Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
12 recherche sur le mot-clé 'Lon Chaney Junior'
trié(s) par (Année d'édition décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Les remakes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Bourdon, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2012 Collection : Comprendre et reconnaître ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-584326-5 Note générale : Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les remakes [texte imprimé] / Laurent Bourdon, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2012. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-584326-5
Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304033 17 H.1.04521 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304033URLExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303985 17 H.1.04479 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303985URL Architectures volume 6 / Richard Copans
Titre : Architectures volume 6 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 2009 Importance : 1 DVD Présentation : 160 min (6 fois 26 min) Langues : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 6 [document projeté ou vidéo] / Richard Copans, Metteur en scène, réalisateur ; Stan Neumann, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 2009 . - 1 DVD : 160 min (6 fois 26 min).
Langues : Français (fre)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ANGLETERRE / ARCHITECTURE / CONFISERIE / EGYPTE / FRANCE / GRANDE-BRETAGNE / IRAN / LONDRES / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / ARCHITECTURE RELIGIEUSE / CONSTRUCTION / DANEMARK / ESPACE URBAIN / GARE / HOTEL / INFRASTRUCTURE CULTURELLE / INGENIERIE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / LUXEMBOURG / MOSQUEE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / ISPAHAN / MONUMENT FUNERAIRE / SAQQARAH Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Résumé : "La mosquée royale d'Ispahan": En 1598, le roi Abbas planifie un immense projet urbain. Sa mosquée incarne la richesse inouïe d'un art de vivre, la puissance d'un roi et le talent de l'architecte Ali Akbar Esfahani. (Richard Copans)
"La pyramide du roi Djoser à Saqqarah": Oeuvre du légendaire architecte Imhotep, la pyramide de Djoser, la plus ancienne d'Egypte, révèle les premiers pas de l'architecture comme pratique savante, distincte de la simple construction. Trois mille ans avant notre ère, une révolution née du désir de perpétuer la tradition. (Stan Neumann)
"La Philharmonie de Luxembourg": De forme elliptique, la Philharmonie avec son filtre de colonnes blanches et ses falaises colorées fait découvrir le grand auditorium comme un véritable joyau dans son écrin, un des plus beaux bâtiments de l'architecte Christian de Portzamparc. (Richard Copans)
"La chocolaterie Menier": L'usine Menier à Noisiel fut, entre 1870 et 1914, la plus grande chocolaterie du monde. A travers ses trois états successifs, l'histoire d'un véritable laboratoire d'architecture industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. (Stan Neumann)
"L'Hôtel Royal SAS": La tour de l'Hôtel Royal SAS marque le basculement du Danemark dans la modernité de l'après-guerre: une oeuvre majeure sous le signe du fonctionnalisme, de la simplicité et de l'élégance, où tout, du cendrier au volume du bâti, a été conçu et dessiné par Anne Jacobsen. (Richard Copans)
"La gare Saint-Pancras": A Londres, au XIXe siècle, la Midland Company fait bâtir la gare Saint-Pancras et un hôtel de luxe. L'ingénieur W.H. Barlow réalise un exploit avec une halle d'une portée unique de 73 mètres, sans poteaux ni piliers. De son côté, l'architecte Sir George Gilbert Scott fait du Midland Grand Hotel un manifeste du néogothique. (Richard Copans)Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102707 96 N.1.1390/6 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Exclu du prêt
Titre : Free cinema Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Lindsay Anderson (1923-1994), Metteur en scène, réalisateur ; Alain Tanner (1929-....), Personne interviewée ; Christophe Dupin, Metteur en scène, réalisateur ; Leslie Daiken (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Elizabeth Russell (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Johnny Dankworth (1927-....), Compositeur ; Michael Grigsby, Metteur en scène, réalisateur ; Robert Vas (1931-1978), Metteur en scène, réalisateur ; Alun Owen (1925-1994), Narrateur ; Alain Tanner (1929-....), Metteur en scène, réalisateur ; Claude Goretta (1929-....), Metteur en scène, réalisateur ; Denis Horne, Scénariste ; Lorenza Mazzetti (1928-....), Metteur en scène, réalisateur ; Tony Richardson (1928-1991), Metteur en scène, réalisateur ; Karel Reisz (1926-2002), Metteur en scène, réalisateur ; Walter Lassally (1926-....), Personne interviewée Editeur : Paris [France] : Doriane Films Année de publication : 2007 Importance : 3 DVD vidéo monofaces toutes zones (7 h 55 min) Présentation : n. et b. (PAL), son. ISBN/ISSN/EAN : 3700246902621 Note générale : Février 1956. Ceux qui allaient devenir les hérauts de la Nouvelle Vague britannique décident de se regrouper pour faire connaître leurs films : Lindsay Anderson, avec ses amis Karel Reisz, Tony Richardson et Lorenza Mazetti, présentent leurs courts-métrages au National Film Theatre de Londres. Le Free cinema est né - mouvement fondateur de l’histoire du cinéma anglais, précurseur du réalisme social de la fin des années 50 et du début des années 60. La première programmation est si retentissante que cinq autres programmes Free Cinema vont suivre. Ce coffret présente les 11 films des trois programmes anglais du Free Cinema (les 3 autres ayant été consacrés à des cinéastes étrangers), 5 films tournés plus tard, mais clairement inspirés de ce mouvement, ainsi qu’un documentaire exclusif présentant des entretiens avec les réalisateurs de l’époque.
