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L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) / Collectif
Titre de série : L'avant-scène cinéma, 79 Titre : A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : L'avant-scène cinéma Année de publication : 1968 Note générale :
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
L'avant-scène cinéma, 79. A bout de souffle (de Jean-Luc Godard) [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - L'avant-scène cinéma, 1968.
À bout de souffle est un film français, emblématique de la Nouvelle Vague, réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1960.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : À bout de souffle Jean-Luc Godard François Truffaut Martial Solal Raoul Coutard Claude Beausoleil Jacques Maumont Pierre Rissient Suzanne Faye Cécile Decugis Gaston Dona Claude Chabrol Phuong Maittret Raymond Cauchetier Clément Hurel Georges de Beauregard SNC Société nouvelle de cinématographie Imperia Films Les Productions Georges de Beauregard ean-Paul Belmondo Jean Seberg Daniel Boulanger Michel Fabre Henri-Jacques Huet Antoine Flachot Jean-Pierre Melville Roger Hanin René Bernard André S. Labarthe Jacques Siclier Jean Douchet cinéma français Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Mais en route, lors d'un contrôle, il tue un policier qui le poursuivait.
Arrivé à Paris, il retrouve la jeune étudiante américaine Patricia, avec laquelle il a une liaison amoureuse — on comprend qu'il la connaît depuis peu, et qu'il a passé quelques nuits avec elle avant de descendre sur Marseille. Elle veut étudier à la Sorbonne et, pour se faire un peu d'argent, elle vend le journal Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Tout au long du film, Michel essaiera de la persuader de coucher à nouveau avec lui, et elle lui résistera un certain temps en affirmant qu'il ne l'aime pas vraiment.
Michel veut quitter la France pour l'Italie (plus précisément Rome) où il pense trouver refuge. La police l'a déjà identifié comme étant l'assassin de la N7 et sa photo figure dans tous les journaux. Patricia, tout d'abord, ne dit rien par amour pour Michel.
Celui-ci rencontre des amis délinquants pour récupérer de l'argent. En attendant que l'un d'eux l'aide à encaisser un chèque barré, Michel va se cacher avec Patricia chez l’amie d'un ami dans le quatorzième arrondissement. La veille du départ projeté pour l'Italie, Patricia le dénonce à la police afin de le forcer à la quitter. Mais Michel refuse de prendre la fuite et, abattu par un policier, s'écroule au carrefour de la rue Campagne-Première et du boulevard Raspail, « à bout de souffle ».
Avant d’expirer, allongé sur le bitume, Michel dit à Patricia :
— « C'est vraiment dégueulasse. »
N'ayant pas compris, la jeune femme demande aux policiers :
— « Qu'est-ce qu'il a dit ? »
À quoi on lui répond :
— « Il a dit : vous êtes vraiment une dégueulasse. »
— « Qu'est-ce que c'est dégueulasse ? » demande-t-elle enfin.
# Le tournage a eu lieu du 17 août au 15 septembre 1959 à Marseille et à Paris.
# L'action, contemporaine au tournage, est concentrée sur les premiers jours de septembre 1959, un repère temporel précis étant offert par l'évocation de la visite officielle à Paris du président Eisenhower.
# Raymond Cauchetier, photographe de plateau, raconte le tournage : « Tout d’abord, avec lui, tout était improvisé ou presque. On tournait dans les rues, dans les chambres d’hôtels, avec juste quelques lampes éclairant le plafond, sans prise de son directe. Godard écrivait ses dialogues sur une table de bistrot, soufflait leur texte aux comédiens pendant les prises, et arrêtait le tournage quand il n’avait plus d’idées. Le délire complet pour les tenants du cinéma classique ! Mais la Nouvelle Vague était en train de naître ! J'ai trouvé intéressant d’ajouter aux photos traditionnelles une sorte de reportage autour du film. Lorsqu’il a vu les planches, le producteur s’est montré fort mécontent. Qu'est-ce que c'est que ce travail ? Vous n'êtes pas payé pour faire ça ! Je lui ai expliqué que c'était un travail personnel. Bon, m'a-t-il dit, mais vous paierez vos frais de laboratoire. Les choses en sont restées là. Or il se trouve que ce sont surtout ces photos « hors film » qui ont été finalement choisies pour la promotion du film, et qui continuent d’être publiées un peu partout, quarante ans plus tard. »
Note de contenu :
« Quand j'ai tourné À bout de souffle, je pensais que je faisais quelque chose de très précis. Je réalisais un thriller, un film de gangsters. Quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai compris que j'avais fait tout autre chose. Je croyais que je filmais le Fils de Scarface ou le Retour de Scarface et j'ai compris que j'avais plutôt tourné Alice au pays des merveilles, plus ou moins. »
— Jean-Luc Godard, Table ronde Cinéma / Politique à Los Angeles, en 1968.
