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Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
Titre : Dossier pédagogique de "Le parfum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Metropolitan Films Importance : 19 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Le parfum" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - Zérodeconduite.net : Metropolitan Films, s.d. . - 19 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303686 19 H.1.04339/15 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
[n° ou bulletin]
Titre : 746 - Juillet/Août 2018 - Guide de voyagage Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 114 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma voyage Italie Espagne Portugal Afrique Au poste! BlacKkKlansman festival Asie Note de contenu : Éditorial
Génie du lieu par Stéphane Delorme
Événement;
Guide de voyage : 60 pages pour explorer la planète
Une carte du monde
Italie : Rome, Bologne, Turin, Toscane, Venise, Naples, Sicile, Capri, Espagne, Portugal, Grèce, Angleterre, Irlande, Suède, Arménie, Israël
France : Paris, La Seine, Nord, Sud, Alpes
Afrique
La Réunion, Inde, Corée, Japon
États-Unis: New York, San Francisco, Los Angeles
Brésil, Argentine
Cahier critique
Au poste! de Quentin Dupieux – par Joachim Lepastier
Ouvrir l’œil et le bon entretien avec Quentin Dupieux – par Joachim Lepastier
L’Île au trésor et Contes de juillet de Guillaume Brac – par Camille Bui
Traits d’union entretien avec Guillaume Brac – par Camille Bui & Stéphane Delorme
Zama de Lucrecia Martel – par Nicolas Azalbert
Paul Sanchez est revenu! de Patricia Mazuy – par Jean-Philippe Tessé
Un petit bout de France entretien avec Patricia Mazuy – par Jean-Philippe Tessé
La Saison du diable de Lav Diaz – par Cyril Béghin
La musique de l’âme entretien avec Lav Diaz – par Joachim Lepastier
BlacKkKlansman de Spike Lee – par Nicholas Elliott
L’Empire de la perfection de Julien Faraut – Stéphane Delorme
Ultra Rêve de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, Yann Gonzalez et Bertrand Mandico – par Joachim Lepastier
Notes sur d’autres films Caniba (Verena Pavel & Lucien Castaing-Taylor) – Dark River (Clio Barnard) – Dogman (Matteo Garrone) – Fleuve Noir (Erick Zonca) – Il se passe quelque chose (Anne Alix) – Mary Shelley (Haifaa al Mansour) – Le monde est à toi (Romain Gavras) – Paranoïa (Steven Soderbergh) – Le Poirier sauvage (Nuri Bilge Ceylan) – Sans un bruit (John Krasinski) – Silent Voice (Naoko Yamada) – The Strange Ones (Christopher Radcliff, Lauren Wolkstein) – Trois Contes de Borges (Maxime Martinot) – Under the Silver Lake (David Robert Mitchell) – Une pluie sans fin (Dong Yue)– Woman at War (Benedikt Erlingsson)
Journal
Festival À Taipei, des fenêtres ouvertes sur l’Asie + entretien avec Wood Lin
Inédit La Belle d’Arunas Žebriunas : astre pâle
Reprise Laura nue de Nicolò Ferrari : trouver Laura
Reprise A Brighter Summer Day d’Edward Yang : une adolescence à Taïwan
Festivals L’arrivée du train en gare de Cosquín,
Festivals Tui : révélations brésiliennes en Galice
DVD Lisboa Crónica Anedótica de José Leitão de Barros / Hello Happiness : 10 courts métrages de Marie Losier
Livres La Voix manquante de Frédérique Berthet / Devant mes yeux le désert de Shuji Terayama
Cinéma en plein air
Manifeste
Flamme par Caroline Poggi/Jonathan Vinel, Yann Gonzalez et Bertrand Mandico
BD
Misfits par LuzGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 746 - Juillet/Août 2018 - Guide de voyagage [texte imprimé] . - 2018 . - 114 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Cahiers du Cinéma
Education par les médias:Arts et médias:CinémaMots-clés : cinéma voyage Italie Espagne Portugal Afrique Au poste! BlacKkKlansman festival Asie Note de contenu : Éditorial
Génie du lieu par Stéphane Delorme
Événement;
Guide de voyage : 60 pages pour explorer la planète
Une carte du monde
Italie : Rome, Bologne, Turin, Toscane, Venise, Naples, Sicile, Capri, Espagne, Portugal, Grèce, Angleterre, Irlande, Suède, Arménie, Israël
France : Paris, La Seine, Nord, Sud, Alpes
Afrique
La Réunion, Inde, Corée, Japon
États-Unis: New York, San Francisco, Los Angeles
Brésil, Argentine
Cahier critique
Au poste! de Quentin Dupieux – par Joachim Lepastier
Ouvrir l’œil et le bon entretien avec Quentin Dupieux – par Joachim Lepastier
L’Île au trésor et Contes de juillet de Guillaume Brac – par Camille Bui
Traits d’union entretien avec Guillaume Brac – par Camille Bui & Stéphane Delorme
Zama de Lucrecia Martel – par Nicolas Azalbert
Paul Sanchez est revenu! de Patricia Mazuy – par Jean-Philippe Tessé
Un petit bout de France entretien avec Patricia Mazuy – par Jean-Philippe Tessé
La Saison du diable de Lav Diaz – par Cyril Béghin
La musique de l’âme entretien avec Lav Diaz – par Joachim Lepastier
BlacKkKlansman de Spike Lee – par Nicholas Elliott
L’Empire de la perfection de Julien Faraut – Stéphane Delorme
Ultra Rêve de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, Yann Gonzalez et Bertrand Mandico – par Joachim Lepastier
Notes sur d’autres films Caniba (Verena Pavel & Lucien Castaing-Taylor) – Dark River (Clio Barnard) – Dogman (Matteo Garrone) – Fleuve Noir (Erick Zonca) – Il se passe quelque chose (Anne Alix) – Mary Shelley (Haifaa al Mansour) – Le monde est à toi (Romain Gavras) – Paranoïa (Steven Soderbergh) – Le Poirier sauvage (Nuri Bilge Ceylan) – Sans un bruit (John Krasinski) – Silent Voice (Naoko Yamada) – The Strange Ones (Christopher Radcliff, Lauren Wolkstein) – Trois Contes de Borges (Maxime Martinot) – Under the Silver Lake (David Robert Mitchell) – Une pluie sans fin (Dong Yue)– Woman at War (Benedikt Erlingsson)
Journal
Festival À Taipei, des fenêtres ouvertes sur l’Asie + entretien avec Wood Lin
Inédit La Belle d’Arunas Žebriunas : astre pâle
Reprise Laura nue de Nicolò Ferrari : trouver Laura
Reprise A Brighter Summer Day d’Edward Yang : une adolescence à Taïwan
Festivals L’arrivée du train en gare de Cosquín,
Festivals Tui : révélations brésiliennes en Galice
DVD Lisboa Crónica Anedótica de José Leitão de Barros / Hello Happiness : 10 courts métrages de Marie Losier
Livres La Voix manquante de Frédérique Berthet / Devant mes yeux le désert de Shuji Terayama
Cinéma en plein air
Manifeste
Flamme par Caroline Poggi/Jonathan Vinel, Yann Gonzalez et Bertrand Mandico
BD
Misfits par LuzGenre : Revue Pays : France Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305222 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305222.pngPortable Network Graphics Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "The truman show" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2007 Importance : 9 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "The truman show" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2007 . - 9 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
The Truman Show est un film américain de Peter Weir sorti en 1998. Il met en scène Jim Carrey dans le rôle principal, aux côtés de Laura Linney, Noah Emmerich, Ed Harris et Natascha McElhone. Le film raconte la vie d'un homme, Truman Burbank, star d'une télé-réalité à son insu. Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage, tous ceux qui l'entourent sont des acteurs, lui seul ignore la réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir la vérité.
À sa sortie, The Truman Show fut un succès commercial et critique. Le film a été nommé pour de nombreux prix, et Jim Carrey a remporté son premier Golden Globe pour ce rôle.
