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Auteur Joël Magny |
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L'aurore / Joël Magny
Titre : L'aurore : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-435-0 Note générale :
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
L'aurore : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-435-0
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302234 19 H.1.2776 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Vocabulaires du cinéma / Joël Magny
Titre : Vocabulaires du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-321-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : sémiotique et cinéma terminologie et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Dès les années dix, Ricciotto Canudo, précurseur de la réflexion sur le cinéma, réclame, pour ce qu’il baptiste Septième art, un langage qui soit adapté à cet art nouveau, synthèse de tous les autres. La confusion règne, écrit-il en 1922, là où la définition des mots-idées ne s’est pas encore affirmée. Des mots sont alors inventés dont beaucoup disparaîtront, comme écraniste, au profit de cinéaste.
D’autre réapparaîtront des années plus tard, comme cinéphile. Les générations successives, les professionnels comme les critiques inventeront leurs vocabulaires. Celui qui aborde aujourd’hui le cinéma avec passion, peut alors être pris de vertige devant une telle profusion : qu’est-ce qu’un travelling panoté ? La transparence relève-t-elle de la technique ou de la philosophie ? Qu’est-ce qu’un staffeur ? Il n’y a pas un vocabulaire, mais des vocabulaires du cinéma, technique, esthétique, économique, historique…
Le but de cet ouvrage n’est pas l’exhaustivité, mais une proposition pour le lecteur non spécialiste de définitions claires et simples des termes qu’il a le plus de chance de rencontrer dans son approche du cinéma, en tant que spectateur ou d’apprenti-cinéaste. Des renvois terme à terme, des synthèses plus générales et une bibliographie pratique ouvrent vers des lectures plus transversales.Vocabulaires du cinéma [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2004 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-321-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : sémiotique et cinéma terminologie et cinéma Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Dès les années dix, Ricciotto Canudo, précurseur de la réflexion sur le cinéma, réclame, pour ce qu’il baptiste Septième art, un langage qui soit adapté à cet art nouveau, synthèse de tous les autres. La confusion règne, écrit-il en 1922, là où la définition des mots-idées ne s’est pas encore affirmée. Des mots sont alors inventés dont beaucoup disparaîtront, comme écraniste, au profit de cinéaste.
D’autre réapparaîtront des années plus tard, comme cinéphile. Les générations successives, les professionnels comme les critiques inventeront leurs vocabulaires. Celui qui aborde aujourd’hui le cinéma avec passion, peut alors être pris de vertige devant une telle profusion : qu’est-ce qu’un travelling panoté ? La transparence relève-t-elle de la technique ou de la philosophie ? Qu’est-ce qu’un staffeur ? Il n’y a pas un vocabulaire, mais des vocabulaires du cinéma, technique, esthétique, économique, historique…
Le but de cet ouvrage n’est pas l’exhaustivité, mais une proposition pour le lecteur non spécialiste de définitions claires et simples des termes qu’il a le plus de chance de rencontrer dans son approche du cinéma, en tant que spectateur ou d’apprenti-cinéaste. Des renvois terme à terme, des synthèses plus générales et une bibliographie pratique ouvrent vers des lectures plus transversales.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301964 21 H.1.02626 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le point de vue / Joël Magny
Titre : Le point de vue : De la vision du cinéaste au regard du spectateur Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2001 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 9872866422880 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Point de vue au cinéma analyse filmique cinéma appréciation Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Dès qu'un cinéaste ou un simple " opérateur " décide de placer sa caméra à un endroit précis, il adopte un " point de vue " par rapport à ce qu'il regarde. Le " point de vue " est donc inhérent au cinéma, mais encore faut-il savoir ce que l'on en fait. Le photographe amateur, le cinéaste, aujourd'hui le manieur de caméra DV est bien obligé de choisir sa place pour enregistrer quelque chose. Il a nécessairement un " point de vue " sur ce qu'il montre. Appelons le " point de vue quelconque " ou " point de vision ". En revanche, celui qui se pose quelques questions sur ce qu'il veut montrer et surtout comment il veut le montrer, est amené à faire des choix qui ne relèvent pas seulement de la définition classique du Petit Robert ou du Guide Michelin : " Lieu d'où l'on voit un objet (un paysage) le mieux possible, où l'on jouit d'une vue pittoresque ". Il envisage de transmettre une " vision " au sens fort du terme, une manière de voir le monde. Cette approche repose sur de nombreux classiques du cinéma, de Citizen Kane d'Orson Welles à Bonjour de Yasijiro Ozu, en passant par deux films de cinéastes dont la démarche toute entière est déterminée par la notion de point de vue et qui en ont fait le sujet de certains de leurs films, Fenêtre sur cour (1954) d'Alfred Hitchcock et Chasse à l'homme (Man Hunt, 1941) de Fritz Lang. Le point de vue : De la vision du cinéaste au regard du spectateur [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2001 . - 1 vol. (94 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISSN : 9872866422880
