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Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Architectures volume 2 / Collectif
Titre : Architectures volume 2 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Collectif, Metteur en scène, réalisateur Editeur : arte vidéo Année de publication : 1995-2000 Importance : 1 DVD Présentation : 130 min (5 fois 26 min) Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Architecture (constructions et jardins)
Education par les médias:Arts et médias:Télévision :Emissions / ReportagesMots-clés : ARCHITECTURE / CENTRE COMMERCIAL / INDUSTRIE / SAINT-CLOUD / NAPLES / PARIS / URBANISME / AMENAGEMENT DE L’ESPACE / ARCHITECTURE CIVILE / ARCHITECTURE MODERNE / BASSIN DE NATATION / GRISONS / CONSTRUCTION / ESPACE RURAL / ESPACE URBAIN / GARE / INNOVATION TECHNOLOGIQUE / TECHNOLOGIE / HISTOIRE DE L’ART / T.G.V. / WISCONSIN / HABITATION / LYON / DEPARTEMENT RHONE / WRIGHT FRANK LLOYD / KOOLHAAS REM / *DVD VIDEO / FRANK ROBERT / ROCCO EMANUELLE / CALATRAVA SANTIAGO / ZUMTHOR PETER / DUBAN FELIX Index. décimale : 96 Architecture (constructions et jardins) Note de contenu : 1. "La Villa Dall'Ava", Rem Koolhaas. (R. Copans) - 2. "Le Bâtiment Johnson", Frank Lloyd Wright. (F. Compain) - 3. "La Galleria Umberto Ier", Emmanuele Rocco. (S. Neumann) - 4. "Satolas-TGV, un monument à la campagne", Santiago Calatrava. (C. Adda) - 5. "Les thermes de pierre", Peter Zumthor. (R. Copans) - 6. "L'Ecole des Beaux-Arts de Paris", Félix Duban. (C. Adda) Genre : Reportage Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Architectures volume 2 [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - arte vidéo, 1995-2000 . - 1 DVD : 130 min (5 fois 26 min).
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102704 96 N.1.1390/2 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Cinéma d'avant-garde / Peter Weiss
Titre : Cinéma d'avant-garde Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur Editeur : Paris [France] : L'Arche éditeur Année de publication : 1989 Importance : 171 p. Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85181-243-8 Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Cinéma d'avant-garde [texte imprimé] / Peter Weiss, Auteur ; Catherine de Seynes, Traducteur . - Paris [France] : L'Arche éditeur, 1989 . - 171 p. : ill. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-85181-243-8
Langues : Français (fre) Langues originales : Suédois (swe)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Essai, cinéma expérimental/d'avant-gardeMots-clés : cinéma expérimental cinéma d'avant-garde Peter Weiss Luis Bunuel Jean Cocteau Jean Vigo Mario Peixoto Eisenstein Carl T. Dreyer Le sang d'un poète Limite Que viva Mexico Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le studio de cinéma de la rue Danton est archicomble. Le public est international, composé surtout d'étudiants; l'air est épais de fumée de cigarettes et bourdonnant de murmures. A neuf heures précises, on commence à battre des mains et à taper du pied pour rappeler au projectionniste que le séance doit commencer.