Récompenses :
* Golden Globes 1999 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Jim Carrey, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure musique de film pour Burkhard Dallwitz (en) et Philip Glass
* BAFTAs 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario original pour Andrew Niccol, meilleure direction artistique pour Dennis Gassner
* Prix Hugo 1999 pour la meilleure présentation dramatique
Nominations :
* Prix du cinéma européen 1998 : Prix Screen International du film non-européen
* Golden Globes 1999 : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur scénario pour Andrew Niccol
* Oscars 1999 : meilleur réalisateur pour Peter Weir, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleur scénario original pour Andrew Niccol
* BAFTAs 1999 : meilleur film, meilleur acteur dans un second rôle pour Ed Harris, meilleure photographie pour Peter Biziou, meilleurs effets visuels.
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : The Truman Show Peter Weir Andrew Niccol Scott Rudin Peter Biziou William M. Anderson Lee Smith Burkhard Dallwitz Philip Glass Mozart la Marche Turque Chopin Brahms Jim Carrey Emmanuel Curtil Ed Harris Georges Claisse Laura Linney Catherine Le Hénan Noah Emmerich Guillaume Orsat Natascha McElhone Juliette Degenne Holland Taylor Brian Delate François Chaix Peter Krause Jérôme Keen Paul Giamatti Michel Mella Philip Baker Hall Harry Shearer Jean Barney Cinéma américain Cinéma science fiction Télé réalité TF1 M6 Endemol Joop van den Ende Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Truman Burbank vit paisiblement. Marié à Meryl, infirmière, il vit dans la ville paradisiaque de Seahaven, remplie de gens sympathiques et de jardins bien entretenus. Et néanmoins Truman a envie de voyage à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une fille, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant, tout semble contraindre Truman à rester dans la ville.
Note de contenu :
The Truman Show est un film qui s'est fait connaître par la critique des émissions de télé réalité contemporaines qu'il réalisait. Cependant, la vision d'un homme aux prises avec un système tout puissant, vivant dans l'ignorance et dans la banalité, n'est pas chose nouvelle et de nombreux rapprochements peuvent être faits. Néanmoins, le film n'est pas une simple redite et pose des questions inédites.
Truman vit dans un monde où tout est organisé par une seule personne (le réalisateur), un monde orwellien proche de 1984 et de son Big Brother. Il s'agit d'un homme a priori tranquille qui doute petit à petit de la réalité, ce qui rapproche The Truman Show du roman de Philip K. Dick Le Temps désarticulé, dont il reprend l'idée de départ. La recherche de la réalité de Truman évoque Matrix, sorti un an plus tard, par le biais de l'allégorie de la caverne, et certains éléments de la série Le Prisonnier. « Truman » est la contraction de true man, qui signifie en anglais « l'homme vrai » ou « l'homme véritable ». Au début du film, certains « figurants » laissent entendre qu'il s'agirait d'une expérience pour voir comment réagirait vraiment un homme lors de situations dignes d'une série télévisée, comme la fausse disparition de son père.
Ce film dénonce la vie de Truman sur le ton de la comédie, plus que sur celui de la science-fiction. Il est enfermé dans un monde où une seule personne contrôle tout (le réalisateur). Celui-ci est placé tout en haut du studio, dans la lune. On peut donc y voir une allégorie de « dieu tout puissant ».
D'un autre côté, le maître de Truman semble aussi être le spectateur et la publicité : le film est parcouru de références relevant du placement de produit. En effet, le spectateur décide par le choix de sa chaîne de l'avenir de l'émission et donc de celui de Truman. Mais la publicité a aussi un rôle très important dans sa vie. Ses proches s'adressent régulièrement à lui en utilisant des slogans publicitaires.
L'omniprésence des caméras et la présence d'acteurs rendent une atmosphère étouffante, proche de Big Brother. Le réalisateur a tous les pouvoirs sur la vie de Truman. Quand Truman décide de quitter sa ville par bateau, il se rend compte qu'il est « enfermé », et que le ciel de l'horizon est en fait une paroi peinte. Il trouve une porte pour sortir du studio immense. Le réalisateur lui parle alors, comme le ferait un dieu, par une voix qui descend du ciel et lui révèle la réalité, puis lui propose de rester pour éviter de subir les difficultés du monde extérieur. Cependant, Truman refuse. Cette partie du film est un éloge de la liberté de pensée et de décision. Ce côté rappelle le livre Le Meilleur des mondes d'Aldous Huxley, avec le même combat entre d'un côté une vie contrôlée, surveillée, mais sans risques, et de l'autre la liberté et ses problèmes inhérents.
