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Titre : Hollywood Pentagone : 1946-2004 Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Maurice Ronai, Scénariste ; Emilio Pacull, Metteur en scène, réalisateur Editeur : [Paris] : Éd. Montparnasse éd. Année de publication : 2008 Importance : 1 DVD vidéo monoface double couche zone 2 (2 h 25 min) Présentation : n. et b. coul. (PAL), son., stéréo Note générale : Contient des images d'archives Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Education aux médias
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Cinéma et propagande Guerre mondiale (1939-1945) Guerre Aspect social Secours aux victimes de guerre États-Unis Forces armées 20e siècle 1933-1945 ARMÉE HISTOIRE DU CINÉMA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE GUERRE CENSURE CONFLIT INTERNATIONAL DÉFENSE NATIONALE DROIT D’EXPRESSION PROPAGANDE U.S.A. ART CINÉMA AIDE AUX ARTISTES HOLLYWOOD MÉTIER DU CINÉMA STONE OLIVER GUERRE DU VIETNAM STUDIO DE CINÉMA Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Opération Hollywood (1 h 30 min)
La longue collaboration entre Hollywood et le Pentagone a permis aux studios américains de produire des films aux budgets gigantesques et à l’efficacité redoutable... Retour sur une association fructueuse : connivence, échanges de bons procédés, propagande insidieuse voire censure : ce film retrace les soubresauts d’une coopération fort complexe. Illustré de nombreux extraits de films (Patton, Pearl Harbor, Top Gun, Apocalypse Now, etc.) et de témoignages de cinéastes, de militaires et de journalistes, Opération Hollywood radiographie plus de soixante ans de cinéma de guerre américain et y décrypte l’influence du Pentagone.
Let there be light (55 min)
Bouleversant témoignage sur les horreurs de la guerre, Let There Be Light fut réalisé en 1946 par John Huston alors qu'il avait rejoint le Centre Cinématographique de l’Armée Américaine. Dénonçant violemment les séquelles psychologiques subies par les soldats rescapés, il sera censuré jusqu'en 1980. Présenté à Cannes en 1981 dans la sélection Un certain regard, il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs films jamais réalisés sur les conséquences psychologiques de la guerre.Genre : Documentaire, cinéma militant Hollywood Pentagone : 1946-2004 [document projeté ou vidéo] / Maurice Ronai, Scénariste ; Emilio Pacull, Metteur en scène, réalisateur . - [Paris] : Éd. Montparnasse éd., 2008 . - 1 DVD vidéo monoface double couche zone 2 (2 h 25 min) : n. et b. coul. (PAL), son., stéréo.
Contient des images d'archives
Langues : Français (fre)
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Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerres
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Cinéma et propagande Guerre mondiale (1939-1945) Guerre Aspect social Secours aux victimes de guerre États-Unis Forces armées 20e siècle 1933-1945 ARMÉE HISTOIRE DU CINÉMA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE GUERRE CENSURE CONFLIT INTERNATIONAL DÉFENSE NATIONALE DROIT D’EXPRESSION PROPAGANDE U.S.A. ART CINÉMA AIDE AUX ARTISTES HOLLYWOOD MÉTIER DU CINÉMA STONE OLIVER GUERRE DU VIETNAM STUDIO DE CINÉMA Index. décimale : 121 Education aux médias Résumé : Opération Hollywood (1 h 30 min)
La longue collaboration entre Hollywood et le Pentagone a permis aux studios américains de produire des films aux budgets gigantesques et à l’efficacité redoutable... Retour sur une association fructueuse : connivence, échanges de bons procédés, propagande insidieuse voire censure : ce film retrace les soubresauts d’une coopération fort complexe. Illustré de nombreux extraits de films (Patton, Pearl Harbor, Top Gun, Apocalypse Now, etc.) et de témoignages de cinéastes, de militaires et de journalistes, Opération Hollywood radiographie plus de soixante ans de cinéma de guerre américain et y décrypte l’influence du Pentagone.
