinéma. Le cinéaste est immédiatement séduit par cette idée et, avec le soutien financier de Canal+ et d'Alain Sarde, décide donc d'en faire un film. Il retourne certaines scènes et change totalement l'histoire.
Cependant, Lynch n'a jamais révélé quelles parties du film étaient dans le pilote de la série et quelles parties ont été retournées. Tantôt elles sont très peu présentes dans une séquence, tantôt elles modifient totalement le sens de la scène ou son système dramatique :
* Dans le pilote, on sous-entend que le bureau de Mr Rock et la maison de production d'Adam Kesher seraient dans le même bâtiment (affirmant le mystère et suspectant le système des productions hollywoodiennes de façon satirique), en faisant sortir les Castigliani avant Kesher à l'issue de la réunion au sommet (avec le recrachage de café). Kesher va alors casser leur pare-brise alors qu'ils sont partis bien avant, et seraient donc restés dans le building.
* Le pilote contenait une histoire d'amour entre Betty et Adam Kesher, ce qui a été complètement éludé dans le montage final. Betty est censée rencontrer Adam à cause de son voisin, Wilkins, qui apparaît un des soirs où Betty et Rita discutent (dans le pilote), alors que (dans le film) il n'apparaît, comme un clin d'œil, qu'à la soirée où Camilla annonce son mariage avec Adam (Wilkins est le voisin de table de Betty/Diane). C'est d'ailleurs Wilkins qui laisse son chien faire ses besoins partout dans la résidence de Coco.
Canal+ a tourné un documentaire sur le film, Retour à Mulholland Drive, réalisé par Philippe Rouyer, en apportant une grille de lecture non officielle.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301752 19 H.1.03158 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible De oude stadskern van Antwerpen / Jean-Pierre Delmarcelle
Titre : De oude stadskern van Antwerpen Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Pierre Delmarcelle, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur ; Frank Winnepenninckx Editeur : Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française Année de publication : 1983 Collection : La télévision scolaire Importance : 1 vidéocassette (VHS) Présentation : 20 min Langues : Néerlandais (dut) Langues originales : Néerlandais (dut) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Langues:NéerlandaisMots-clés : Anvers (Belgique) Anvers (Belgique) -- Onze Lieve Vrouwkerk Anvers (Belgique) -- Hôtel de ville Musée Plantin-Moretus (Anvers Belgique) Constructions -- Réfection -- Anvers (Belgique) Anvers (Belgique) -- Quartiers anciens Anvers (Belgique) -- Grand-Place Sciences humaines -- 117.14 Géographie d'Europe Sciences humaines -- 117.32 Urbanisme Langues et littératures -- 81 Néerlandais Index. décimale : 81 Néerlandais Résumé : Reportage en néerlandais sur la vieille ville d’Anvers. On y présente l’hôtel de ville, la cathédrale Notre-Dame, la grand-place, le musée Plantin-Moretus, etc. et les difficultés pour restaurer et pour reconstruire ces bâtiments d’époque. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : secondaire De oude stadskern van Antwerpen [document projeté ou vidéo] / Jean-Pierre Delmarcelle, Metteur en scène, réalisateur ; Betty Van Belle, Producteur ; Léon Daco, Producteur ; Frank Winnepenninckx . - Belgique : Radio-Télévision belge de la Communauté française, 1983 . - 1 vidéocassette (VHS) : 20 min. - (La télévision scolaire) .
Langues : Néerlandais (dut) Langues originales : Néerlandais (dut)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / Reportages
Education par les médias:Langues:NéerlandaisMots-clés : Anvers (Belgique) Anvers (Belgique) -- Onze Lieve Vrouwkerk Anvers (Belgique) -- Hôtel de ville Musée Plantin-Moretus (Anvers Belgique) Constructions -- Réfection -- Anvers (Belgique) Anvers (Belgique) -- Quartiers anciens Anvers (Belgique) -- Grand-Place Sciences humaines -- 117.14 Géographie d'Europe Sciences humaines -- 117.32 Urbanisme Langues et littératures -- 81 Néerlandais Index. décimale : 81 Néerlandais Résumé : Reportage en néerlandais sur la vieille ville d’Anvers. On y présente l’hôtel de ville, la cathédrale Notre-Dame, la grand-place, le musée Plantin-Moretus, etc. et les difficultés pour restaurer et pour reconstruire ces bâtiments d’époque. Genre : Emission pédagogique Pays : Belgique Niveau : secondaire Exemplaires
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