Pour terminer, le film semble aussi traiter de l'impossible contrôle total des individus. Sa fuite n'est pas due à une volonté éclairée de découvrir le monde dont il a peur mais au désir fou d'une femme à peine rencontrée. Ce thème se retrouve également dans le roman 1984 où c'est aussi l'amour qui guidera la rébellion de Winston Smith.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303675 19 H.1.04339/1 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le Film Noir / Noël Simsolo
Titre : Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars Type de document : texte imprimé Auteurs : Noël Simsolo (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-402-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort La Dame de Shanghai Règlement de compte Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Le Film Noir : Vrais et faux cauchemars [texte imprimé] / Noël Simsolo (1944-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-402-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Alfred Hitchcock Fritz Lang Raoul Walsh Orson Welles Samuel Fuller John Huston Le grand sommeil Howard Hawks Quand la ville dort La Dame de Shanghai Règlement de compte Laura Otto Preminger l'enquête John Cromwell Gilda Charles Vidor Mark Dixon Détective Les Passagers de la nuit Delmer Daves Humphrey Bogart Robert Montgomery James Cagney Dana Andrews Edward G. Robinson Lauren Bacall Marlene Dietrich Ida Lupino Grace Kelly Gene Tierney Lana Turner Rita Hayworth les icônes cinéma américain film noir Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Noël Simsolo porte un regard novateur sur le film noir. D'abord parce qu'il en propose de nouveaux contours grâce à un retour à ses sources littéraires comme le roman naturaliste français, le feuilleton, le hard boiled américain ; à ses sources cinématographiques aussi, dans bon nombre de films de policiers et voleurs du muet, du côté de l'Allemagne et du mouvement expressionniste, du côté de la France et du réalisme poétique pour ne citer que celles-là. Ensuite, parce qu'il désigne, dans le Hollywood des années 30, les signes avant coureurs du film noir qui se manifestent dans les films de gangsters, dans la présence thématique de la psychanalyse et de la propagande liée à la Seconde guerre mondiale. Mais surtout parce qu'il éclaire le film noir d'une étude approfondie de ses rapports avec la littérature américaine (Raymond Chandler, Dashiell Hammett, James Cain, William Irish), des courants esthétiques et des genres qui le traversent, et du contexte historique, social et politique (peur de l'apocalypse atomique, chasse aux sorcières de la guerre froide). Le cœur du livre est un voyage dans LE CYCLE NOIR américain qui vit son apothéose entre 1944 et 1959 mettant en scène des personnages de gangsters et de policiers à la dérive, pétris de contradictions, aux prises avec un mal être existentiel, des beautés vénéneuses et synonymes de danger. Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Raoul Walsh, Orson Welles, Samuel Fuller, John Huston en sont, entre autres, les maîtres. Le grand sommeil en 1956 de Howard Hawks, Quand la ville dort en 1950 de John Huston, La Dame de Shanghai, 1948, d'Orson Welles, Règlement de compte, 1953, de Fritz Lang, Laura, 1944, d'Otto Preminger, En marge de l'enquête, 1947, de John Cromwell, Gilda, 1946, de Charles Vidor, Mark Dixon Détective, 1950, d'Otto Preminger, Les Passagers de la nuit, 1947, de Delmer Daves en sont les chefs-d'œuvre. Humphrey Bogart, Robert Montgomery, James Cagney, Dana Andrews, Edward G. Robinson en sont les héros. Lauren Bacall, Marlene Dietrich, Ida Lupino, Grace Kelly, Gene Tierney, Lana Turner, Rita Hayworth, les icônes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302386 17 H.1.02784 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible PermalinkL'avant-scène cinéma, 117. Easy rider (de Dennis Hopper) / Collectif
PermalinkPermalinkPermalinkDossier pédagogique de "Sicko" / Erwan Le Nader
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