Accueil
La médiathèque de Capmédia c'est plus de 100.000 documents d'éducation aux médias et par les médias : livres, DVD, cassettes vidéos, CDrom, diapositives, transparents, livres sonores...
Comme les autres services de Capmédia, la médiathèque est accessible aux enseignants, étudiants et membres d'asbl uniquement.
Capmédia est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h. Attention : la médiathèque n'est ouverte que les lundis, mardis et jeudis matins ainsi que les mercredi et vendredi de 9h à 17h.
Résultat de la recherche
3 recherche sur le mot-clé 'Reality show'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Le cinéma "direct" / Guy Hennebelle
Titre : Le cinéma "direct" : Années 90 : où en est-il? Cinéma vérité? Cinéma du réel? Cinéma du vécu? Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Hennebelle, Directeur de publication ; Collectif, Auteur Editeur : Colombelles [France] : Corlet Publications Année de publication : 1995 Collection : CinémAction num. 76 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85480-882-7 Note générale : Le cinéma direct est un courant du cinéma documentaire qui a vu le jour en Amérique du Nord, au Canada et aux États-Unis, entre 1958 et 1962. Si, dans son acception initiale, il se caractérise par un désir de capter directement le réel et d’en transmettre la vérité, il sera au cinéma, de façon plus durable, une manière de se poser le problème du réel, voire de tenter d'y agir par le cinéma. Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Frederick Wiseman Ermanno Olmi Vittorio De Seta Raymond Depardon Chris Marker Robert Kramer documentaire Reality show Romain Goupil cinéma vérité cinéma direct Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma direct est à la fois genre et technique cinématographique. Il fit son apparition au début des années 60 alors qu'apparaissait de nouvelles techniques de prises de vues et de nouvelles exigences quant à la représentation de la réalité, encore marquée par la guerre. Les cinéastes du direct étaient en quelques sortes ce que les lumières étaient à leur siècle, les premiers pionniers d'une révolte grondante. Le cinéma "direct" : Années 90 : où en est-il? Cinéma vérité? Cinéma du réel? Cinéma du vécu? [texte imprimé] / Guy Hennebelle, Directeur de publication ; Collectif, Auteur . - Colombelles [France] : Corlet Publications, 1995. - (CinémAction; 76) .
ISBN : 978-2-85480-882-7
Le cinéma direct est un courant du cinéma documentaire qui a vu le jour en Amérique du Nord, au Canada et aux États-Unis, entre 1958 et 1962. Si, dans son acception initiale, il se caractérise par un désir de capter directement le réel et d’en transmettre la vérité, il sera au cinéma, de façon plus durable, une manière de se poser le problème du réel, voire de tenter d'y agir par le cinéma.
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Frederick Wiseman Ermanno Olmi Vittorio De Seta Raymond Depardon Chris Marker Robert Kramer documentaire Reality show Romain Goupil cinéma vérité cinéma direct Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma direct est à la fois genre et technique cinématographique. Il fit son apparition au début des années 60 alors qu'apparaissait de nouvelles techniques de prises de vues et de nouvelles exigences quant à la représentation de la réalité, encore marquée par la guerre. Les cinéastes du direct étaient en quelques sortes ce que les lumières étaient à leur siècle, les premiers pionniers d'une révolte grondante. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302330 17 H.1.01257 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303675 19 H.1.04339/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Les monstres du mythe au culte / Albert Montagne
Titre : Les monstres du mythe au culte Type de document : texte imprimé Auteurs : Albert Montagne, Directeur de la recherche Editeur : Colombelles [France] : Corlet Publications Année de publication : 2008 Collection : CinémAction Importance : 261 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84706-261-8 Note générale : L'auteur :
Docteur en Histoire et certifié (maîtrise en Droit public). Membre de l’Institut Vigo, de l’Association des professeurs d’Histoire et de Géographie et de la société pour l’Histoire des médias. Rédacteur aux Cahiers de la Cinémathèque et intervenant cinéma au Pôle Régional d’Education à l’Image Languedoc-Roussillon. Collaborateur, notamment, d’Historiens et Géographes, CinémAction, des Ciné-Rencontres de Prades. Participe également au groupe de recherche Biblique Interdisciplinaire de l’Université de Montpellier.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma d'horreur film d'horreur passage du muet au parlant zombie Le Golem Jan Svankmajer Ed Wood Frankenstein Rocky horror picture show Steven Spielberg Peter Jackson King kong Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les humains, qui ont en commun, sous des apparences trompeuses, d’être ou de paraître normaux : enfants monstres, femmes, monstresses, docteurs fous, tueurs, monstres de foire…Les hybrides, ces mélanges d’humaines et de non humains, créatures innommables et inimaginables, qui se méfient de nous, nous évitent ou nous terrifient : démons, fantômes, golems, loups-garous, sorcières, zombies, vampires… Les inhumains, anthropomorphes (robots, mutants, supers-héros…) ou radicalement « différents » (aliens, Jabberwockies, Toves…). Certains sont à part : King Kong, la Mort, le franquisme… Tous nous menacent. Le monstrueux, si proche (Nous) ou si lointain (« Them »), est un miroir sans tain qui nous renvoie notre image et révèle nos vraies beautés intérieures et laideurs externes. C’est dans ce monde que nous plonge cet ouvrage qui analyse l’évolution de ce phénomène, du mythe au culte.Les monstres du mythe au culte [texte imprimé] / Albert Montagne, Directeur de la recherche . - Colombelles [France] : Corlet Publications, 2008 . - 261 p.. - (CinémAction) .
ISBN : 978-2-84706-261-8
L'auteur :
Docteur en Histoire et certifié (maîtrise en Droit public). Membre de l’Institut Vigo, de l’Association des professeurs d’Histoire et de Géographie et de la société pour l’Histoire des médias. Rédacteur aux Cahiers de la Cinémathèque et intervenant cinéma au Pôle Régional d’Education à l’Image Languedoc-Roussillon. Collaborateur, notamment, d’Historiens et Géographes, CinémAction, des Ciné-Rencontres de Prades. Participe également au groupe de recherche Biblique Interdisciplinaire de l’Université de Montpellier.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma d'horreur film d'horreur passage du muet au parlant zombie Le Golem Jan Svankmajer Ed Wood Frankenstein Rocky horror picture show Steven Spielberg Peter Jackson King kong Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Les humains, qui ont en commun, sous des apparences trompeuses, d’être ou de paraître normaux : enfants monstres, femmes, monstresses, docteurs fous, tueurs, monstres de foire…Les hybrides, ces mélanges d’humaines et de non humains, créatures innommables et inimaginables, qui se méfient de nous, nous évitent ou nous terrifient : démons, fantômes, golems, loups-garous, sorcières, zombies, vampires… Les inhumains, anthropomorphes (robots, mutants, supers-héros…) ou radicalement « différents » (aliens, Jabberwockies, Toves…). Certains sont à part : King Kong, la Mort, le franquisme… Tous nous menacent. Le monstrueux, si proche (Nous) ou si lointain (« Them »), est un miroir sans tain qui nous renvoie notre image et révèle nos vraies beautés intérieures et laideurs externes. C’est dans ce monde que nous plonge cet ouvrage qui analyse l’évolution de ce phénomène, du mythe au culte.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300002 17 H.1.03195 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible