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Dossier pédagogique de "Che" (2008) / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Che" (2008) Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 24 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:Espagnol
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Che" (2008) [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur ; Anne-Gaëlle Leroux, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., s.d. . - 24 pp.
--- POUR LE COURS D'ESPAGNOL ---
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Che, 1re partie : L'Argentin (Che: Part One) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
Première partie du diptyque Che, il raconte une tranche de vie de Che Guevara qui se termine avec Che, 2e partie : Guerilla. Benicio del Toro qui interprète le rôle de Che Guevara a obtenu le prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Che, 2e partie : Guerilla (Che: Part Two) est un film franco-américano-espagnol de Steven Soderbergh, sorti en 2008.
C'est la deuxième partie du diptyque Che, débuté avec Che, 1re partie : L'Argentin et racontant une tranche de la vie de Che Guevara. Benicio del Toro, qui interprète le rôle principal, a obtenu le Prix d'interprétation masculine lors du 61e festival de Cannes.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : Che: Part One Che 1re partie : L'Argentin Che: Part Two 2e partie : Guerilla Steven Soderbergh Peter Buchman Laia Colet María Clara Notari Antxón Gómez Sabine Daigeler Peter Andrews Pablo Zumárraga Alberto Iglesias Laura Bickford Benicio Del Toro Alvaro Augustin Alvaro Longoria Belén Atienza Frederic W. Brost Gregory Jacobs Estudios Picasso Morena Films Telecinco Laura Bickford Productions Section Eight Wild Bunch Warner Bros IFC Films Pierre-François Pistorio Demian Bichir Jérôme Pauwels Santiago Cabrera Axel Kiener Elvira Minguez Jorge Perugorria Edgar Ramirez Victor Rasuk Armando Riesco Catalina Sandino Moreno Rodrigo Santoro Unax Ugalde Yul Vazquez Julia Ormond Jsu Garcia Joaquim de Almeida Lou Diamond Phillips Matt Damon Gastón Pauls Cinéma américain Fidel Castro Cuba Fulgencio Batista Raúl Castro Cinéma français Cinéma espagnol Ernesto Guevara Che Guevara Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Che, 1re partie : L'Argentin
Cuba, 1952. Un jeune avocat, Fidel Castro, candidat du Parti du Peuple, veut stopper le général Fulgencio Batista qui prépare un putsch. Mais l'opération échoue malgré l'aide de jeunes soldats et Castro est condamné à 2 ans de prison. Amnistié, il s'exile à Mexico en 1955. À ce moment, un certain Ernesto Guevara, jeune Argentin idéaliste, débute sa carrière politique au Guatemala. Après un complot militaire soutenu par la CIA, Guevara est obligé de se réfugier lui aussi au Mexique. Il rejoint un groupe de révolutionnaires cubains. Le 13 juillet 1955 dans un petit appartement de Mexico, Raúl Castro le présente à son frère ainé, Fidel.
Che, 2e partie : Guerilla
Suite à la Révolution cubaine, Che Guevara est en pleine gloire. En 1964, il se rend à New York pour s'adresser de manière enflammée aux Nations unies, pour affirmer son combat pour le tiers-monde face à la toute-puissance américaine. Il devient ainsi une figure célèbre de la scène internationale. Mais il disparait soudainement. Personne ne sait où il se trouve. De nombreuses rumeurs de sa mort circulent. Mais il réapparait méconnaissable en Bolivie, où il prépare secrètement la Révolution latino-américaine avec ses camarades cubains et quelques Boliviens. Cette campagne montre toute sa détermination et son abnégation. Elle explique en partie le symbole et le héros populaire qu'est resté au fil du temps le « Che ». L'échec de cette révolution marquera sa mort ...
Note de contenu :
* Le film a été présenté en intégralité, soit 4 h 15, au festival de Cannes le 21 mai 2008.
* Lorsque Benicio Del Toro a obtenu le Prix d'interprétation masculine à Cannes, il a salué la mémoire de Che Guevara et l'a fait applaudir par le public.
* Le film est basé sur le livre Souvenirs de la guerre révolutionnaire de Che Guevara.
* Le directeur de la photographie du film s'appelle Peter Andrews. Il s'agit de Steven Soderbergh, qui a souvent recours à ce pseudonyme dans ses génériques.
* Steven Soderbergh et Benicio Del Toro s'étaient déjà croisés en 2001 dans Traffic, pour lequel ils avaient reçu respectivement les Oscars du meilleur réalisateur et du meilleur acteur dans un second rôle.
