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Dossier pédagogique de "L'homme à la caméra" / Eugénie Zvonkine
Titre : Dossier pédagogique de "L'homme à la caméra" Type de document : texte imprimé Auteurs : Eugénie Zvonkine, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : s.d. Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale : L'Homme à la caméra (Chelovek s kinoapparatom) est un film soviétique réalisé par Dziga Vertov en 1929. Tourné à Odessa et d'autre villes soviétiques, le synopsis de ce film muet repose sur le quotidien de ses habitants, du matin au soir, explorant toutes les facettes du travail, des loisirs, de la ville.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : L'homme à la caméra Chelovek s kinoapparatom VUFKU Comité pan ukrainien du cinéma et de la photo Dziga Vertov Denis Kaufman Mikhaïl Kaufman Elizaveta Svilova Cinéma russe Cinéma avant-garde Documentaire Expérimental Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film est célèbre surtout par son approche très éclatée, la musicalité de son montage (pour un film muet), les nombreuses techniques cinématographiques utilisées (surimpression, superposition, accéléré, ralenti, etc). Il est aussi célèbre pour sa mise en abyme (le film dans le film) : on suit l'opérateur tournant le film, on montre le montage d'une séquence de ce film et une autre scène présente un public regardant l'Homme à la caméra sur grand écran… Il illustre la théorie du cinéma de Vertov : le Ciné-oeil.
Mais au moment de sa sortie il n'a pas fait l'unanimité. Sergueï Eisenstein qualifie ces images de « coq-à-l'âne formalistes et de pitreries gratuites dans l'emploi de la caméra ».
L'esthétique du film est fortement marquée par les mouvements d'avant-garde de l'époque, principalement par le constructivisme. C'est un film tout à la fois documentaire et expérimental. On peut le considérer comme un manifeste de la recherche esthétique du cinéma d'avant-garde soviétique, encore indemne des contraintes artistiques que subiront par la suite les artistes d'URSS.
Plusieurs images sont mémorables : celle d'un homme qui se promène avec une caméra sur trépied dans le dos, un œil en très gros plan en superposition avec celui d'un objectif de caméra, la surimpression d'un cadreur géant installé sur un toi ...
Note de contenu : * 1983: Le groupe Un drame musical instantané composa une musique originale jouée en direct avec leur orchestre de quinze musiciens (création au Festival Musica à Strasbourg), parue en 33 tours sur le label GRRR.
* Milieu des années 1990: Pierre Henry a réalisé une musique de film (électroacoustique) synchronisée.
* 2000 : le groupe de jazz anglais The Cinematic Orchestra a composé une trame sonore inspirée de ce film.
* 2001 : le groupe Fantômas s'inspire de l'affiche du film pour la pochette de son deuxième album : Director's cut.
* 2010 : Gilles Tynaire écrit une nouvelle partition, interprétée pour la première fois dans le cadre d'un ciné-concert, le 21 juin 2010, à Issy-les-Moulineaux, par le Ziveli Orkestar et le chœur du collège Henri Matisse (direction Catherine Lobet).
* 2011 : Le 20 mai, le compositeur breton Yann Le Long crée sa version de la bande son du film, avec le violoncelliste Philippe Cusson et le batteur Stéphane Grimalt, dans le Centre Culturel du Vieux Couvent, à Muzillac. La bande son est enregistrée.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "L'homme à la caméra" [texte imprimé] / Eugénie Zvonkine, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, s.d. . - 22 pp.
L'Homme à la caméra (Chelovek s kinoapparatom) est un film soviétique réalisé par Dziga Vertov en 1929. Tourné à Odessa et d'autre villes soviétiques, le synopsis de ce film muet repose sur le quotidien de ses habitants, du matin au soir, explorant toutes les facettes du travail, des loisirs, de la ville.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médiasMots-clés : L'homme à la caméra Chelovek s kinoapparatom VUFKU Comité pan ukrainien du cinéma et de la photo Dziga Vertov Denis Kaufman Mikhaïl Kaufman Elizaveta Svilova Cinéma russe Cinéma avant-garde Documentaire Expérimental Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Le film est célèbre surtout par son approche très éclatée, la musicalité de son montage (pour un film muet), les nombreuses techniques cinématographiques utilisées (surimpression, superposition, accéléré, ralenti, etc). Il est aussi célèbre pour sa mise en abyme (le film dans le film) : on suit l'opérateur tournant le film, on montre le montage d'une séquence de ce film et une autre scène présente un public regardant l'Homme à la caméra sur grand écran… Il illustre la théorie du cinéma de Vertov : le Ciné-oeil.
Mais au moment de sa sortie il n'a pas fait l'unanimité. Sergueï Eisenstein qualifie ces images de « coq-à-l'âne formalistes et de pitreries gratuites dans l'emploi de la caméra ».
L'esthétique du film est fortement marquée par les mouvements d'avant-garde de l'époque, principalement par le constructivisme. C'est un film tout à la fois documentaire et expérimental. On peut le considérer comme un manifeste de la recherche esthétique du cinéma d'avant-garde soviétique, encore indemne des contraintes artistiques que subiront par la suite les artistes d'URSS.
Plusieurs images sont mémorables : celle d'un homme qui se promène avec une caméra sur trépied dans le dos, un œil en très gros plan en superposition avec celui d'un objectif de caméra, la surimpression d'un cadreur géant installé sur un toi ...
Note de contenu : * 1983: Le groupe Un drame musical instantané composa une musique originale jouée en direct avec leur orchestre de quinze musiciens (création au Festival Musica à Strasbourg), parue en 33 tours sur le label GRRR.
* Milieu des années 1990: Pierre Henry a réalisé une musique de film (électroacoustique) synchronisée.
* 2000 : le groupe de jazz anglais The Cinematic Orchestra a composé une trame sonore inspirée de ce film.
* 2001 : le groupe Fantômas s'inspire de l'affiche du film pour la pochette de son deuxième album : Director's cut.
* 2010 : Gilles Tynaire écrit une nouvelle partition, interprétée pour la première fois dans le cadre d'un ciné-concert, le 21 juin 2010, à Issy-les-Moulineaux, par le Ziveli Orkestar et le chœur du collège Henri Matisse (direction Catherine Lobet).
* 2011 : Le 20 mai, le compositeur breton Yann Le Long crée sa version de la bande son du film, avec le violoncelliste Philippe Cusson et le batteur Stéphane Grimalt, dans le Centre Culturel du Vieux Couvent, à Muzillac. La bande son est enregistrée.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303122 19 H.1.04339/23 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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Titre : Buster Keaton Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Goudet, Auteur ; Buster Keaton (1895-1966), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 26 Importance : 1 vol. (94 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-525-8 Note générale : Buster Keaton est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain, né Joseph Frank Keaton Junior le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas), mort le 1er février 1966 à Hollywood (Californie) ; « Buster » est un surnom générique (« pote ») signifiant aussi « casse-cou ». Humoriste célèbre pour son flegme, il fut entre autres surnommé « l'homme qui ne rit jamais » par contraste avec Charles Chaplin.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Burlesque cinéma muet cinéma américain Sherlock Jr. La Croisière du Navigator Le Mécano de la General Cadet d'eau douce Le Cameraman Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Keaton doit son prénom, Buster - " casse-cou ", à une dégringolade, miraculeusement sans conséquences, qu'il fit bébé dans l'escalier. C'est sans doute ce que l'on peut appeler une scène primitive pour se maître du burlesque dont le corps perpétuellement en déséquilibre allait devenir une marque de fabrique. Alors qu'il se produit au music-hall avec ses parents depuis tout petit, une société de protection de l'enfant s'émeut des chutes et contorsions que lui valent ses rôles d'adultes miniatures. Il est recruté par Mack Sennett pour donner la réplique à Fatty Arbuckle, " l'obèse au visage de poupon ", dans d'hilarantes comédies à base de poursuites et de batailles de tartes à la crème. Mais, plus largement, c'est un genre à part entière du cinéma qui s'y invente, le burlesque, qui, qu'au-delà du rire, traite du rapport difficile qu'entretient l'homme avec les objets l'espace et les autres. Au début des années vingt, Kaeton crée ses propres studios. Acteur, metteur en scène, scénariste, il produit nombre de courts métrages, au meilleur de son talent dans l'inoubliable Maison démontable. Il passe bientôt au long métrage et réalise une succession de chefs-d'œuvre comme Sherlock Junior, La Croisière du " Navigator ", ou Le Mécano de la " General ", merveilleuses de rythme, de logique et de géométrie. Le temps n'est plus où il fallait légitimer Buster Keaton pour lui assurer une place centrale qui lui revient de droit dans l'histoire du cinéma mondial. Il n'est donc plus besoin de l'opposer à Charlie Chaplin. Ce combat de cinéphilie a été gagné, et Charlie Chaplin et Keaton en sont tous deux sortis vainqueurs, maîtres incontestés du comique et du burlesque. Buster Keaton [texte imprimé] / Stéphane Goudet, Auteur ; Buster Keaton (1895-1966), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (94 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 26) .