Let there be light (55 min)
Bouleversant témoignage sur les horreurs de la guerre, Let There Be Light fut réalisé en 1946 par John Huston alors qu'il avait rejoint le Centre Cinématographique de l’Armée Américaine. Dénonçant violemment les séquelles psychologiques subies par les soldats rescapés, il sera censuré jusqu'en 1980. Présenté à Cannes en 1981 dans la sélection Un certain regard, il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs films jamais réalisés sur les conséquences psychologiques de la guerre.Genre : Documentaire, cinéma militant Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101689 121 N.1.0908 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
101689URL La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma / Michel Viotte
Titre : La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Viotte, Auteur Editeur : [Paris] : La Martinière Année de publication : 2013 Importance : 231 p. Présentation : ill. en coul. Format : 240 x 285 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7324-6089-5 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : guerre idéologie propagande studio stars histoire du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Répondant à l’appel du président Roosevelt, les studios d’Hollywood se mettent au service de l’effort de guerre. Des milliers de films sont produits. Tous servent un objectif précis : motiver l’engagement de nouvelles recrues, aider à la formation des troupes ou à l’organisation du front intérieur, dénoncer l’idéologie nazie… Les plus grandes stars masculines du moment endossent l’uniforme : Clark Gable, James Stewart ou Tyrone Power participent au combat tandis que Marlene Dietrich, Bette Davis ou Rita Hayworth se mobilisent pour collecter des fonds ou pour divertir les troupes.
En plus de 400 documents exceptionnels, cet album, qui accompagne le documentaire de Michel Viotte diffusé sur F3 puis F5, retrace cette aventure hors du commun.Pays : France Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire La guerre d'Hollywood : 1939 - 1945, propagande, patriotisme et cinéma [texte imprimé] / Michel Viotte, Auteur . - [Paris] : La Martinière, 2013 . - 231 p. : ill. en coul. ; 240 x 285.
ISBN : 978-2-7324-6089-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : guerre idéologie propagande studio stars histoire du cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Répondant à l’appel du président Roosevelt, les studios d’Hollywood se mettent au service de l’effort de guerre. Des milliers de films sont produits. Tous servent un objectif précis : motiver l’engagement de nouvelles recrues, aider à la formation des troupes ou à l’organisation du front intérieur, dénoncer l’idéologie nazie… Les plus grandes stars masculines du moment endossent l’uniforme : Clark Gable, James Stewart ou Tyrone Power participent au combat tandis que Marlene Dietrich, Bette Davis ou Rita Hayworth se mobilisent pour collecter des fonds ou pour divertir les troupes.
En plus de 400 documents exceptionnels, cet album, qui accompagne le documentaire de Michel Viotte diffusé sur F3 puis F5, retrace cette aventure hors du commun.Pays : France Niveau : Enseignement secondaire, supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401269 17 H.1.5171 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
Titre : Dossier pédagogique de "Indigènes" Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Marcon, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Agence Cinéma Education Importance : 20 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Indigènes" [texte imprimé] / Valérie Marcon, Auteur . - Zérodeconduite.net : Agence Cinéma Education, s.d. . - 20 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303684 19 H.1.04339/13 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" / Francis Larran
Titre : Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Larran, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Autre Editeur : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib. Importance : 10 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
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Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Lettres d'Iwo Jima" [texte imprimé] / Francis Larran, Auteur . - Zérodeconduite.net : [Neuilly-sur-Seine] : Warner Bros France éd., distrib., [s.d.] . - 10 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Lettres d'Iwo Jima (titre original japonais : jima kara no tegami - titre américain : Letters from Iwo Jima, précédemment Red Sun, Black Sand) est un film de guerre réalisé par Clint Eastwood et sorti au Japon le 9 décembre 2006. Il relate la bataille d'Iwo Jima du point de vue japonais. Ce film a eu une sortie limitée aux États-Unis le 20 décembre et est sorti le 21 février 2007 en France. Basé sur le livre Picture Letters from Commander in Chief du général Tadamichi Kuribayashi, joué à l'écran par Ken Watanabe, Lettres d'Iwo Jima vient en complément de "Mémoires de nos pères", également réalisé par Clint Eastwood.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours)
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Lettres d'Iwo Jima jima kara no tegami Clint Eastwood Iris Yamashita Paul Haggis Picture Letters from Commander in Chief Tadamichi Kuribayashi Kiko Ireton Taishiro Noizumi Tom Minder Quay Terry Kyle Eastwood Michael Stevens Lennie Niehaus Henry Bumstead James J. Murakami Gary Fettis Michael Muscarella Deborah Hopper Tania McComas Carol A. O'Connell Tom Stern Charles Maynes Steven Riley Michael Owens Digital Domain Buddy Van Horn Joel Cox Gary D. Roach Avid Alan Robert Murray Bub Asman Don Harris Dave Arnold Warner Bros Pictures Dreamworks Pictures Malpaso Amblin Entertainment Steven Spielberg Robert Lorenz Tim Moore Ken Watanabe Kazunari Ninomiya Tsuyoshi Ihara Ryo Kase Shidou Nakamura Cinéma américain Cinéma japonais Guerre Iwo Jima Seconde Guerre mondial Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
« Les corps de 12 000 soldats japonais non identifiés reposent encore à Iwo Jima. Je pense qu'ils méritent un certain respect, au même titre que les soldats américains » Clint Eastwood.
Le film suit l'histoire de deux bons amis servant du côté japonais lors de la bataille d'Iwo Jima, durant la Seconde Guerre mondiale. La bataille est ainsi dépeinte du côté japonais, quand le film Mémoires de nos pères présente la même bataille vue du côté américain. L'ouverture du film passée, montrant de nos jours des archéologues japonais effectuant des fouilles dans les cavernes, la transition s'effectue sur l'arrivée en 1945 du nouveau général chargé de la défense de l'île en prévision de son invasion prochaine, l'US Navy concentrant ses forces à Saipan (îles Mariannes). Lorsqu'il atterrit, les soldats sont en train de creuser des tranchées dans le sable volcanique le long des plages de l'île, improbables refuges face à la puissance de feu adverse sur le point de se déchaîner. Le lieutenant général Kuribayashi n'apprend que tardivement, de la bouche du baron Nishi, la ruine de la flotte impériale japonaise à la bataille du golfe de Leyte, ce que le Mikado a soigneusement évité d'ébruiter en cherchant à minimiser le défaitisme parmi les rangs : les deux hommes perçoivent alors, que tous les moyens de contre-attaque sont anéantis, et que la défense de l'île appelle au sacrifice de tous.
Évaluant les possibilités de défense, Kuribayashi se trouve confronté à des officiers obtus qui parfois refusent ses ordres ou ne les comprennent pas : alors qu'il prône une défense des reliefs de l'île, ils préparent des tranchées sur les plages dans l'espoir de contenir le débarquement dès les premières heures. Ce n'est que lorsque la métropole demande le rapatriement des avions pour la défense ultérieure de la métropole que les officiers prennent conscience de la lutte à mort qui s'annonce, et de la vanité des préparatifs qu'ils ont engagés.
Ces impressions se confirment lors de l'arrivée des navires, les Japonais estimant l'effectif des troupes débarquées à 20 000 alors que les États-Unis ont concentré sur cette opération les plus importantes forces des campagnes du Pacifique (100 000 Marines embarqués sur 880 navires).
Note de contenu :
Alors que le film symétrique Mémoires de nos pères était formé d'allers-retours incessants des combats sur l'île aux vies des soldats en Amérique après la guerre, Lettres d'Iwo Jima utilise une structure linéaire ; les seuls moments qui rompent cette linéarité sont les réminiscences des soldats, montrées par des séquences qui évoquent la façon dont ils ressentent le conflit contre les Américains. Le tout s'appuie sur une musique de piano.
Outre leur structure, les deux films de Clint Eastwood sur Iwo Jima se distinguent par le message qu'ils font passer.
* le premier montrait l'avènement d'une stratégie de propagande « en cours de constitution » basée sur l'exploitation par le politique de la photo des marines hissant le drapeau sur le mont Suribachi. Le contraste consistait pour Eastwood à faire apparaître le désarroi vécu par les protagonistes, provenant du décalage entre l'épreuve du feu lors de la prise de l'île et les témoignages de bravoure qui leur sont demandés au pays afin de susciter une levée de fonds par souscription populaire pour financer la guerre.
* le second montre, chez les individus japonais civils comme militaires, l'effet qu'a produit une propagande « déjà installée » et orchestrée par l'État sur plusieurs années, basée sur le nationalisme, l'exaltation impériale et le sentiment de supériorité. Ces éléments réductibles au gimmick « la victoire ou la mort » prennent un sens prégnant à la veille de l'arrivée des envahisseurs sur le sol national, sens tout à fait précis dans le contexte culturel japonais : il appelle au sacrifice personnel par seppuku ou tout autre moyen pour éviter la honte de n'avoir su défendre sa position. Cette fois, sur le plan individuel des protagonistes, le conflit est aussi intérieur puisqu'ils doivent se situer par rapport à ce poids collectif sollicitant leur suicide ou une charge à l'ennemi droit sur une mort certaine ; peu surmontent la honte de la reddition afin de tenter de survivre à ces instants critiques.
