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Dossier pédagogique de "Indigènes" / Valérie Marcon
Titre : Dossier pédagogique de "Indigènes" Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Marcon, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Agence Cinéma Education Importance : 20 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Indigènes" [texte imprimé] / Valérie Marcon, Auteur . - Zérodeconduite.net : Agence Cinéma Education, s.d. . - 20 pp.
--- POUR LE COURS D'HISTOIRE ---
Indigènes est un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb, sorti en 2006.
Distinctions :
* Prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006, attribué collectivement à Sami Bouajila, Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem et Bernard Blancan.
* Étoiles d'or du cinéma français.
* César du meilleur scénario original 2007.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Indigène Tirailleurs algériens 9e régiment de tirailleurs marocains Tirailleurs sénégalais Goumiers Camp de Thiaroye Rachid Bouchareb Armand Amar Khaled Dominique Douret Patrick Blossier Yannick Kergoat Jean Bréhat Geneviève Lemal Alexandre Lippens Jaques-Henri Bronckart Caroline Cochaux Jamel Debbouze Samy Naceri Roschdy Zem Bernard Blancan Sami Bouajila Assaâd Bouab Aurélie Eltvedt Benoît Giros Mathieu Simonet Mélanie Laurent Thibault de Montalembert Diouc Koma Philippe Beglia Momo Debbouze Abdelkim Bouchareb Abdelhamid Idjaini Abdeslam Arbaoui Guerre Seconde Guerre mondiale Cinéma algérien Cinéma belge Cinéma français Cinéma marocain Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
En 1943, après le débarquement des Américains en Algérie et au Maroc, l'Armée de la Libération se constitue depuis les colonies françaises d'Afrique du Nord. Le film raconte la découverte de la guerre et de l'Europe, d'Italie jusqu'aux portes de l'Alsace, par trois tirailleurs algériens et un goumier marocain : Abdelkader, Saïd, Mesaoud et Yassir. La guerre leur apporte la désillusion face aux discriminations mais aussi l'émergence d'une conscience politique et l'espoir.
Note de contenu :
* « Indigène » est le terme utilisé dans les armées coloniales pour désigner les soldats, sous officiers et officiers, originaires des colonies. Ce terme était toujours en usage à la fin de la Seconde Guerre mondiale et désignait donc les soldats issus des colonies françaises qui constituaient une partie des 1 300 000 hommes de l'Armée française de la libération luttant contre les armées des forces de l'Axe (300 000 « indigènes » combattaient pour la libération de la France soit 23 %).
* Le jour de la présentation du film dans les salles obscures en France, le 27 septembre 2006, le gouvernement Dominique de Villepin a annoncé que les 80 000 anciens combattants de l'Empire français encore vivants percevront les mêmes retraites que leurs compagnons d'armes français. Cependant cette « cristallisation des pensions » pose encore des questions. Le paiement des arriérés et des intérêts, sur une période de plus de 40 ans, demeure en suspens. Le versements des pensions bloquées en 1959 par le gouvernement français suite à l'accession à l'indépendance des anciennes colonies est une des revendications du film.
* Le film qui a été en partie tourné à Ouarzazate a été aidé de manière importante par le Maroc qui a mis à disposition du réalisateur ses moyens militaires.
* La véracité historique du film a été critiquée, entre autres, par le général Jean Germain Salvan, par l'historien Daniel Lefeuvre, et l'historien Pascal Blanchard, pourtant conseil historique du film, a bien confirmé que le pourcentage des pertes des Français musulmans était inférieur à celui des Français d'Afrique (Pieds-Noirs) et des Français de métropole. Ces historiens ont déclaré : « Les indigènes n’étaient donc pas de la chair à canons, comme le laisse penser le film ». Le détail des pertes des différents régiments est donné, entre autres, par le général Maurice Faivre, docteur en histoire, historien des armées.
* Une autre histoire est la réalité des comportements de certains détachements de ces troupes, en particulier en Italie.
* La fin du film semble faire fortement référence à Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, avec la bataille du village à délivrer, le protagoniste qui meurt par un obus, et son compagnon d'armes qui s'arrête des décennies plus tard sur sa tombe et se demande s'il n'est pas mort en vain.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303684 19 H.1.04339/13 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Dossier pédagogique de "Le parfum" / Florence Salé
Titre : Dossier pédagogique de "Le parfum" Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Salé, Auteur Editeur : Zérodeconduite.net Année de publication : s.d. Autre Editeur : Metropolitan Films Importance : 19 pp. Note générale :
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Le parfum" [texte imprimé] / Florence Salé, Auteur . - Zérodeconduite.net : Metropolitan Films, s.d. . - 19 pp.
--- POUR LE COURS DE FRANÇAIS ---
Le Parfum, histoire d'un meurtrier (Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders) est un film allemand de Tom Tykwer, sorti en 2006 et adapté du roman de Patrick Süskind, Le Parfum (1985).