* Soderbergh a voulu dès le début du projet tourner le film entièrement avec la lumière naturelle. Il a utilisé pour cela la caméra RED, un tout nouveau prototype de caméra numérique haute performance. Grâce à sa légèreté (4,5 kg), la caméra a pu être très facilement maniée et a offert de grandes libertés à l'équipe. À noter aussi l'utilisation référencé du format Super 16 mm de chez Aäton qui donne la particularité d'avoir un grain plus prononcé et authentique à l'image.
* Dans une scène, un révolutionnaire cubain essaie de détruire un bâtiment au lance-roquettes mais manque à plusieurs reprises sa cible. Le Che prend sa place et détruit le bâtiment d'un coup. À l'origine, il devait manquer sa cible au premier tir, mais la lumière naturelle venait à manquer et l'équipe décida d'abréger cette scène et de détruire le bâtiment en un coup[1].
* Cette première partie est filmée en CinemaScope (soit un ratio de 2,35:1), alors que la 2e partie est tournée en panoramique (1,85:1). Soderbergh explique ce choix car il voulait que la première partie montre une grande victoire, plus épique, avec une image plus large, alors qu'il souhaitait que la deuxième partie ait un aspect plus documentaire, moins raffiné, etc ...
Matt Damon apparaît brièvement dans la deuxième partie. Il tient le rôle M. Schwartz, un prêtre allemand représentant les intérêts américains en Bolivie. Matt Damon est déjà apparu dans d'autres films du réalisateur : Ocean's Eleven (2001), Ocean's Twelve (2004), Ocean's Thirteen (2007), The Informant (2009).
Le passage du Che au Congo est absent dans la chronologie du film biographique. En effet, le budget était déjà très limité pour la production des deux films et ne permettait pas de traiter la révolution que Guevara a tenté de mener au Congo belge, avant d'aller en Bolivie. Steven Soderbergh a cependant déclaré qu'en cas de succès du diptyque (« au moins 100 millions de dollars de recettes »), il pourrait réaliser un troisième volet ...
Le film a été tourné en Espagne et en Bolivie.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303692 19 H.1.04339/22 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" / Stéphane Gödicke
Titre : Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Gödicke, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Ocean Films Importance : 13 pp. Note générale : --- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Das Leben der Anderen" [texte imprimé] / Stéphane Gödicke, Auteur . - Zérodeconduite.net : Ocean Films, s.d. . - 13 pp.
--- POUR LE COURS D'ALLEMAND ---
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand, sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Langues : Français (fre) Allemand (ger)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:AllemandMots-clés : La vie des autres Das Leben der Anderen Florian Henckel von Donnersmarck Max Wiedemann Quirin Berg Gabriel Yared Stéphane Moucha Ernst Ludwig Petrowsky Angelika Mann Frank Schöbel Hansi Biebl 4PS Pankow Bayon Karat Silly Hagen Bogdanski Patricia Rommel Martina Gedeck Frédérique Tirmont Ulrich Mühe Dominique Guillo Sebastian Koch Bernard Gabay Ulrich Tukur Bernard Lanneau Thomas Thieme Bernard-Pierre Donnadieu Hans-Uwe Bauer Gabriel Le Doze Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler (matricule HGW XX/7), capitaine de la Stasi, se voit confier la surveillance du dramaturge Georg Dreyman, sans se douter qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf qui, amoureux de son amie, l'actrice Christa-Maria Sieland, souhaite faire disparaître l'écrivain qui vit avec elle. Le lieutenant-colonel Grubitz espère, quant à lui, tirer de cette mission un bénéfice pour sa carrière.
Petit à petit, Wiesler s'éloigne de sa mission et n'intervient pas lorsque Dreyman, suite au suicide de son ami Jerska, un metteur en scène dont la carrière avait été détruite, écrit un article pour le magazine Der Spiegel sur le taux de suicide anormalement élevé en RDA et occulté par le régime. Dreyman, bien qu'ayant sa propre machine à écrire, utilise une machine à écrire qui lui a été fournie par le magazine ouest-allemand afin de se prémunir de toute tentative d'analyse des caractères. Dès lors, Wiesler protège plus clairement Dreyman en rédigeant des rapports incomplets ou falsifiés, ou, en activant la sonnette de l'appartement de Dreyman, lui fait prendre conscience que sa compagne fréquente le ministre.