Allemagne Festival de Berlin 1960 : Ours d'argent du meilleur réalisateur.
France Prix Méliès 1960.
France Prix Jean Vigo 1960.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302220 19 H.1.01425 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Le cas Simenon / Jean Govaers
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Cinéma 1900 / René Jeanne
Titre : Cinéma 1900 Type de document : texte imprimé Auteurs : René Jeanne, Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 1965 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma muet Georges Méliès Bazar de la Charité Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Le film d'art Charles Pathé Max Linder Léon Gaumont Louis Feuillade Émile Cohl Sarah Berhardt cinéma des premiers temps Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les débuts du cinéma. L'auteur, spécialiste de cet art, en connaît l'histoire à fond et l'expose clairement dans cet ouvrage. Il part de 1895, alors que les frères Lumière faisaient connaître aux Parisiens leurs premiers films : La sortie des usines Lumière, L'arrivée d'un train, L'arrivée d'un train, L'arroseur arrosé. Cela se passait à deux pas de l'Opéra, au "salon indien" du Grand Café : débuts tâtonnants accueillis avec curiosité. Puis c'est l'apparition des premières vedettes : importants sociétaires de la Comédie Française et, surtout, d'un petit acteur de l'Ambigu nommé Max Linder, qui fait rire tout Paris. Encore ne s'agissait-il là que de courte saynètes de l'écran. Il faut lire Cinéma 1900 pour mesurer les progrès accomplis au cours de cette période dite "héroïque" et juger des difficultés en tous genres qu'il avait fallu vaincre et aussi des erreurs qui furent commises, ainsi que de l'importance prise par l'art des images animées dans la vie artistique et sociale du monde. "Le cinéma ? Un nouvel âge de l'Humanité !" dit un peu plus tard un journaliste qui voyait clair, Il suffit pour lui donner raison de lire le livre captivant de René Jeanne où revit toute une époque oubliée sinon inconnue ... Un livre qui se lit comme un roman d'aventures et qui mérite de rester dans les bibliothèques de tous ceux qui aiment connaître le monde dans lequel ils vivent. Cinéma 1900 [texte imprimé] / René Jeanne, Auteur . - Paris : Flammarion, 1965.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma muet Georges Méliès Bazar de la Charité Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Le film d'art Charles Pathé Max Linder Léon Gaumont Louis Feuillade Émile Cohl Sarah Berhardt cinéma des premiers temps Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Les débuts du cinéma. L'auteur, spécialiste de cet art, en connaît l'histoire à fond et l'expose clairement dans cet ouvrage. Il part de 1895, alors que les frères Lumière faisaient connaître aux Parisiens leurs premiers films : La sortie des usines Lumière, L'arrivée d'un train, L'arrivée d'un train, L'arroseur arrosé. Cela se passait à deux pas de l'Opéra, au "salon indien" du Grand Café : débuts tâtonnants accueillis avec curiosité. Puis c'est l'apparition des premières vedettes : importants sociétaires de la Comédie Française et, surtout, d'un petit acteur de l'Ambigu nommé Max Linder, qui fait rire tout Paris. Encore ne s'agissait-il là que de courte saynètes de l'écran. Il faut lire Cinéma 1900 pour mesurer les progrès accomplis au cours de cette période dite "héroïque" et juger des difficultés en tous genres qu'il avait fallu vaincre et aussi des erreurs qui furent commises, ainsi que de l'importance prise par l'art des images animées dans la vie artistique et sociale du monde. "Le cinéma ? Un nouvel âge de l'Humanité !" dit un peu plus tard un journaliste qui voyait clair, Il suffit pour lui donner raison de lire le livre captivant de René Jeanne où revit toute une époque oubliée sinon inconnue ... Un livre qui se lit comme un roman d'aventures et qui mérite de rester dans les bibliothèques de tous ceux qui aiment connaître le monde dans lequel ils vivent. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302353 17 H.1.01162 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Cinématographe, invention du siècle / Emmanuelle Toulet
Titre : Cinématographe, invention du siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Toulet, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1988 Collection : Découvertes Gallimard Sous-collection : Cinéma Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinématographe invention du cinéma Georges Méliès Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Charles Pathé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Animer les images. Le 19ème siècle, le siècle de l'invention, se doit d'accomplir ce vieux rêve. A peine le cinéma est-il là que déjà la couleur, le son, l'écran large surgissent de l'imagination des pionniers. En train, en ballon, sur les épaules d'opérateurs aventureux, les caméras partent explorer le monde. montrer l'évènement, faire voir