Le Free Cinema se définit avant tout comme une vision nouvelle du métier de cinéaste tranchant avec l’orthodoxie conservatrice du cinéma dominant. Documentaires souvent produits grâce au bfi Experimental Fund, ces films racontent en toute liberté l’histoire des petites gens, leur quotidien, leurs loisirs et leur désarroi. En donnant la parole à ceux qui en sont le plus souvent privés, ces réalisateurs remettent en cause l’establishment et livrent un commentaire humain et poétique sur le monde qui les entoure.Langues : Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : ;Royal opera house;Personnel;Fêtes foraines;Orchestres de jazz;Grande-Bretagne;Londres (GB);Journaux;Grande-Bretagne;Yorkshire (GB);Réfugiés hongrois;Biographies;Grande-Bretagne;Londres (GB);Transports ferroviaires;Personnel;Grande-Bretagne;Manchester (GB);Jeunesse;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Jeux d'extérieur;Terrains d'aventure;Manifestations;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Désarmement nucléaire;Quartiers juifs;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Coton;Industrie et commerce;Personnel;Grande-Bretagne;1945-1970;Repos hebdomadaire;Cinéma indépendant;Grande-Bretagne;1945-1970;Yorkshire (GB);Moeurs et coutumes;Londres (G.B.);Quartier de Piccadilly Index. décimale : 92 Cinéma Free cinema [document projeté ou vidéo] / Lindsay Anderson (1923-1994), Metteur en scène, réalisateur ; Alain Tanner (1929-....), Personne interviewée ; Christophe Dupin, Metteur en scène, réalisateur ; Leslie Daiken (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Elizabeth Russell (19..-....), Metteur en scène, réalisateur ; Johnny Dankworth (1927-....), Compositeur ; Michael Grigsby, Metteur en scène, réalisateur ; Robert Vas (1931-1978), Metteur en scène, réalisateur ; Alun Owen (1925-1994), Narrateur ; Alain Tanner (1929-....), Metteur en scène, réalisateur ; Claude Goretta (1929-....), Metteur en scène, réalisateur ; Denis Horne, Scénariste ; Lorenza Mazzetti (1928-....), Metteur en scène, réalisateur ; Tony Richardson (1928-1991), Metteur en scène, réalisateur ; Karel Reisz (1926-2002), Metteur en scène, réalisateur ; Walter Lassally (1926-....), Personne interviewée . - Paris [France] : Doriane Films, 2007 . - 3 DVD vidéo monofaces toutes zones (7 h 55 min) : n. et b. (PAL), son.
ISSN : 3700246902621
Février 1956. Ceux qui allaient devenir les hérauts de la Nouvelle Vague britannique décident de se regrouper pour faire connaître leurs films : Lindsay Anderson, avec ses amis Karel Reisz, Tony Richardson et Lorenza Mazetti, présentent leurs courts-métrages au National Film Theatre de Londres. Le Free cinema est né - mouvement fondateur de l’histoire du cinéma anglais, précurseur du réalisme social de la fin des années 50 et du début des années 60. La première programmation est si retentissante que cinq autres programmes Free Cinema vont suivre. Ce coffret présente les 11 films des trois programmes anglais du Free Cinema (les 3 autres ayant été consacrés à des cinéastes étrangers), 5 films tournés plus tard, mais clairement inspirés de ce mouvement, ainsi qu’un documentaire exclusif présentant des entretiens avec les réalisateurs de l’époque.
Le Free Cinema se définit avant tout comme une vision nouvelle du métier de cinéaste tranchant avec l’orthodoxie conservatrice du cinéma dominant. Documentaires souvent produits grâce au bfi Experimental Fund, ces films racontent en toute liberté l’histoire des petites gens, leur quotidien, leurs loisirs et leur désarroi. En donnant la parole à ceux qui en sont le plus souvent privés, ces réalisateurs remettent en cause l’establishment et livrent un commentaire humain et poétique sur le monde qui les entoure.
Langues : Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court Métrage
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : ;Royal opera house;Personnel;Fêtes foraines;Orchestres de jazz;Grande-Bretagne;Londres (GB);Journaux;Grande-Bretagne;Yorkshire (GB);Réfugiés hongrois;Biographies;Grande-Bretagne;Londres (GB);Transports ferroviaires;Personnel;Grande-Bretagne;Manchester (GB);Jeunesse;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Jeux d'extérieur;Terrains d'aventure;Manifestations;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Désarmement nucléaire;Quartiers juifs;Grande-Bretagne;Londres (GB);1945-1970;Coton;Industrie et commerce;Personnel;Grande-Bretagne;1945-1970;Repos hebdomadaire;Cinéma indépendant;Grande-Bretagne;1945-1970;Yorkshire (GB);Moeurs et coutumes;Londres (G.B.);Quartier de Piccadilly Index. décimale : 92 Cinéma ContientExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100212 92 N.1.0642 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100212.jpgImage Jpeg PermalinkLe procès / Jean-Philippe Trias
PermalinkPermalinkToto le héros (dossier pédagogique) / Michel Condé
PermalinkDVD 2. Free cinema 6 : Les derniers films
PermalinkDVD 3. Le Free cinema, et après : d'autres films inspirés de ce mouvement
PermalinkDVD 1. Free cinema
Permalink