Lorsque Christa-Maria est finalement interrogée dans les locaux de la Stasi, elle dénonce son ami et, sous la menace, s'engage comme « collaboratrice officieuse ». Il s'ensuit des événements dramatiques : Grubitz lance l'assaut policier dans le but de fouiller l'appartement de Dreyman, et Sieland, horrifiée d'avoir participé à cette opération par son rôle d'informateur et persuadée que son compagnon va être arrêté, se suicide. Cependant, la machine à écrire du Spiegel a été retirée de sa cachette par Wiesler, au grand dam de Grubitz et au grand étonnement de Dreyman. Avant qu'elle meure, Wiesler a juste le temps de dire à Christa-Maria « j'ai pu me… », en parlant de la machine qui avait disparu. Avec pour preuve la tache rouge sur le dernier rapport, le supérieur de Wiesler est persuadé que ce dernier a protégé Dreyman. Wiesler est alors rétrogradé au service de contrôle du courrier (section M).
Plusieurs années plus tard, après la chute du Mur et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute (contrairement à ce qu'il croyait). Il se rend donc aux archives de la Stasi et lit le très épais dossier le concernant. Cependant, il remarque les falsifications apportées par celui qui le surveillait et que le dernier rapport de HGW XX/7 comporte une empreinte à l'encre rouge, la même que la machine du Spiegel. Il comprend alors que cet agent l'a en fait protégé de l'agence qu'il servait.
Dans la dernière scène du film, Dreyman a publié un livre, intitulé La Sonate des bonnes personnes (Sonate vom Guten Menschen, littéralement La Sonate de l'homme bon), et dédicacé au nom de code de Wiesler : HGW XX/7, pour le remercier de sa protection. Wiesler, voyant une affiche publicitaire de cet auteur qu'il connait très bien, entre dans une librairie et constate que le livre lui est dédicacé. Il l'achète, et à la question du libraire qui demande s'il faut faire un paquet-cadeau, Wiesler répond : « Non, c'est pour moi ».
Note de contenu :
Il s'agit là d'une fiction sur un couple d'artistes est-allemands en 1984 (lui auteur de pièces à succès et elle actrice de théâtre renommée). Le réalisme historique a été particulièrement recherché par le réalisateur, qui a rencontré des anciens membres de la Stasi, l'ancienne police chargée de la sécurité d'État au temps de la RDA, ainsi que des victimes de cette police, s'est documenté pendant quatre ans et a fait appel à ses propres souvenirs d'enfance, quand il passait la frontière entre les deux Allemagnes avec ses parents. La description du régime communiste traite des atteintes aux droits de l'homme et de l'intelligentsia favorable au système soviétique. Sur le plan politique, le film montre les dérives de la pensée marxiste et de la doctrine socialiste, telles qu'appliquées en Europe de l'Est. Malgré ce contexte très présent, Florian Henckel von Donnersmarck précise qu'il n'a pas fait un film historique : « Mon but, dit-il, était de raconter une histoire sur des personnes réelles, mais en sublimant cette réalité et en adoptant un point de vue émotionnel ». Le matériel utilisé pour espionner l'appartement du comédien est exactement le même que celui utilisé par la Stasi. Ulrich Mühe (Gerd Wiesler) tient dans ce film le rôle du subordonné tiraillé entre sa vision idéaliste de la RDA et la découverte progressive de la réalité tandis que Ulrich Tukur (Anton Grubitz) tient celui du supérieur cynique et carriériste, conscient de la réalité du système mais s'en servant à son profit. Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble des rôles similaires dans Amen quatre ans auparavant, mais c'est Mühe qui était le supérieur de Tukur.
