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Dossier pédagogique de "Petit à petit" / Clara Beelen
Titre : Dossier pédagogique de "Petit à petit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Beelen, Auteur Editeur : Liège [Belgique] : Les Grignoux Année de publication : 2008 Collection : Ecran large sur tableau noir Importance : 16 pp. Note générale :
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Dossier pédagogique de "Petit à petit" [texte imprimé] / Clara Beelen, Auteur . - Liège [Belgique] : Les Grignoux, 2008 . - 16 pp.. - (Ecran large sur tableau noir) .
Petit à petit, l'oiseau fait son nid et l'enfant grandit.
Les films qui forment le programme Petit à petit sont des récits d'enfance, empreints de beaucoup de tendresse et de poésie et qui devraient séduire les plus jeunes spectateurs de l'école maternelle. Ces histoires à grandir et à (se) faire plaisir abordent par des récits très simples les joies, les difficultés, les peurs et les apprentissages de la toute petite enfance. Chaque récit est une étape de vie, un saut d'obstacle réussi, une peur surmontée. Les jeunes spectateurs s'y retrouveront et pourront sans peine s'identifier aux héros de ces très belles histoires. Dans ce dossier pédagogique destiné aux enseignants du maternel, nous proposons une première activité qui sera l'occasion de revenir sur l'ensemble du programme et de différencier les quatre histoires tout en donnant son avis sur les esthétiques des différents films. Par la suite, on reviendra sur chacun des quatre films par le biais d'une animation simple, courte et adaptée à l'âge des spectateurs.
Comprendre le sens de l'histoire, jouer avec les couleurs et les saisons, observer des détails et jouer avec les différences/ressemblances, se poser des questions sur nos représentations, sur nos goûts esthétiques, telles sont les propositions d'activités de ce dossier pédagogique.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education par les médias
Education par les médias:Eveil
Education par les médias:Eveil:Documents à visée didactiqueMots-clés : L'Enfant sans bouche Les Pierres d'Aston Les Abricots Lola s'est perdue Pierre-Luc Granjon Uzi Geffenblad Lotta Geeffenblad Animation Cinéma suédois Cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
1 - L'Enfant sans bouche
L'enfant dont il est question dans le film éponyme n'a pas de nom mais il a des parents, des animaux de compagnie (un chien et un chat) et bien sûr, un lapin. Il n'a pas de bouche et, donc, ne parle pas. On peut dire que ce qui lui arrive c'est de rencontrer le lapin qui va lui donner envie d'avoir une bouche pour parler.
2 - Les Pierres d'Aston
Aston est un jeune chien qui vit avec sa maman et son papa. Un jour il trouve une pierre et a bien envie de la garder pour la protéger. Il va ainsi pendant une année ramasser toutes les pierres qu'il trouve sur son chemin et les ramener à la maison au grand dam de ses parents. Lorsqu'il se décide enfin à leur «rendre leur liberté», il entame alors une collection de bâtons ...
3 - Les Abricots
Le petit garçon des Abricots n'a pas de nom mais il nous dit qu'il a un oncle. Celui-ci l'emmène au bord de la mer où il va découvrir plusieurs choses, entre autre que la mer n'est pas comme on croit qu'elle est.
4 - Lola s'est perdue
Dans Lola s'est perdue, l'héroïne est une jeune femelle pigeon qui emménage dans un nouveau quartier avec son papa et sa maman. Lorsque son papa l'envoie en vélo acheter de la confiture au magasin, il lui faudra un certain temps pour retrouver le chemin de sa maison. C'est ainsi qu'elle fera la connaissance de tous ses voisins.
Note de contenu :
Ce programme d'animation présente l'avantage de proposer quatre films courts, bien distincts les uns des autres notamment grâce aux personnages principaux, presque chaque fois annoncés par les titres, et au centre de chacun de ces très beaux récits d'enfance.
Après la vision, annonçons aux enfants une activité qui a pour but de se souvenir de ce qu'ils ont vu au cinéma. Pour commencer, demandons-leur par exemple combien il y avait d'histoires? Est-ce qu'ils se rappellent des titres des différents films?
Les titres sont annoncés pendant le générique de début de chacun des courts métrages, il s'agit de L'Enfant sans bouche, Les Pierres d'Aston, Les Abricots et Lola s'est perdue.
Pour favoriser l'émergence des souvenirs, nous avons reproduit ci-dessous les portraits des quatre «héros» des films. Invitons les enfants à observer les quatre portraits et à dire tout ce qu'ils savent des personnages représentés.
Niveau : Maternelle et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303788 19 H.1.04340/19 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Des films pour le dire / Claudine Drame
Titre : Des films pour le dire : Reflets de la Shoah au cinéma 1945-1985 Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Drame, Auteur Editeur : Métropolis Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88340-173-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Nuit et brouillard Alain Resnais Shoah juif Le champ de la mort Deuxième Guerre mondiale L'Enclos Le Temps du Ghetto Occupation Le Vieil Homme et l'Enfant Lacombe Lucien Les Guichets du Louvre Un Sac de billes Monsieur Klein Les Violons du bal La Passante du Sans Souci Claude Lanzmann mémoire sociale Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le champ de la relecture côtoie celui, mieux défini, de la réécriture. Nombre d'auteurs se relisent, sans se récrire ni se commenter. Tacitement par l'image ou la mise en scène. Tardivement par des moyens moins laconiques. Analyser l'ensemble de ces gestes du XVIIIe au XXe siècle, c'est s'intéresser au rapport de soi à l'autre qu'on fut, à la conversion masquée ou proclamée, au reniement tacite ou non, au deuil ou à son impossibilité. C'est aussi dégager des constantes : homme de dos, l'auteur relecteur est volontiers diariste ou autobiographe, tourné vers son passé et celui de son œuvre, il se relit de plus en plus à l'approche de la mort, construit rarement un seul tombeau, peaufine son testament, d'œuvres ultimes en préfaces préposthumes. Lorsqu'elle est véritablement tardive, la relecture est un legs, parfois une bouteille à la mer qui ne se confond plus avec les réactions à chaud, les réponses virulentes aux lecteurs et aux critiques, mais la blessure de la réception originale, le sentiment d'un malentendu primordial ne s'apaisent pas nécessairement. Rares sont les relecteurs heureux, à la fois satisfaits de leurs contemporains et confiants dans ce jugement de la postérité qu'ils ne cessent d'anticiper, tant relire, c'est élire et parfois défigurer l'œuvre, relue, revue et corrigée, quelque fois mise en pièces. Le tome 1 propose au fil du volume une définition de la relecture, le tome 2 en esquisse une histoire au XXe siècle. Quand les mots ne sont pas là pour le dire, quand ils ne sont pas entendus ou quand on n'a pas envie de les entendre, le cinéma peut-il prendre leur place ? De la fin de la Deuxième Guerre mondiale à 1985, quand, comment et pourquoi le cinéma s'est-il intéressé, en particulier en France, à la destruction des juifs d'Europe ? Les Actualités cinématographiques circonscrites à quelques mois de l'année 1945, avec leur brutalité, font figure de berceau de représentations. Après dix ans de silence, le cinéma français tente d'aborder directement la question en expérimentant la forme documentaire (Nuit et Brouillard), la fiction (L'Enclos) et le témoignage filmé (Le Temps du Ghetto). Les années 70 et 80 voient des formes plus allusives de représentation : les évocations de la Shoah se situent toujours en arrière-plan d'une narration concernant l'Occupation (Le Vieil Homme et l'Enfant, Lacombe Lucien, Les Guichets du Louvre, Un Sac de billes, Monsieur Klein, Les Violons du bal, La Passante du Sans Souci...) pour aboutir à une représentation et une " vérité " plus dépouillées : le témoignage filmé. Claudine Drame analyse ainsi quarante ans de cinéma jusqu'au moment où sort le film de Claude Lanzmann, Shoah, en 1985. Ainsi se dessine la trace de la construction d'une mémoire sociale par le cinéma.Des films pour le dire : Reflets de la Shoah au cinéma 1945-1985 [texte imprimé] / Claudine Drame, Auteur . - Métropolis, 2007.
