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Cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb / Denise Brahimi
Titre : Cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb Type de document : texte imprimé Auteurs : Denise Brahimi, Auteur Editeur : Paris : Nathan Année de publication : 1997 Collection : 128 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-09-190363-7 Note générale :
L'expression «cinéma africain» désigne les films et la production cinématographique associés aux pays d'Afrique, de l'Afrique du Nord à l'Afrique du Sud en passant par toute l'Afrique sub-saharienne. Si cette expression est passée dans le langage courant, elle est historiquement surtout liée à une approche idéologique (de type panafricain) et à des organisations telles que la Fédération panafricaine des cinéastes (FEPACI). Compte-tenu de la diversité des contextes sociaux et culturels du continent africain, il est plus adéquat de parler «des» cinémas africains.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Maroc Algérie Tunisie Sénégal Mali Burkina Faso Niger Guinée Côte d’Ivoire Cameroun Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : «Les cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb naissent dans les années 1960 avec les Indépendances et témoignent d'une puissante volonté d'expression identitaire. Ils sont le lieu d'une recherche esthétique et d'une réflexion sur les moeurs, notamment sur la condition féminine, et s'affirment comme une source indispensable à la compréhension des cultures dont ils émanent. Aujourd'hui confrontés aux lois du marché mondial, les cinéastes africains et maghrébins cherchent leur voie entre une universalisation de leur production et l'expression de particularismes. Cet ouvrage offre le panorama d'une cinématographie fortement engagée à travers ses institutions et ses oeuvres. Parmi d'autres auteurs, on y trouvera les noms de Sembène Ousmane, Mohammed Lakhdar-Hamina, Souleymane Cissé, Merzak Allouache, Idrissa Ouedraogo, Férid Boughedir ...»
«Les films africains recensés par Denise Brahimi couvrent la période 1960-1996, mais, géographiquement, ils ne proviennent que d’une dizaine de pays, tous francophones : Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Mali, Burkina Faso, Niger, Guinée, Côte d’Ivoire et Cameroun.
Que l’on soit d’accord ou pas avec les pistes et les choix proposés, on trouvera, en tout cas, matière à réflexion dans ce travail publié dans une collection "conçue en priorité pour les étudiants du premier cycle universitaire". Relevons, cependant, que le format et la pagination de ce livre — 128 pages — laissent libre cours à des choix subjectifs. De ce fait, les auteurs, les pays et les films sont analysés ou évoqués de manière fort inégale.» (extrait d’un article de La Presse, Tunisie, 9 mars 2003)
Cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb [texte imprimé] / Denise Brahimi, Auteur . - Paris : Nathan, 1997. - (128) .
ISBN : 978-2-09-190363-7
L'expression «cinéma africain» désigne les films et la production cinématographique associés aux pays d'Afrique, de l'Afrique du Nord à l'Afrique du Sud en passant par toute l'Afrique sub-saharienne. Si cette expression est passée dans le langage courant, elle est historiquement surtout liée à une approche idéologique (de type panafricain) et à des organisations telles que la Fédération panafricaine des cinéastes (FEPACI). Compte-tenu de la diversité des contextes sociaux et culturels du continent africain, il est plus adéquat de parler «des» cinémas africains.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Maroc Algérie Tunisie Sénégal Mali Burkina Faso Niger Guinée Côte d’Ivoire Cameroun Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : «Les cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb naissent dans les années 1960 avec les Indépendances et témoignent d'une puissante volonté d'expression identitaire. Ils sont le lieu d'une recherche esthétique et d'une réflexion sur les moeurs, notamment sur la condition féminine, et s'affirment comme une source indispensable à la compréhension des cultures dont ils émanent. Aujourd'hui confrontés aux lois du marché mondial, les cinéastes africains et maghrébins cherchent leur voie entre une universalisation de leur production et l'expression de particularismes. Cet ouvrage offre le panorama d'une cinématographie fortement engagée à travers ses institutions et ses oeuvres. Parmi d'autres auteurs, on y trouvera les noms de Sembène Ousmane, Mohammed Lakhdar-Hamina, Souleymane Cissé, Merzak Allouache, Idrissa Ouedraogo, Férid Boughedir ...»
«Les films africains recensés par Denise Brahimi couvrent la période 1960-1996, mais, géographiquement, ils ne proviennent que d’une dizaine de pays, tous francophones : Maroc, Algérie, Tunisie, Sénégal, Mali, Burkina Faso, Niger, Guinée, Côte d’Ivoire et Cameroun.
Que l’on soit d’accord ou pas avec les pistes et les choix proposés, on trouvera, en tout cas, matière à réflexion dans ce travail publié dans une collection "conçue en priorité pour les étudiants du premier cycle universitaire". Relevons, cependant, que le format et la pagination de ce livre — 128 pages — laissent libre cours à des choix subjectifs. De ce fait, les auteurs, les pays et les films sont analysés ou évoqués de manière fort inégale.» (extrait d’un article de La Presse, Tunisie, 9 mars 2003)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302321 17 H.1.01411 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
Titre : Dossier pédagogique de "Indigènes" Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Marcon, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Agence Cinéma Education Importance : 20 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Indigènes" [texte imprimé] / Valérie Marcon, Auteur . - Zérodeconduite.net : Agence Cinéma Education, s.d. . - 20 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303684 19 H.1.04339/13 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible