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Titre : Vivre avec le Cinema Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Serceau, Auteur Editeur : Klincksieck Année de publication : 2010 Importance : 191 pp. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-252-03746-1 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : A bout de souffle adieu philippine affaire cicéron amants de la nuit amants du capricorne angélique marquise des anges année dernière a marienbad antoine et antoinette an 01 as de pique aurore Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les études cinématographiques sont depuis longtemps dominées par ce que Jacques Bouveresse appelle " la phobie de l'extratextualité ", qui est aussi phobie du sens : le " vrai " sujet du cinéma devrait être... le cinéma. Pourtant, le regard que les spectateurs portent sur les films n'est pas de cet ordre et si tout discours filmique résulte nécessairement du travail de la forme, celui-ci a cependant pour finalité l'intelligibilité de l'oeuvre. Car, par-delà leur fonction de divertissement, première et nécessaire, les films de fiction répondent au besoin proprement humain de trouver des réponses, ne serait-ce qu'hypothétiques, lacunaires ou transitoires, à la question du " comment vivre ", dans et pour quel monde, et pour quelle façon d'être soi - questions auxquelles nous sommes tous quotidiennement confrontés. Ainsi le cinéma complète-t-il la philosophie morale et la morale en explorant, quelquefois même mieux qu'elles, nos contradictions.En ligne : http://www.amazon.fr/Vivre-avec-Cinema-Serceau-Daniel/dp/2252037466%3FSubscripti [...] Vivre avec le Cinema [texte imprimé] / Daniel Serceau, Auteur . - Klincksieck, 2010 . - 191 pp.
ISBN : 978-2-252-03746-1
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : A bout de souffle adieu philippine affaire cicéron amants de la nuit amants du capricorne angélique marquise des anges année dernière a marienbad antoine et antoinette an 01 as de pique aurore Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les études cinématographiques sont depuis longtemps dominées par ce que Jacques Bouveresse appelle " la phobie de l'extratextualité ", qui est aussi phobie du sens : le " vrai " sujet du cinéma devrait être... le cinéma. Pourtant, le regard que les spectateurs portent sur les films n'est pas de cet ordre et si tout discours filmique résulte nécessairement du travail de la forme, celui-ci a cependant pour finalité l'intelligibilité de l'oeuvre. Car, par-delà leur fonction de divertissement, première et nécessaire, les films de fiction répondent au besoin proprement humain de trouver des réponses, ne serait-ce qu'hypothétiques, lacunaires ou transitoires, à la question du " comment vivre ", dans et pour quel monde, et pour quelle façon d'être soi - questions auxquelles nous sommes tous quotidiennement confrontés. Ainsi le cinéma complète-t-il la philosophie morale et la morale en explorant, quelquefois même mieux qu'elles, nos contradictions.En ligne : http://www.amazon.fr/Vivre-avec-Cinema-Serceau-Daniel/dp/2252037466%3FSubscripti [...] Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301593 17 H.1.04164 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301593URL Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Genesis" / Anne Vervier
Titre : Dossier pédagogique de "Genesis" Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Vervier, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 20 pp. Note générale :
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Genesis" [texte imprimé] / Anne Vervier, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 20 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Genesis est un film franco-italien de Claude Nuridsany et Marie Pérennou sorti en 2004.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie animale
Education par les médias:Sciences:Biologie:Biologie humaineMots-clés : Genesis Claude Nuridsany Marie Pérennou Alain Sarde Christine Gozlan Les Films de la Véranda Les Films Alain Sarde StudioCanal Marie-Josèphe Yoyotte Pauline Casalis Bruno Coulais Sotigui Kouyaté Documentaire Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un griot africain raconte la création du monde. Une histoire à dormir debout, comme tous les contes. La naissance de l'univers, la formation de la Terre, l'apparition de la vie, la sortie de l'eau, la conquête du paradis terrestre... Une saga furieuse et pleine de rebondissements défile sous nos yeux. Le film fait un lien entre notre vie et la création de l'univers.
Note de contenu :
Les réalisateurs de Microcosmos se sont attelés à retracer la naissance le l'univers et l'apparition de la vie sur terre. Le premier quart d'heure m'a paru ennuyeux. La mise en place manque de légèreté et se veut un peu trop pédagogique. La longue présence d'un vieux sage africain qui est chargé d'expliquer cette genèse nuit à l'ensemble. Ce n'est que lorsque les premiers animaux terrestres tous plus étranges les uns que les autres, apparaissent que la magie commence à opérer. Les images sont magnifiques et font rêver. On passe de la séduction à l'amour, de la procréation à la naissance et à la survie de l'espèce. On assiste à des ballets sublimes, des parades étonnantes, des ruses cocasses. J'aurai préféré voir s'afficher discrètement le nom des animaux et le nom de l'endroit où ils ont été filmés plutôt que de le découvrir en catimini pendant le générique. Un bon documentaire tout de même.