Le tournage s'est déroulé sur 37 jours, du 26 octobre au 17 décembre 2004. Le film a été tourné presque exclusivement à Berlin. L'appartement de Georg Dreyman se trouve dans la Marchlewskistraße à Friedrichshain. Certaines scènes ont été tournées à la Frankfurter Tor et dans la Karl-Marx Allee. Un lieu important est celui du bâtiment qui hébergeait les bureaux de la Stasi dans la Normannenstraße à Lichtenberg. Hubertus Knaabe, directeur du mémorial à l'ancienne prison de la Stasi à Berlin affirme qu'on ne connaît aucun cas d'officier ayant protégé ceux qu'il avait à observer. « Ce film donne l'impression que des officiers de la Stasi ont tenté d'aider leurs victimes ou leurs détenus. Cela n'est jamais arrivé et cela n'aurait pas pu arriver, car la surveillance était intense et les cas de trahison passibles de peine de mort ». Pour cette raison, il n'a pas permis d'utiliser la prison originale pour le film.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303680 19 H.1.04339/7 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Le péplum, un mauvais genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Aziza, Auteur Editeur : Paris : Klincksieck Année de publication : impr. Collection : 50 questions, ISSN 1764-4526 num. 50 Importance : 187 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-252-03738-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Péplums Histoire et critique Antiquité Red Park Mark Forrest Brad Harris Gordon Mitchell Kirk Morris Steve Reeves Riccardo Freda Sergio Corbucci cinéma italien Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le péplum est un cinéma de mauvais genre. Il raconte des histoires qui se déroulent en des temps mythiques ou lointains. Il chante les exploits de héros bodybuildés et d'héroïnes chastement dévêtues. Genre populaire et familial, il est obligé de tortiller de la caméra pour raconter les amours bibliques, les orgies romaines, les empereurs fous et les impératrices lubriques - sans choquer personne mais quand même.
Et pourtant, souvent faits avec trois francs six sous, tournés à la va-vite dans des décors de carton-pâte, troussant la muse de l'Histoire pour en montrer les dessous affriolants, ces films révèlent une autre Antiquité, sortie des manuels poussiéreux. Une Antiquité en technicolor et en relief, une Antiquité doublement vivante : à la fois parce qu'elle illustre nos fantasmes et parce qu'en voulant raconter le passé, elle nous parle en fait du présent.Niveau : secondaire supérieur et + Le péplum, un mauvais genre [texte imprimé] / Claude Aziza, Auteur . - Paris : Klincksieck, impr. . - 187 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (50 questions, ISSN 1764-4526; 50) .
ISBN : 978-2-252-03738-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Péplums Histoire et critique Antiquité Red Park Mark Forrest Brad Harris Gordon Mitchell Kirk Morris Steve Reeves Riccardo Freda Sergio Corbucci cinéma italien Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le péplum est un cinéma de mauvais genre. Il raconte des histoires qui se déroulent en des temps mythiques ou lointains. Il chante les exploits de héros bodybuildés et d'héroïnes chastement dévêtues. Genre populaire et familial, il est obligé de tortiller de la caméra pour raconter les amours bibliques, les orgies romaines, les empereurs fous et les impératrices lubriques - sans choquer personne mais quand même.
Et pourtant, souvent faits avec trois francs six sous, tournés à la va-vite dans des décors de carton-pâte, troussant la muse de l'Histoire pour en montrer les dessous affriolants, ces films révèlent une autre Antiquité, sortie des manuels poussiéreux. Une Antiquité en technicolor et en relief, une Antiquité doublement vivante : à la fois parce qu'elle illustre nos fantasmes et parce qu'en voulant raconter le passé, elle nous parle en fait du présent.Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301611 17 H.1.04171 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301611URL
[n° ou bulletin]
Titre : 637 - Mars 2014 - Dossier Berlin au cinéma Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Her de Spike Jonze (dont entretien avec le réalisateur) Niels Arestrup Frederick Wiseman (cours magistral et entretien avec le réalisateur) Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Berlin et le cinéma
90 Walter Ruttmann : Berlin, symphonie d’une grande ville, Philippe-Alain Michaud
92 Allemagne année zéro : Des ruines ou un tas de pierres, Vincent Amiel
94 Rendez-vous avec l’histoire : “Ich bin ein Berliner”, Michael Henry
98 Ça commence à Vienne… Berlin d’après guerre chez les cinéastes britanniques, Christian Viviani
100 R.W. Fassbinder : Berlin Alexanderplatz, géographie de la douleur, Yannick Lemarié
104 Berlin 1986, le ciel et le monde, Michel Chion
106 Retombées fictionnelles de la chute du Mur, Pierre Eisenreich
109 Entretien avec Volker Schlöndorff : Vouloir continuer à accueillir de grands films, Michel Ciment et Pierre Eisenreich[n° ou bulletin] 637 - Mars 2014 - Dossier Berlin au cinéma [texte imprimé] . - 2014.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Her de Spike Jonze (dont entretien avec le réalisateur) Niels Arestrup Frederick Wiseman (cours magistral et entretien avec le réalisateur) Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Berlin et le cinéma
90 Walter Ruttmann : Berlin, symphonie d’une grande ville, Philippe-Alain Michaud
92 Allemagne année zéro : Des ruines ou un tas de pierres, Vincent Amiel
94 Rendez-vous avec l’histoire : “Ich bin ein Berliner”, Michael Henry
98 Ça commence à Vienne… Berlin d’après guerre chez les cinéastes britanniques, Christian Viviani
100 R.W. Fassbinder : Berlin Alexanderplatz, géographie de la douleur, Yannick Lemarié
104 Berlin 1986, le ciel et le monde, Michel Chion
106 Retombées fictionnelles de la chute du Mur, Pierre Eisenreich
109 Entretien avec Volker Schlöndorff : Vouloir continuer à accueillir de grands films, Michel Ciment et Pierre EisenreichExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400772 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400772.jpegImage Jpeg Dossier pédagogique de "L'expérience" / Christine Courme-Thubert
Titre : Dossier pédagogique de "L'expérience" Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Courme-Thubert, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : 2009 Importance : 11 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "L'expérience" [texte imprimé] / Christine Courme-Thubert, Auteur . - Zérodeconduite.net, 2009 . - 11 pp.