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)Mots-clés : Point de vue au cinéma analyse filmique cinéma appréciation Index. décimale : 20.2 Production : tournage, décors, maquillage... Résumé : Dès qu'un cinéaste ou un simple " opérateur " décide de placer sa caméra à un endroit précis, il adopte un " point de vue " par rapport à ce qu'il regarde. Le " point de vue " est donc inhérent au cinéma, mais encore faut-il savoir ce que l'on en fait. Le photographe amateur, le cinéaste, aujourd'hui le manieur de caméra DV est bien obligé de choisir sa place pour enregistrer quelque chose. Il a nécessairement un " point de vue " sur ce qu'il montre. Appelons le " point de vue quelconque " ou " point de vision ". En revanche, celui qui se pose quelques questions sur ce qu'il veut montrer et surtout comment il veut le montrer, est amené à faire des choix qui ne relèvent pas seulement de la définition classique du Petit Robert ou du Guide Michelin : " Lieu d'où l'on voit un objet (un paysage) le mieux possible, où l'on jouit d'une vue pittoresque ". Il envisage de transmettre une " vision " au sens fort du terme, une manière de voir le monde. Cette approche repose sur de nombreux classiques du cinéma, de Citizen Kane d'Orson Welles à Bonjour de Yasijiro Ozu, en passant par deux films de cinéastes dont la démarche toute entière est déterminée par la notion de point de vue et qui en ont fait le sujet de certains de leurs films, Fenêtre sur cour (1954) d'Alfred Hitchcock et Chasse à l'homme (Man Hunt, 1941) de Fritz Lang. Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301971 20.2 H.1.02684 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301996 20.2 H.1.02684 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 294 - Juin 1983 - Cinéma 294 - Spécial Robert Bresson (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
Titre : 294 - Juin 1983 - Cinéma 294 - Spécial Robert Bresson Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication ; Joël Magny, Directeur de publication Année de publication : 1983 Importance : 1 vol. (70 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Robert Bresson Résumé :
Éditorial - Entre nous soit dit (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Dossier
BRESSON Robert (article d'ensemble)
BRESSON Robert
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
BRESSON Robert
Bresson et son temps (article d'ensemble)
Auteur : PRÉDAL René
BRESSON Robert
Bresson et Bernanos (autre)
Auteur : ESTÈVE Michel
Affaires publiques (Les)
(autre)
Auteur : AMENGUAL Barthélemy
BRESSON Robert
L'expérience intérieure de Robert Bresson (article d'ensemble)
Auteur : MAGNY Joël
Argent (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : SÉMOLUÉ Jean
BRESSON Robert
(filmographie)
Auteur : ESTÈVE Michel
BERRY Richard
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
BERRY Richard
(filmographie)
Furyo
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Mort de Mario Ricci (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Palombière (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Dialogo di Roma (Il)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Sarah
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Bancals
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Zig zag story
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vie est un roman (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Nuit de l'iguane (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Belle de Saïgon (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Derrière la porte
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Derniers monstres (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Aventuriers du bout du monde (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Xueiv
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Surprise party
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Prostitute
(critique, article sur un film)
Auteur : RENARD Marie
Piège mortel
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dernière cène (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Barrière blanche (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Othello
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Hamlet
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Roi Lear (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Jeune marié (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Été meurtrier (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Creepshow
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Ténèbres
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Édith et Marcel
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Carbone 14, le film
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Circulez, y'a rien à voir
(critique, article sur un film)
Auteur : RENARD Colette-Marie
Dar l'invincible
(critique, article sur un film)
Auteur : DUMONT Pascal
Gaijin, les chemins de la liberté
(critique, article sur un film)
Auteur : GUERRINI Pierre
BEAUSOLEIL Claude
(nécrologie)
Auteur : JOMY Alain
Son
Voix au cinéma (La) (Michel Chion) (livre)
Auteur : MAGNY Joël
Tout va bien
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Une chante, l'autre pas (L')
(autre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Comment ça va
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Temps de la colère (Le)
(autre)
Auteur : DUMONT Pascal
BERNARD Raymond
Raymond Bernard, un directeur à l'américaine (article d'ensemble)
Auteur : SELLIER GenevièveGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 294 - Juin 1983 - Cinéma 294 - Spécial Robert Bresson [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication ; Joël Magny, Directeur de publication . - 1983 . - 1 vol. (70 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Robert Bresson Résumé :
Éditorial - Entre nous soit dit (autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Dossier
BRESSON Robert (article d'ensemble)
BRESSON Robert
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
BRESSON Robert
Bresson et son temps (article d'ensemble)
Auteur : PRÉDAL René
BRESSON Robert
Bresson et Bernanos (autre)
Auteur : ESTÈVE Michel
Affaires publiques (Les)
(autre)
Auteur : AMENGUAL Barthélemy