ISBN : 978-2-88340-173-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Nuit et brouillard Alain Resnais Shoah juif Le champ de la mort Deuxième Guerre mondiale L'Enclos Le Temps du Ghetto Occupation Le Vieil Homme et l'Enfant Lacombe Lucien Les Guichets du Louvre Un Sac de billes Monsieur Klein Les Violons du bal La Passante du Sans Souci Claude Lanzmann mémoire sociale Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le champ de la relecture côtoie celui, mieux défini, de la réécriture. Nombre d'auteurs se relisent, sans se récrire ni se commenter. Tacitement par l'image ou la mise en scène. Tardivement par des moyens moins laconiques. Analyser l'ensemble de ces gestes du XVIIIe au XXe siècle, c'est s'intéresser au rapport de soi à l'autre qu'on fut, à la conversion masquée ou proclamée, au reniement tacite ou non, au deuil ou à son impossibilité. C'est aussi dégager des constantes : homme de dos, l'auteur relecteur est volontiers diariste ou autobiographe, tourné vers son passé et celui de son œuvre, il se relit de plus en plus à l'approche de la mort, construit rarement un seul tombeau, peaufine son testament, d'œuvres ultimes en préfaces préposthumes. Lorsqu'elle est véritablement tardive, la relecture est un legs, parfois une bouteille à la mer qui ne se confond plus avec les réactions à chaud, les réponses virulentes aux lecteurs et aux critiques, mais la blessure de la réception originale, le sentiment d'un malentendu primordial ne s'apaisent pas nécessairement. Rares sont les relecteurs heureux, à la fois satisfaits de leurs contemporains et confiants dans ce jugement de la postérité qu'ils ne cessent d'anticiper, tant relire, c'est élire et parfois défigurer l'œuvre, relue, revue et corrigée, quelque fois mise en pièces. Le tome 1 propose au fil du volume une définition de la relecture, le tome 2 en esquisse une histoire au XXe siècle. Quand les mots ne sont pas là pour le dire, quand ils ne sont pas entendus ou quand on n'a pas envie de les entendre, le cinéma peut-il prendre leur place ? De la fin de la Deuxième Guerre mondiale à 1985, quand, comment et pourquoi le cinéma s'est-il intéressé, en particulier en France, à la destruction des juifs d'Europe ? Les Actualités cinématographiques circonscrites à quelques mois de l'année 1945, avec leur brutalité, font figure de berceau de représentations. Après dix ans de silence, le cinéma français tente d'aborder directement la question en expérimentant la forme documentaire (Nuit et Brouillard), la fiction (L'Enclos) et le témoignage filmé (Le Temps du Ghetto). Les années 70 et 80 voient des formes plus allusives de représentation : les évocations de la Shoah se situent toujours en arrière-plan d'une narration concernant l'Occupation (Le Vieil Homme et l'Enfant, Lacombe Lucien, Les Guichets du Louvre, Un Sac de billes, Monsieur Klein, Les Violons du bal, La Passante du Sans Souci...) pour aboutir à une représentation et une " vérité " plus dépouillées : le témoignage filmé. Claudine Drame analyse ainsi quarante ans de cinéma jusqu'au moment où sort le film de Claude Lanzmann, Shoah, en 1985. Ainsi se dessine la trace de la construction d'une mémoire sociale par le cinéma.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302422 17 H.1.02990 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 11 - Eté 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 128 Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 11 - Eté 2018 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 128 : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401257 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401257.pngPortable Network Graphics
Titre : 4 films de Nicolas Philibert Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Nicolas Philibert, Auteur Editeur : [Paris] : Éd. Montparnasse éd. Année de publication : 2002 Importance : 4 dvd ISBN/ISSN/EAN : 3346030011102 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : école instituteur classe unique enfants étudiants Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : Le pays des sourds
Un animal, des animaux
La moindre des choses
La ville LouvreGenre : Documentaire Pays : France Niveau : Primaire et + 4 films de Nicolas Philibert [document projeté ou vidéo] / Nicolas Philibert, Auteur . - [Paris] : Éd. Montparnasse éd., 2002 . - 4 dvd.