On fait un essai avec le début d'une bobine: le public commente avec impatience. Et ça recommence: battements de mains rythmés, sifflets, piétinements; on dirait le rythme d'une danse orgiaque. La lumière s'éteint brusquement; dans le fond de la salle, l'appareil de projection commence à ronronner.Pays : France Niveau : enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302290 17 H.1.00822 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : L'histoire-caméra Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-076368-9 Note générale :
Antoine de Baecque est historien et critique de cinéma. Son travail historique porte sur le siècle des Lumières et la Révolution, dont il a étudié la culture politique (Le Corps de l'histoire, 1993; La Gloire et l'Effroi, 1996; Les Éclats du rire, 2000). Sur le cinéma, il a notamment publié François Truffaut (1996), La Nouvelle Vague (1998), La Cinéphilie (2003).Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Sacha Guitry Peter Watkins démoderne Tim Burton histoire et cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'histoire a toujours fasciné le cinéma. En témoigne, depuis les origines, l'attirance des metteurs en scène pour les reconstitutions historiques. Très vite, également, elle s'est invitée dans les images, transformant les films en archives visuelles du XXe siècle. Ces deux mouvements - l'histoire reconstituée et l'histoire surgissant à l'écran - manifestent la rencontre du cinéma et de l'histoire : le cinéma donne une forme à l'histoire, laquelle, en retour, y inscrit son empreinte comme sur une plaque sensible. Le septième art aurait-il une dimension historique intrinsèque ? La réponse d'Antoine de Baecque est sans équivoque : " La forme cinématographique est de part en part historique, et le cinéaste, doté de son outil, l'histoire-caméra, un historien privilégié. " Le cinéma moderne d'après la Seconde Guerre mondiale incarne l'irruption de cet " âge de l'histoire " dans la vision des films. Il fournit à lui seul toute la matière de ce livre : les œuvres des années 1950, confrontées en regards caméra au traumatisme de la mort de masse ; celles de la Nouvelle Vague, quand le style se fait trace du mal-être de la jeunesse sur fond de guerre d'Algérie ; les films " démodernes " du cinéma russe d'après le communisme ; le cinéma hollywoodien contemporain, où se reflètent les fictions maîtresses du 11-Septembre. S'y ajoutent les mises en forme de Sacha Guitry, filmant l'histoire de France en son château, de Jean-Luc Godard, qui fait resurgir l'histoire dans la mémoire muséale du siècle, et de Peter Watkins, qui la traque comme un reporter de guerre.
L'histoire-caméra [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur . - Paris : Gallimard, 2008 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-07-076368-9
Antoine de Baecque est historien et critique de cinéma. Son travail historique porte sur le siècle des Lumières et la Révolution, dont il a étudié la culture politique (Le Corps de l'histoire, 1993; La Gloire et l'Effroi, 1996; Les Éclats du rire, 2000). Sur le cinéma, il a notamment publié François Truffaut (1996), La Nouvelle Vague (1998), La Cinéphilie (2003).
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Sacha Guitry Peter Watkins démoderne Tim Burton histoire et cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'histoire a toujours fasciné le cinéma. En témoigne, depuis les origines, l'attirance des metteurs en scène pour les reconstitutions historiques. Très vite, également, elle s'est invitée dans les images, transformant les films en archives visuelles du XXe siècle. Ces deux mouvements - l'histoire reconstituée et l'histoire surgissant à l'écran - manifestent la rencontre du cinéma et de l'histoire : le cinéma donne une forme à l'histoire, laquelle, en retour, y inscrit son empreinte comme sur une plaque sensible. Le septième art aurait-il une dimension historique intrinsèque ? La réponse d'Antoine de Baecque est sans équivoque : " La forme cinématographique est de part en part historique, et le cinéaste, doté de son outil, l'histoire-caméra, un historien privilégié. " Le cinéma moderne d'après la Seconde Guerre mondiale incarne l'irruption de cet " âge de l'histoire " dans la vision des films. Il fournit à lui seul toute la matière de ce livre : les œuvres des années 1950, confrontées en regards caméra au traumatisme de la mort de masse ; celles de la Nouvelle Vague, quand le style se fait trace du mal-être de la jeunesse sur fond de guerre d'Algérie ; les films " démodernes " du cinéma russe d'après le communisme ; le cinéma hollywoodien contemporain, où se reflètent les fictions maîtresses du 11-Septembre. S'y ajoutent les mises en forme de Sacha Guitry, filmant l'histoire de France en son château, de Jean-Luc Godard, qui fait resurgir l'histoire dans la mémoire muséale du siècle, et de Peter Watkins, qui la traque comme un reporter de guerre.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300347 17 H.1.03858 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300347URL Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
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