ISBN : 978-2-86642-525-8
Buster Keaton est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur américain, né Joseph Frank Keaton Junior le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas), mort le 1er février 1966 à Hollywood (Californie) ; « Buster » est un surnom générique (« pote ») signifiant aussi « casse-cou ». Humoriste célèbre pour son flegme, il fut entre autres surnommé « l'homme qui ne rit jamais » par contraste avec Charles Chaplin.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Burlesque cinéma muet cinéma américain Sherlock Jr. La Croisière du Navigator Le Mécano de la General Cadet d'eau douce Le Cameraman Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Keaton doit son prénom, Buster - " casse-cou ", à une dégringolade, miraculeusement sans conséquences, qu'il fit bébé dans l'escalier. C'est sans doute ce que l'on peut appeler une scène primitive pour se maître du burlesque dont le corps perpétuellement en déséquilibre allait devenir une marque de fabrique. Alors qu'il se produit au music-hall avec ses parents depuis tout petit, une société de protection de l'enfant s'émeut des chutes et contorsions que lui valent ses rôles d'adultes miniatures. Il est recruté par Mack Sennett pour donner la réplique à Fatty Arbuckle, " l'obèse au visage de poupon ", dans d'hilarantes comédies à base de poursuites et de batailles de tartes à la crème. Mais, plus largement, c'est un genre à part entière du cinéma qui s'y invente, le burlesque, qui, qu'au-delà du rire, traite du rapport difficile qu'entretient l'homme avec les objets l'espace et les autres. Au début des années vingt, Kaeton crée ses propres studios. Acteur, metteur en scène, scénariste, il produit nombre de courts métrages, au meilleur de son talent dans l'inoubliable Maison démontable. Il passe bientôt au long métrage et réalise une succession de chefs-d'œuvre comme Sherlock Junior, La Croisière du " Navigator ", ou Le Mécano de la " General ", merveilleuses de rythme, de logique et de géométrie. Le temps n'est plus où il fallait légitimer Buster Keaton pour lui assurer une place centrale qui lui revient de droit dans l'histoire du cinéma mondial. Il n'est donc plus besoin de l'opposer à Charlie Chaplin. Ce combat de cinéphilie a été gagné, et Charlie Chaplin et Keaton en sont tous deux sortis vainqueurs, maîtres incontestés du comique et du burlesque. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300019 18 H.1.03179 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300019.jpgImage Jpeg Mon ket / François Damiens
Titre : Mon ket Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : François Damiens, Metteur en scène, réalisateur ; Benoît Mariage, Scénariste Editeur : Cinéart Année de publication : 2018 Importance : 2 DVD (87 min. + bonus) ISBN/ISSN/EAN : 5051083139878 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cinéma Belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : caméra cachée l'embrouille documenteur Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Dany Versavel a un souci avec son fils : à 15 ans, Sullivan ne veut plus d’un père qui fait le king derrière les barreaux. Pour Dany, son « ket » , c’est sa vie, hors de question de le laisser filer. Il décide donc de s’évader de prison prématurément ! Entre cavales, magouilles et petits bonheurs, il a tant de choses à lui enseigner. Un apprentissage à son image. Au pied de biche, sans pudeur ni retenue. Mais là où l’on pouvait craindre le pire, se cache peut être le meilleur… Note de contenu : DVD 1 : Le film
DVD 2 : les ratés (bêtisier) (4 min.), séquences inédites (30 min.), parole aux piégés (30 min.)Genre : Comédie Pays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire Mon ket [document projeté ou vidéo] / François Damiens, Metteur en scène, réalisateur ; Benoît Mariage, Scénariste . - Cinéart, 2018 . - 2 DVD (87 min. + bonus).
ISSN : 5051083139878
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cinéma Belge
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : caméra cachée l'embrouille documenteur Index. décimale : 92.7 Cinéma belge Résumé : Dany Versavel a un souci avec son fils : à 15 ans, Sullivan ne veut plus d’un père qui fait le king derrière les barreaux. Pour Dany, son « ket » , c’est sa vie, hors de question de le laisser filer. Il décide donc de s’évader de prison prématurément ! Entre cavales, magouilles et petits bonheurs, il a tant de choses à lui enseigner. Un apprentissage à son image. Au pied de biche, sans pudeur ni retenue. Mais là où l’on pouvait craindre le pire, se cache peut être le meilleur… Note de contenu : DVD 1 : Le film
DVD 2 : les ratés (bêtisier) (4 min.), séquences inédites (30 min.), parole aux piégés (30 min.)Genre : Comédie Pays : Belgique Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 105074 92.7 N.1.2455 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible
Titre : De Méliès à la 3D: la machine cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Mannoni, Auteur Editeur : Paris [France] : Lienart éd. Année de publication : 2016 Importance : 295 p. Présentation : ill., ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35906-176-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numériqueMots-clés : Cinéma histoire technologie caméra évolution Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Résumé : Un cheminement chronologique à travers 120 dates clés qui retrace les inventions techniques du cinéma, de ses origines à nos jours.
Les illustrations, représentant les projecteurs, les caméras, les matériels de studio et de laboratoire et les films, sont issues des collections de la Cinémathèque française.Pays : France De Méliès à la 3D: la machine cinéma [texte imprimé] / Laurent Mannoni, Auteur . - Paris [France] : Lienart éd., 2016 . - 295 p. : ill., ill. en coul.
ISBN : 978-2-35906-176-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Post-production (montage, effets spéciaux, doublage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Pré-production (scénario, story-board...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Production (tournage, décors, maquillage...)
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Techniques d'animation
Education aux médias:Cinéma:Technologie du cinéma:Technologie numériqueMots-clés : Cinéma histoire technologie caméra évolution Index. décimale : 20 Technologie du cinéma Résumé : Un cheminement chronologique à travers 120 dates clés qui retrace les inventions techniques du cinéma, de ses origines à nos jours.
Les illustrations, représentant les projecteurs, les caméras, les matériels de studio et de laboratoire et les films, sont issues des collections de la Cinémathèque française.Pays : France Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305049 20 H.1.04998 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
305049.jpgImage Jpeg PermalinkPermalink