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Titre : Le Bal des Vampires Titre original : The Fearless Vampire Killers Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Roman Polanski (1933-....) ; Jack MacGowran ; Alfie Bass ; Jessie Robbins ; Sharon Tate Editeur : Warner Home Vidéo Année de publication : 1967 Importance : 1 dvd Présentation : 110 min ISBN/ISSN/EAN : 7321950651467 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : savant fou morts vivants parodie slapstick
Sous-titres en anglais disponiblesIndex. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un vieux savant et son aide pourchassent, dans un sinistre château de Transylvanie, une curieuse espèce de vampires. Genre : Comédie, fantastique, parodie, humour Le Bal des Vampires = The Fearless Vampire Killers [document projeté ou vidéo] / Roman Polanski (1933-....) ; Jack MacGowran ; Alfie Bass ; Jessie Robbins ; Sharon Tate . - Warner Home Vidéo, 1967 . - 1 dvd : 110 min.
ISSN : 7321950651467
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Mots-clés : savant fou morts vivants parodie slapstick
Sous-titres en anglais disponiblesIndex. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Un vieux savant et son aide pourchassent, dans un sinistre château de Transylvanie, une curieuse espèce de vampires. Genre : Comédie, fantastique, parodie, humour Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100362 92.1 N.1.0657 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100362URL
Titre : Godard : biographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 24 cm Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Godard : biographie [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : B. Grasset, impr. 2010 . - 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 24 cm.
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301917 18 H.1.04220 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
301917URL Jean-Luc Godard / Jean Collet
Titre : Jean-Luc Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Editions Seghers Année de publication : 1963 Collection : Cinéma d'aujourd'hui Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Opération béton Une femme coquette Une histoire d'eau François Truffaut Charlotte et son Jules Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique À bout de souffle Le Petit Soldat Lola Jacques Demy Une femme est une femme La Paresse Les Sept Péchés capitaux Vivre sa vie Le Nouveau Monde RoGoPaG Les Carabiniers Le Grand Escroc Les Plus Belles Escroqueries du monde Le Mépris Bande à part Une femme mariée Montparnasse-Levallois Paris vu par Alphaville une étrange aventure de Lemmy Caution Pierrot le fou Masculin féminin Made in USA 2 ou 3 choses que je sais d'elle Anticipation ou L’amour en l’an 2000 Le Plus Vieux Métier du monde cinéma suisse cinéma français Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : La collection "Cinéma d'aujourd'hui" se propose de situer à leur place les plus grands auteurs de films. Consacrées aux architectes de l'image et du mouvement, à ceux qui inventent chaque jour le langage de notre temps, cette collection ne s'adresse pas seulement aux spécialistes, mais aussi à un vaste public qui s'intéresse de plus en plus à tout ce qui touche à l'art cinématographique.
Chaque volume comprend une étude rédigée par un critique qualifié, un important choix de textes du cinéaste considéré, des extraits des découpages des principaux films.Jean-Luc Godard [texte imprimé] / Jean Collet, Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Editions Seghers, 1963. - (Cinéma d'aujourd'hui) .
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Chef de file de la Nouvelle Vague, cinéaste engagé après 1968, expérimentateur vidéo dans la seconde partie des années 1970, son œuvre évolue à partir des années 1980-1990 vers le collage poétique, faits de références, de citations et d'hommages aux maîtres de l'histoire de la peinture, de la littérature, de la poésie et de la musique.
Par son approche radicale, entière et provocatrice, Jean-Luc Godard est un des cinéastes les plus influents.
Jean-Luc Godard est l'une des plus grandes sources d'inspiration du réalisateur américain Quentin Tarantino qui lui rend souvent hommage à travers ses films. Il a ainsi nommé sa société de production A Band Apart en hommage au film Bande à part. La liste des cinéastes se réclamant de son influence est longue : Quentin Tarantino bien sûr, mais pas seuleument : Martin Scorsese, Bernardo Bertolucci, Arthur Penn, Hal Hartley, Richard Linklater, Gregg Araki, John Woo, Mike Figgis, Robert Altman, Steven Soderbergh, Richard Lester, Jim Jarmusch, Rainer Werner Fassbinder, Brian De Palma, Wim Wenders, Oliver Stone ou encore Ken Loach, et bien d'autres ...