ISSN : 3346030011102
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:DocumentaireMots-clés : école instituteur classe unique enfants étudiants Index. décimale : 92.2 Documentaire Note de contenu : Le pays des sourds
Un animal, des animaux
La moindre des choses
La ville LouvreGenre : Documentaire Pays : France Niveau : Primaire et + ContientExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102060 92.2 N.1.1200 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
102060URL
Titre : Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : Edition 2015 Editeur : Bruxelles [Belgique] : Cinematek Année de publication : 1992 - 1993 - 2000 Autre Editeur : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles Importance : 1 DVD (86' - 57' - 46') Note générale : "Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel. Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Les amants d'assises - Marchienne de vie - Lettre d'un cinéaste à sa fille [document projeté ou vidéo] / Manu Bonmariage, Metteur en scène, réalisateur ; Richard Olivier, Metteur en scène, réalisateur ; Eric Pauwels, Metteur en scène, réalisateur . - Edition 2015 . - Bruxelles [Belgique] : Cinematek : Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 1992 - 1993 - 2000 . - 1 DVD (86' - 57' - 46').
"Regards sur le réel" présente 6 films documentaires (dont quelques inédits) significatifs de la production francophone belge au 20e siècle. Tant par le regard qu'elles proposent sur la réalité que par l'originalité de la réalisation, ces œuvres ont marqué l'art singulier du film documentaire. Ces diverses visions du monde sont autant de quêtes et d'itinéraires pour répondre au pourquoi et au comment filmer le réel.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias
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Education par les médias:Sciences humaines:Justice/Droit
Education par les médias:Sciences humaines:Sciences socialesMots-clés : vacances loisirs relation mère-fils relation mère-enfant Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : - LES AMANTS D'ASSISES :
Deux amants se sont aimés avec tant de passion qu'ils ont commis l'irréparable en tuant le mari encombrant. Dans l'euphorie de leur amour, il a cherché la liberté dans le sang, elle n'a pas vu le crime arriver. Il a endossé cet acte par fidélité à la parole donnée, "pour la protéger". L'enfer va se jouer à huis clos, dans la cellule, le fourgon, la prison, le palais de justice. Les deux amants vont devoir se séparer, se détester et continuer à s'aimer secrètement...
- MARCHIENNE DE VIE :
Réalité d'une ville dans la Belgique profonde : Marchienne-au-Pont, une commune du grand Charleroi telle que personne n'a osé la montrer. Ses squelettes de hauts fourneaux, désormais silencieux. Ses rues aux maisons ouvrières. Et puis ses habitants, hommes et femmes, avec leurs angoisses, leur peur du lendemain, mais aussi l'amour de leur région. Les croyances, la Madame Soleil, les cafés où la bière sert à fêter mais aussi à oublier. Et, au milieu de tout ça, "Istambul" avec ses ouvriers immigrés qui, dans l'espoir de jours meilleurs, ont amené avec eux leur religion et leur culture. Cette quête cinématographique a été tournée dans une région en mal de vivre...
- LETTRE D'UN CINéASTE à SA FILLE :
Un père - le cinéaste-essayiste, Éric Pauwels - s'interroge sur les valeurs, les émotions, les cultures, la vision du monde qu'il souhaiterait transmettre à sa fille.
"Véritable tour de force d'écriture, à l'état de grâce permanent, cette lettre cinématographique au "je" si personnel, dépasse - et de loin - le simple propos d'un père à sa fille. Elle réussit à nous rendre manifeste, au-delà de toute attente, l'essence même d'un savoir fragile fait d'érudition et d'émotion, élaboré au fil du temps et qu'une certaine poésie du cinéma est seule à même de nous faire ressentir. Le souci d'Eric Pauwels en s'adressant à sa fille, en lui écrivant ce film, n'est pas de lui délivrer un message, ni de lui donner une leçon de morale ou de vie. Ce qu'il cherche à lui transmettre tient tout entier dans une façon de voir le monde, dans un regard qui est déjà un usage du monde. Un regard qui va derrière les apparences, là où s'arrète le passage du temps, et qui appréhende ce territoire imaginaire de tous les possibles, de toutes les merveilles" (Philippe Simon, www.cinergie.be).
Prix Henri Storck 2001.Genre : Documentaire Pays : Belgique Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universaitaire Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104861 92.2 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible 104829 92.7 N.1.2337 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
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