La mise en scène de deux films donnant les perspectives adverses sur le plan subjectif est sans précédent parmi les productions hollywoodiennes ; la critique a d'ailleurs encensé la démarche en avançant qu'Eastwood avait réalisé le film sur l'Histoire du Japon que le cinéma japonais n'avait jamais osé faire. Le point de jonction des deux films a bien sûr lieu au moment de tension lors de la scène clé du débarquement, lorsqu'au bout des jumelles du général Kuribayashi retranché, c'est l'autre film qui se déroule.
Le développement des deux personnages, le général Kuribayashi et le baron Nishi, par le biais de leurs histoires antérieures, illustre la vanité de cette situation de guerre qui va les voir périr. Tous deux ont eu des liens étroits avec les États-Unis : l'un lors des rapprochements des deux états-majors de part et d'autre du Pacifique dans les années trente, l'autre à l'occasion de sa participation aux J.O. de Los Angeles de 1932, et le souvenir de son cheval de concours hippique, Uranus. Sans renier leur engagement envers l'Empire, ils ne trouvent aucun objectif à cette opposition à leurs amis d'hier.
* L'avion qui amène le général Kuribayashi, censé être un modèle japonais, est un avion américain (un Lockheed L-12 Electra).
* La musique a été composée par Kyle Eastwood, le fils du réalisateur.
* Une comparaison plus judicieuse aurait pu être faite de ce film, comparé à "Sands of Iwo Jima" avec John Wayne. C'est là qu'on voit l'évolution des mentalités, d'une propagande à l'autre. Le tendre combattant japonais du film de Eastwood finit par ressembler aux soldats américains du film de 1950 John Wayne et John Agar. Le méchant, c'est toujours celui d'en face. Mais là, en l’occurrence, ce n'est pas un film japonais qui nous est montré.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303694 19 H.1.04339/25 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Naissance d'une nation Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : David W. Griffith, Metteur en scène, réalisateur Editeur : L'odyssée du ciné Année de publication : 1915 Importance : 157 minutes Présentation : Noir et blanc Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : GUERRE RACISME GUERRE CIVILE USA GUERRE SéCESSION Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Deux familles sudistes sont éprouvées par la guerre de Sécession et le retour de la paix ne calme pas les esprits. Lincoln est assassiné, des troubles naissent des politiciens véreux et des Noirs livrés à eux-mêmes. Une situation qui va donner naissance au Ku Klux Klan, justicier et vengeur. Un des plus grands films de l'histoire du cinéma muet, critiqué par certains à cause de son racisme. Il n'en reste pas moins superbe et a influencé nombre de cinéastes tant par l'esprit que par les incalculables innovations techniques qu'il recèle. Genre : Drame historique Pays : Etats-Unis Niveau : secondaire supérieur et + Naissance d'une nation [document projeté ou vidéo] / David W. Griffith, Metteur en scène, réalisateur . - L'odyssée du ciné, 1915 . - 157 minutes : Noir et blanc.
Langues : Anglais (eng) Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Autres guerresMots-clés : GUERRE RACISME GUERRE CIVILE USA GUERRE SéCESSION Index. décimale : 92.1 Fiction Résumé : Deux familles sudistes sont éprouvées par la guerre de Sécession et le retour de la paix ne calme pas les esprits. Lincoln est assassiné, des troubles naissent des politiciens véreux et des Noirs livrés à eux-mêmes. Une situation qui va donner naissance au Ku Klux Klan, justicier et vengeur. Un des plus grands films de l'histoire du cinéma muet, critiqué par certains à cause de son racisme. Il n'en reste pas moins superbe et a influencé nombre de cinéastes tant par l'esprit que par les incalculables innovations techniques qu'il recèle. Genre : Drame historique Pays : Etats-Unis Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100972 92.1 N.1.0105 DVD Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
100972URL PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkDossier pédagogique de "Valse avec Bachir" (2008) / Anne Marquez
PermalinkPermalinkDias de Santiago / Josué Mendez
PermalinkPermalinkDVD 1. L'homme qui répare les femmes : la colère d'Hippocrate / Thierry Michel
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa leçon de lecture / Johan van der Keuken
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