BRESSON Robert
L'expérience intérieure de Robert Bresson (article d'ensemble)
Auteur : MAGNY Joël
Argent (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : SÉMOLUÉ Jean
BRESSON Robert
(filmographie)
Auteur : ESTÈVE Michel
BERRY Richard
(entretien)
Auteur : AMIEL Mireille
BERRY Richard
(filmographie)
Furyo
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Mort de Mario Ricci (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Palombière (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Dialogo di Roma (Il)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Sarah
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Bancals
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Zig zag story
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vie est un roman (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Nuit de l'iguane (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Belle de Saïgon (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Derrière la porte
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Derniers monstres (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Aventuriers du bout du monde (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : BORKER Pierre
Xueiv
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Surprise party
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Prostitute
(critique, article sur un film)
Auteur : RENARD Marie
Piège mortel
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Dernière cène (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : TARQUI Anne
Barrière blanche (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Othello
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Hamlet
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Roi Lear (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : NAVAILH Françoise
Jeune marié (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : BLANCHET Christian
Été meurtrier (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : MAGNY Joël
Creepshow
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Ténèbres
(critique, article sur un film)
Auteur : CARON Évelyne
Édith et Marcel
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Carbone 14, le film
(critique, article sur un film)
Auteur : CARBONNIER Alain
Circulez, y'a rien à voir
(critique, article sur un film)
Auteur : RENARD Colette-Marie
Dar l'invincible
(critique, article sur un film)
Auteur : DUMONT Pascal
Gaijin, les chemins de la liberté
(critique, article sur un film)
Auteur : GUERRINI Pierre
BEAUSOLEIL Claude
(nécrologie)
Auteur : JOMY Alain
Son
Voix au cinéma (La) (Michel Chion) (livre)
Auteur : MAGNY Joël
Tout va bien
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Une chante, l'autre pas (L')
(autre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Comment ça va
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Second souffle (Un)
(autre)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Temps de la colère (Le)
(autre)
Auteur : DUMONT Pascal
BERNARD Raymond
Raymond Bernard, un directeur à l'américaine (article d'ensemble)
Auteur : SELLIER GenevièveGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400906 294 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
Titre : 244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication ; Joël Magny, Directeur de publication Année de publication : 1979 Importance : 1 vol. (112 p.) Présentation : ill. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jean Renoir Résumé : Télévision
Tournez, S.F.P. ! (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Dossier
RENOIR Jean (article d'ensemble)
RENOIR Jean
Au numéro 1273 de Leona drive (autre)
Auteur : ROY Jean
RENOIR Jean
Renoir et les dogmes (autre)
Auteur : MAGNY Joël
ROHMER Éric
à propos de : Petit théâtre de Jean Renoir (Le)
Notes sur "Le Petit théâtre de Jean Renoir" (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
Un cadre éclaté (autre)
Auteur : DOUCHET Jean
VECCHIALI Paul
À l'abri du risque (sur Jean Renoir) (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
À l'abri du risque (Paul Vecchiali) (autre)
Exploitation
Résultats chiffrés de 1978 (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
FLEISCHER Richard
(entretien)
Auteurs : COLLIN Philippe , RABOURDIN Dominique
Musique, théâtre, cinéma - La part du cinéma (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
MALLE Louis
Louis Malle par Louis Malle (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
Invasion des profanateurs (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Monstres sont toujours vivants (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Madriguera (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Bleu des origines (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Marie pour mémoire
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Allegro non troppo
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Furie
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Écoute voir
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Drôle d'embrouille
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Esprit de famille (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
BLANC Jean-Pierre
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
California hotel
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Si joli village (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Terre au ventre (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Slow dancing
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Châteaux de rêves
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Messidor
(critique, article sur un film)
Auteur : PETAT Jacques
Voyage au bout de l'enfer
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Maître-nageur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Opération traquenard
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Cap Horn
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Et la tendresse ?... bordel !
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Halloween
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Filles du régiment (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Pot de vin (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Martin et Léa
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Superman
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Limeuses (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Grande cuisine (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Cavaleur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Roi des gitans (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Cible étoilée (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Frisée aux lardons (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Je vous ferai aimer la vie
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Accident de chasse (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Sgt. Pepper's lonely hearts club band
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Mouette (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Un pays, deux regards, deux films
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Chiens (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Homme en colère (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Jules et Jim
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Femme de Jean (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Il faut marier papa
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Toile d'araignée (La)
(autre)
Auteur : RENAUD Tristan
Conquérants d'un nouveau monde (Les)
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Diamants sur canapé
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vieille fille (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Miracle des loups (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
En cas de malheur
(autre)
Auteur : MAILER Norman
Horloger de Saint-Paul (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nana
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Chute de l'Empire Romain (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
SIRK Douglas
Douglas Sirk (Cinémathèque française) (livre)
MUSIDORA
Musidora, la dixième muse (livre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Condition humaine (Michel Estève) (livre)
Judy et ses nabots (Stuart Kaminsky) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Enseignement du cinéma
Vincennes ou Le désir d'apprendre (livre)
Auteur : ALLEZAUD RobertGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 244 - Avril 1979 - Cinéma 244 - Spécial Jean Renoir [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication ; Joël Magny, Directeur de publication . - 1979 . - 1 vol. (112 p.) : ill.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Jean Renoir Résumé : Télévision
Tournez, S.F.P. ! (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Dossier
RENOIR Jean (article d'ensemble)
RENOIR Jean
Au numéro 1273 de Leona drive (autre)
Auteur : ROY Jean
RENOIR Jean
Renoir et les dogmes (autre)
Auteur : MAGNY Joël
ROHMER Éric
à propos de : Petit théâtre de Jean Renoir (Le)
Notes sur "Le Petit théâtre de Jean Renoir" (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
Un cadre éclaté (autre)
Auteur : DOUCHET Jean
VECCHIALI Paul
À l'abri du risque (sur Jean Renoir) (texte de la personnalité)
RENOIR Jean
À l'abri du risque (Paul Vecchiali) (autre)
Exploitation
Résultats chiffrés de 1978 (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
FLEISCHER Richard
(entretien)
Auteurs : COLLIN Philippe , RABOURDIN Dominique
Musique, théâtre, cinéma - La part du cinéma (autre)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
MALLE Louis
Louis Malle par Louis Malle (livre)
Auteur : AMIEL Mireille
Invasion des profanateurs (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Monstres sont toujours vivants (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : FARREN Jonathan
Madriguera (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Bleu des origines (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Marie pour mémoire
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Allegro non troppo
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Furie
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Écoute voir
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Drôle d'embrouille
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Esprit de famille (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
BLANC Jean-Pierre
(entretien)
Auteur : RABOURDIN Dominique
California hotel
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Si joli village (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Terre au ventre (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Slow dancing
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Châteaux de rêves
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Messidor
(critique, article sur un film)
Auteur : PETAT Jacques
Voyage au bout de l'enfer
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Maître-nageur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Opération traquenard
(critique, article sur un film)
Auteur : CANNIÈRE Patrick
Cap Horn
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Et la tendresse ?... bordel !
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Halloween
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Filles du régiment (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Pot de vin (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Martin et Léa
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Superman
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Limeuses (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Grande cuisine (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Cavaleur (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Roi des gitans (Le)
(critique, article sur un film)
Auteur : FUENTE Leonardo de la
Cible étoilée (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Frisée aux lardons (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Je vous ferai aimer la vie
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Accident de chasse (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Sgt. Pepper's lonely hearts club band
(critique, article sur un film)
Auteur : LE PAVEC Jean-Pierre
Mouette (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Un pays, deux regards, deux films
(critique, article sur un film)
Auteur : COURANT Gérard
Chiens (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Homme en colère (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Jules et Jim
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Femme de Jean (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Il faut marier papa
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Toile d'araignée (La)
(autre)
Auteur : RENAUD Tristan
Conquérants d'un nouveau monde (Les)
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Diamants sur canapé
(autre)
Auteur : RABOURDIN Dominique
Vieille fille (La)
(autre)
Auteur : AMIEL Mireille
Miracle des loups (Le)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
En cas de malheur
(autre)
Auteur : MAILER Norman
Horloger de Saint-Paul (L')
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Nana
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
Chute de l'Empire Romain (La)
(autre)
Auteur : MAGNY Joël
SIRK Douglas
Douglas Sirk (Cinémathèque française) (livre)
MUSIDORA
Musidora, la dixième muse (livre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Condition humaine (Michel Estève) (livre)
Judy et ses nabots (Stuart Kaminsky) (livre)
Auteur : NACACHE Jacqueline
Enseignement du cinéma
Vincennes ou Le désir d'apprendre (livre)
Auteur : ALLEZAUD RobertGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400910 244 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 251 - Novembre 1979 - Cinéma 251 - Spécial cinéma allemand (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
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