l'invisible, réaliser l'impossible, l'art de l'illusion et de la modernité ne manque pas d'audace. Le cinéma est inventé, il peut raconter, émouvoir.Cinématographe, invention du siècle [texte imprimé] / Emmanuelle Toulet, Auteur . - , 1988. - (. Cinéma) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinématographe invention du cinéma Georges Méliès Frères Lumière Louis Lumière Auguste Lumière Charles Pathé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Animer les images. Le 19ème siècle, le siècle de l'invention, se doit d'accomplir ce vieux rêve. A peine le cinéma est-il là que déjà la couleur, le son, l'écran large surgissent de l'imagination des pionniers. En train, en ballon, sur les épaules d'opérateurs aventureux, les caméras partent explorer le monde. montrer l'évènement, faire voir l'invisible, réaliser l'impossible, l'art de l'illusion et de la modernité ne manque pas d'audace. Le cinéma est inventé, il peut raconter, émouvoir.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302311 17 H.1.01085 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Cinéma et attraction : Pour une nouvelle histoire du cinématographe Type de document : texte imprimé Auteurs : André Gaudreault (1952-....), Auteur ; Georges Méliès (1861-1938), Auteur ; Jacques Malthête, Éditeur scientifique Editeur : Paris : CNRS Année de publication : 2008 Collection : Cinéma et audiovisuel Importance : 1 vol. (252 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-06547-6 Prix : 25 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma Histoire et critique cinéma des premiers temps bonimenteur cinématographe Georges Méliès cinéma muet Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Revenir au seuil du cinéma, tel est le défi de cet ouvrage.
Au-delà des histoires traditionnelles, André Gaudreault nous montre que les frères Lumière ont inventé, en 1895, un appareil de prise de vues permettant la projection de vues animées, le Cinématographe, mais nullement le cinéma. Le cinéma ne s'" invente " pas, nul brevet à déposer, mais s'institue, progressivement et collectivement. C'est une nouvelle approche que nous propose André Gaudreault dans cet ouvrage documenté.
Il ressuscite un univers occulté avec le bonimenteur ou commentateur de la projection, le complice du " vil exhibiteur " ou gérant de la salle. Il nous découvre ses sources d'inspiration : du théâtre au cirque et à la photographie. L'œuvre de Méliès est ici étudiée dans toute sa richesse et dans toutes les étapes de sa création, en particulier dans son atelier. Un nouveau regard sur le cinéma, une étude indispensable suivie de l'édition critique du fameux texte intitulé " Les vues cinématographiques " de Georges Méliès (1907).Cinéma et attraction : Pour une nouvelle histoire du cinématographe [texte imprimé] / André Gaudreault (1952-....), Auteur ; Georges Méliès (1861-1938), Auteur ; Jacques Malthête, Éditeur scientifique . - Paris : CNRS, 2008 . - 1 vol. (252 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Cinéma et audiovisuel) .
ISBN : 978-2-271-06547-6 : 25 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : Cinéma Histoire et critique cinéma des premiers temps bonimenteur cinématographe Georges Méliès cinéma muet Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Revenir au seuil du cinéma, tel est le défi de cet ouvrage.
Au-delà des histoires traditionnelles, André Gaudreault nous montre que les frères Lumière ont inventé, en 1895, un appareil de prise de vues permettant la projection de vues animées, le Cinématographe, mais nullement le cinéma. Le cinéma ne s'" invente " pas, nul brevet à déposer, mais s'institue, progressivement et collectivement. C'est une nouvelle approche que nous propose André Gaudreault dans cet ouvrage documenté.
Il ressuscite un univers occulté avec le bonimenteur ou commentateur de la projection, le complice du " vil exhibiteur " ou gérant de la salle. Il nous découvre ses sources d'inspiration : du théâtre au cirque et à la photographie. L'œuvre de Méliès est ici étudiée dans toute sa richesse et dans toutes les étapes de sa création, en particulier dans son atelier. Un nouveau regard sur le cinéma, une étude indispensable suivie de l'édition critique du fameux texte intitulé " Les vues cinématographiques " de Georges Méliès (1907).Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300466 17 H.1.03920 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300466URL Dossier pédagogique de "The truman show" / Christine Courme-Thubert
PermalinkValise pédagogique "De l'écrit à l'écran avec Simenon" / Louis Daquin
PermalinkOrson Welles / Paolo Mereghetti
PermalinkPermalink209 - Mai 1976 - Cinéma 209 - Le cinéma fantastique : Sadoul, Bulgarie, Hongrie (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
PermalinkL'avant-scène cinéma, 86. René Clair / Collectif
PermalinkL'avant-scène cinéma, 96. Z (de Costa-Gavras) / Collectif
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