Genesis est un documentaire tout aussi remarquable que ne l'était Microcosmos. Dans la première partie, la naissance de l'univers nous est contée, expliquée et surtout superbement mise en image (en utilisant parfois de belles). Ensuite, c'est l'émergence de la vie et son passage sur la terre ferme qui sont illustrés par des scènes étonnantes avec des animaux souvent fort étranges. Les images sont réellement superbes. Seul ratage : le vieux conteur africain qui raconte l'ensemble (il doit toutefois faire un tabac auprès des moins de 10 ans ...)
Ce documentaire est tout aussi esthétique que Microcosmos. Images judicieusement choisies, animaux presque trop prafaits et étonnants, nombreuses scènes tournées en studio, musique de circonstance… Un petit air de déjà vu. Reste le parti pris de l’émotion pour amener à la connaissance. Et c’est en cela que la vraie originalité de ce docu-fiction réside dans les propos du griot qui « collent » au plus près d’une pensée scientifique aussi rafraichissante que novatrice, ni dogmatique ni définitive . Ces propos tenus avec philosophie bien loin d’être des élucubrations sont authentiques scientifiquement et bien amenés. Sans vouloir offenser Marie Perennou et Claude Nuridsany, ils pourraient presque suffire au film… pour peu qu’on les écoute vraiment… mais pour cela j’ai bien peur qu’il faille avoir plus de 10 ans.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303785 19 H.1.04340/18 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" / Vinciane Fonck
Titre : Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Fonck, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2004 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 44 pp. Note générale :
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Dossier pédagogique de "Good bye Lenin!" [texte imprimé] / Vinciane Fonck, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2004 . - 44 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Good Bye, Lenin!, est un film allemand de Wolfgang Becker, sur un scénario de Bernd Lichtenberg. Il est sorti en février 2003 en Allemagne.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):CommunismeMots-clés : Good Bye Lenin Au revoir Lénine Wolfgang Becker Bernd Lichtenberg Matthias Klemme Lothar Holler Aenne Plaumann Martin Kukula Peter R. Adam Yann Tiersen Stefan Arndt Katja De Bock Andreas Schreitmüller Ocean Films X-Filme Creative Pool TF1 Video Sony Pictures Classics Cinéma allemand Daniel Brühl Damien Witecka Katrin Sass Maria Simon Céline Mauge Tchoulpan Khamatova Florian Lukas Alexandre Gillet Alexander Beyer Jérôme Rebbot Burghart Klaussner Michael Gwisdek Christine Schorn Jürgen Holtz Jochen Stern Stefan Walz Eberhard Kirchberg Hans-Uwe Bauer Nico Ledermueller Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.
Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et tombe dans le coma.
Quelques semaines plus tard, le Mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale : Alex en vendeur d'abonnements aux chaînes satellitaires et sa sœur comme serveuse dans un Burger King. En juin 1990, leur mère se réveille.
Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. Ils réaménagent l'appartement familial comme avant, cachent toutes les améliorations technologiques et les nouvelles mentalités, retrouvent les marques des produits d'avant. Ils y parviennent plutôt bien avec l'aide des voisins et de leurs amis. Le collègue de travail d'Alex, Denis, crée même spécialement de faux journaux télévisés est-allemands pour trouver des explications possibles à ce que la mère découvre malgré tout, comme une publicité de Coca-Cola sur l'immeuble d'en face.
La famille Kerner décide de partir dans sa maison de vacances. Arrivée sur les lieux, Christiane raconte à ses enfants un terrible secret : son mari n'est pas parti à l'Ouest pour une autre femme comme elle le disait au début du film, mais s'est enfui pour une vie meilleure ; Christiane devait le rejoindre avec Alex et Ariane mais n'en a pas eu le courage de peur d'être arrêtée par la Stasi.
Peu après, Christiane doit être à nouveau hospitalisée d'urgence alors que la réunification officielle approche. Alex décide de retrouver son père à l'ouest et de produire avec Denis un dernier journal afin de fêter (en avance, le jour de la réunification) une dernière fois l'anniversaire de la RDA pour sa mère.
Celle-ci lui ayant avoué que son père lui avait demandé de le rejoindre à l'Ouest en lui envoyant plusieurs lettres. Ariane retrouve les lettres où est notée l'adresse de leur père.
En y allant, Alex rencontre un chauffeur de taxi qui a une ressemblance frappante avec l'ex-cosmonaute Sigmund Jähn. Il s'agit bien de lui, bien qu'il le nie au début : après la chute du mur, il a perdu son travail. Alex retrouve son père et l'amène à sa mère. Sigmund Jähn accepte de jouer dans le dernier journal télévisé sur le faux anniversaire de la RDA en tant que nouveau président. Le jour de l'anniversaire de la réunification, Alex change la date du calendrier pour que sa mère pense être le jour de l'anniversaire de la RDA. Mais Lara, l'infirmière, lui a parlé du mur de Berlin. Il est donc possible que Christiane apprécie, sans rien en faire paraître, les immenses efforts de son fils pour ménager son cœur fragile, mais il se peut aussi qu'elle croie toujours que la RDA existe, puisque l'on voit dans le film que Lara ne lui raconte pas tout sur le Mur et l'effondrement de la RDA que la chute du Mur signifie.