--- POUR LE COURS DE PHILOSOPHIE ---
L'Expérience (Das Experiment) est un film allemand réalisé par Oliver Hirschbiegel sorti en 2001. Ce film s'inspire du livre The Experiment - Black Box de Mario Giordano paru en 1999, lui-même s'appuyant sur l'expérience de Stanford menée par le professeur Philip Zimbardo en 1971.
En 2007, Philip Zimbardo, a sorti le livre The Lucifer Effect retraçant son expérience.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Morale/Philosophie/ReligionMots-clés : Moritz Bleibtreu Renaud Marx Antoine Durand Christian Berkel François L'Écuyer Olivier Stokowski Gérard Surugue Hubert Gagnon Wotan Wilke Möhring Thierry Ragueneau François Godin Justus von Dohnanyi Pierre-François Pistorio Denis Roy Timo Dierkes David Kruger Alain Zouvi Andrea Sawatzki Frédérique Tirmont Claudine Chatel Edgar Selge Yves Beneyton Sylvain Hétu Maren Eggert Marine Jolivet Nicki von Tempelhoff Constantin Pappas Antoine Monot Jr. Daniel Lafourcade Lars Gärtner Pierre Tessier Philipp Hochmair Fabien Briche Christiane Gerboth Laure Sabardin Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans le cadre d'une étude comportementale, vingt hommes sont sélectionnés pour une expérience. Huit d'entre eux acquièrent la fonction de gardiens de prison et douze celle de prisonniers. Les prisonniers se voient attribuer des numéros qui remplacent leur nom durant l'expérience. Personne ne peut, dans la prison, appeler un prisonnier par son nom, les prisonniers doivent se parler avec leur numéro. Pendant deux semaines, les expérimentateurs étudient les comportements à l'aide de caméras de sécurité.
En quelques heures, les « gardiens » se mettent à prendre leur rôle trop au sérieux, en particulier Berus (Justus von Dohnanyi), devenant sadiques, et les prisonniers se sentent pris au piège. L'un d'entre eux est un peu rebelle. Son nom est Tarek Fahd (Moritz Bleibtreu) et il a une raison pour agir comme il le fait : il doit effectuer un reportage pour un grand journal. Un autre est colonel dans l'armée de l'air (Christian Berkel), un homme calme et froid qui essaie d'observer ce qui se passe.
Même si la violence est prohibée dans cette prison fictive, les gardiens ne tardent pas à soumettre les prisonniers, plus particulièrement « 77 », Tarek Fahd, le fauteur de troubles, toujours en conflit avec Berus.
Dès la deuxième journée, l'expérience échappe totalement aux expérimentateurs par la révolte des prisonniers et la répression brutale des gardiens, menés par Berus.
Un gardien est même passé à tabac et emprisonné par ses collègues après avoir voulu aider Tarek à communiquer avec l'extérieur.
L'Expérience dérape totalement lors du départ du docteur Thon par l'emprisonnement des assistants et le cloisonnement total des gardiens.
Note de contenu :
Récompenses :
* 2001 : prix du meilleur réalisateur à Montréal
* 2001 : prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario et de la meilleure photographie à Munich
* 2002 : prix du meilleur scénario à Porto
* 2002 : prix du meilleur acteur (...Moritz Bleibtreu) à Seattle
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 102898 19 H.1.04339/3 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
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