Godard est souvent cité dans la série Nerdz (sitcom française) : Jérôme, l'intellectuel de la maison, est un grand fan du réalisateur.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302168 18 H.1.00076 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Nul mieux que Godard / Alain Bergala
Titre : Nul mieux que Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1999 Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-251-6 Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Nul mieux que Godard [texte imprimé] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1999. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-251-6
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302085 18 H.1.02976 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Petite anthologie des Cahiers du cinéma, IV. La politique des auteurs / Antoine de Baecque
Titre de série : Petite anthologie des Cahiers du cinéma, IV Titre : La politique des auteurs : Les textes Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-287-5 Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Abel Gance Howard Hawks Fritz Lang Kenji Mizoguchi Roberto Rossellini Cahiers du cinéma Le faux coupable La captive aux yeux clairs Les Indomptables L'Amour fou Peau d'Ane Quatre nuit d'un rêveur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
La politique des auteurs est sans doute l’idée critique la plus célèbre de l’histoire du cinéma. Quel critique n’en a pas usé ? L’expression est passée dans le langage courant de la critique et le concept semble avoir triomphé, mais n’en conserve pas moins ses ambiguïtés.
Retracer la Politique des auteurs par les textes des Cahiers du cinéma, c’est en raconter la genèse, ses remises en causes et ses contradictions. C’est d’abord remonter à la source, aller à la rencontre de la personnalité critique de son inventeur, François Truffaut chez qui l’amour des metteurs en scène s’accompagne d’une bonne dose de provocation : c’est une construction théorique indissociable d’une politique d’intervention. Elle constitue les premières pages du roman des Cahiers, d’emblée promis au succès. A rendre jaloux tout directeur de revue, à complexer tout critique qui s’aventure sur le terrain. Elle marquera toutes les générations critiques qui vont se succéder aux Cahiers. Et sans nul doute encore aujourd’hui se pose la question pour un critique du bon usage, d’un "usage critique", de la politique des auteurs, savoir discerner ses apports provocateurs et ses intérêts féconds autant que ses jeux de masque et ses effets pervers.Petite anthologie des Cahiers du cinéma, IV. La politique des auteurs : Les textes [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Directeur de publication . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001.
ISBN : 978-2-86642-287-5
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Ingmar Bergman Abel Gance Howard Hawks Fritz Lang Kenji Mizoguchi Roberto Rossellini Cahiers du cinéma Le faux coupable La captive aux yeux clairs Les Indomptables L'Amour fou Peau d'Ane Quatre nuit d'un rêveur Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les textes réunis et présentés par Antoine de Baecque avec la collaboration de Gabrielle Lucantonio
La politique des auteurs est sans doute l’idée critique la plus célèbre de l’histoire du cinéma. Quel critique n’en a pas usé ? L’expression est passée dans le langage courant de la critique et le concept semble avoir triomphé, mais n’en conserve pas moins ses ambiguïtés.
Retracer la Politique des auteurs par les textes des Cahiers du cinéma, c’est en raconter la genèse, ses remises en causes et ses contradictions. C’est d’abord remonter à la source, aller à la rencontre de la personnalité critique de son inventeur, François Truffaut chez qui l’amour des metteurs en scène s’accompagne d’une bonne dose de provocation : c’est une construction théorique indissociable d’une politique d’intervention. Elle constitue les premières pages du roman des Cahiers, d’emblée promis au succès. A rendre jaloux tout directeur de revue, à complexer tout critique qui s’aventure sur le terrain. Elle marquera toutes les générations critiques qui vont se succéder aux Cahiers. Et sans nul doute encore aujourd’hui se pose la question pour un critique du bon usage, d’un "usage critique", de la politique des auteurs, savoir discerner ses apports provocateurs et ses intérêts féconds autant que ses jeux de masque et ses effets pervers.Exemplaires (1)
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