Le matin, Christiane est seule dans sa chambre, elle voit le feu d'artifice en l'honneur de la réunification à travers les rideaux car elle doit rester allongée, elle s'endort et ne se réveille plus, sa dernière volonté est que ses cendres soient répandues dans le ciel. Alex crée une petite fusée remplie de feu d'artifices dans laquelle il met les cendres de sa mère et, en présence de quelques voisins et amis, il la fait partir du toit de l'hôpital.
Note de contenu :
Le film connut un grand succès autant à l'ouest qu'à l'est de l'Allemagne, ainsi que dans plusieurs pays européens. Il remporta le Deutschen Filmpreis (Prix du film allemand) neuf fois : meilleur film, Daniel Brühl meilleur acteur, Florian Lukas meilleur second rôle masculin, meilleur réalisateur, trois prix techniques pour le montage, la mise en scène et la musique, ainsi que le prix du public pour le « film allemand de l'année » et l'acteur de l'année pour Daniel Brühl.
Le 6 décembre 2003, il est le premier film allemand à recevoir le prix du film européen de l'année. Daniel Brühl comme acteur et Bernd Lichtenberg comme scénariste ont aussi reçu ce prix.
En France, le film reçut le César du meilleur film européen.
Niveau : Secondaire et + Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303780 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 303781 19 H.1.04340/16 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
in Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? : A propos de l'athéisme Coffret / André Comte-Sponville
Titre : Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? : A propos de l'athéisme CD1 Type de document : enregistrement sonore non musical Auteurs : André Comte-Sponville (1952-....), Auteur Editeur : Frémeaux & associés Année de publication : 2008 Importance : 3 cd(180min.);livret de 8 p. Note générale : André Comte-Sponville aborde l’athéisme avec le même respect culturel que celui généralement attendu pour une croyance établie. Il fait la différence entre ce qui relève du savoir et de la croyance afin de proposer une approche réellement philosophique et non pas militante. Le philosophe sort clairement de l’histoire balisée du Christianisme pour légitimer l’aspiration des hommes à vivre une spiritualité qui pourrait s’exprimer librement dans un champ métaphysique personnel. A partir de l’héritage judéo-chrétien collectif, André Comte-Sponville défend la liberté de croire ou de ne pas croire et s’adresse au croyant autant qu’à l’athée en leur faisant partager un territoire de valeurs et d’idéaux communs. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux:Philosophie et esthétique
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : christianisme croyance spiritualité Index. décimale : 111 Morale/Philosophie/Religion Note de contenu : Sommaire :
-Pour le droit de croire et de ne pas croire
-Traité du silence
-Mon intérêt pour la vie spirituelle
-Le paradoxe de la spiritualité sans dieu
-Présentation
-Depuis que je ne crois plus en dieu
-Une autre façon d'être athée
-Un athée non dogmatique
-Dieu existe-t-il ?
-La perte de la foi
-Peut-on se passer de religion ?
-Religion, première étymologie : relier
-Deuxième étymologie : relire
-La transmission des valeurs
-Héritiers d'une traditionQu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? : A propos de l'athéisme CD1 [enregistrement sonore non musical] / André Comte-Sponville (1952-....), Auteur . - Frémeaux & associés, 2008 . - 3 cd(180min.);livret de 8 p.
in Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieu ? : A propos de l'athéisme Coffret / André Comte-Sponville
André Comte-Sponville aborde l’athéisme avec le même respect culturel que celui généralement attendu pour une croyance établie. Il fait la différence entre ce qui relève du savoir et de la croyance afin de proposer une approche réellement philosophique et non pas militante. Le philosophe sort clairement de l’histoire balisée du Christianisme pour légitimer l’aspiration des hommes à vivre une spiritualité qui pourrait s’exprimer librement dans un champ métaphysique personnel. A partir de l’héritage judéo-chrétien collectif, André Comte-Sponville défend la liberté de croire ou de ne pas croire et s’adresse au croyant autant qu’à l’athée en leur faisant partager un territoire de valeurs et d’idéaux communs.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Ouvrages généraux:Philosophie et esthétique
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : christianisme croyance spiritualité Index. décimale : 111 Morale/Philosophie/Religion Note de contenu : Sommaire :
-Pour le droit de croire et de ne pas croire
-Traité du silence
-Mon intérêt pour la vie spirituelle
-Le paradoxe de la spiritualité sans dieu
-Présentation
-Depuis que je ne crois plus en dieu
-Une autre façon d'être athée
-Un athée non dogmatique
-Dieu existe-t-il ?
-La perte de la foi
-Peut-on se passer de religion ?
-Religion, première étymologie : relier
-Deuxième étymologie : relire
-La transmission des valeurs
-Héritiers d'une traditionExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104912 111 N.1.2376 CD audio Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
Qu'est-ce qu'une spiritualité sans dieuImage Jpeg PermalinkPermalinkAndrzej Wajda / Hadelin Trinon
PermalinkPermalinkDossier Positif-Rivages, 3. Federico Fellini / Gilles Ciment
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, III. La Nouvelle Vague / Antoine de Baecque
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