Récompenses :
* Bavarian Film Awards, 2007, (Best Production Design) "Uli Hanisch"; Best Director "Tom Tykwer"
* European Film Awards, 2007, (Best Cinematographer) Frank Griebe ; Prix d'Excellence "Uli Hanisch"
* Bambi Awards, 2006 (Film - National)
* Undine Awards, Autriche
Nominations :
* Saturn Award 5 nominations
* European Film Awards, 2007 (Best Composer), (Best Actor)
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : films
Education par les médias:Langues:FrançaisMots-clés : Das Parfum : Die Geschichte eines Mörders Le Parfum histoire d'un meurtrier Tom Tykwer Andrew Birkin et Bernd Eichinger Patrick Süskind Laila Colet Uli Hanisch Pierre-Yves Gayraud Frank Griebe Roland Winke Alexander Berner Reinhold Heil Johnny Klimek Bernd Eichinger Samuel Hadida Constantin Film Produktion VIP 4 Medienfonds Davis-Films Rising Star Nouvelles éditions de films Castelao Producciones Metropolitan Filmexport Ben Whishaw Dustin Hoffman Jean-Jacques Moreau Alan Rickman Michel Papineschi Rachel Hurd-Wood Ingrid Donnadieu Karoline Herfurth Sian Thomas Sam Douglas Benoît Allemane Sara Forestier Corinna Harfouch Paul Berrondo Éric Herson-Macarel David Calder Birgit Minichmayr Ramon Pujol Alexis Tomassian John Hurt Jacques Perrin Thierry Mugler Cinéma allemand Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Dans la France du XVIIIe siècle, naquit en 1738, Jean Baptiste Grenouille. Elevé dans un orphelinat jusqu'à l'âge de treize ans, peu sociable et fruste, Grenouille n'a pas d'autre passion que celle des odeurs, et chaque seconde de sa vie est guidée par ce sens surdéveloppé. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez Giuseppe Baldini, un maître parfumeur de la capitale qui profite ainsi de son don exceptionnel pour créer de nouvelles fragrances. Il découvre alors les techniques et les secrets de la fabrication des parfums. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'œuvre olfactifs, mais son unique obsession demeure l'odeur naturelle évanescente des jeunes femmes qui croisent sa route. Pour mettre en bouteille ce parfum envoûtant et en faire son ultime chef d'œuvre, il s'engagera sur une voie impensable ...
Note de contenu :
Différences avec le livre :
* La mère de Grenouille meurt décapitée dans le livre, alors que dans le film, elle est pendue.
* Dans le film, le personnage de Laure Richis a été rebaptisé Laura Richis.
* Toute la partie située à Montpellier est absente du film. Ainsi que celle du pic du Canigou.
* Le fils du baron de Bouyon, que devait épouser Laure Richis, a été rebaptisé marquis de Montesquieu.
* Grenouille est décrit comme laid dans le livre contrairement à son adaptation cinématographique.
* Mme Gaillard, qui a une vie très longue dans le livre, meurt égorgée juste après avoir vendu Grenouille dans le film.
* Grenouille ne rêve pas du tout de la jeune fille aux mirabelles, il n'aime que son parfum.
* Dans le livre la jeune fille porte des mirabelles, pas des reines claude.
* Le film n'évoque pas la première partie de la vie de Grenouille chez le père Terrier, puis en nourrice, il le place directement chez Mme Gaillard.
* Dans le livre Grenouille tue 25 femmes pour leur odeur alors que dans le film il en tue 14.
Niveau : secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303686 19 H.1.04339/15 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300020 18 H.1.03180 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300020.gifImage GIF
[n° ou bulletin]
Titre : 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles Ciment[n° ou bulletin] 643 - Septembre 2014 - Dossier "L'affiche de cinéma" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé visible ici :http://www.revue-positif.net/n643_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Image statique:Affiche
Education aux médias:Revues:PositifMots-clés : BenoîtJacquot Trois coeurs Thomas Cailley Les Combattants Marie Amachoukeli Claire Burger et Samuel Theis Party girl Andrei Zviaguintsev Levianthan Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Affiches
92 Les affiches de cinéma de l’avant-garde russe : Des tableaux de rues, Christophe Viart
95 Afficher la Nouvelle Vague, Pierre Bourdy
98 Gommer le superflu pour trouver l’essentiel : Raymond Savignac et le cinéma, Jacques Ayroles
100 L’affiche de cinéma polonaise : Chronique d’une mort annoncée, Maxime Lejeune
103 Saul Bass, affichiste de cinéma, Jean-Pierre Berthomé
106 Entretien avec Pierre Collier, affichiste : Synthétiser en une image le sens
profond du film, Yann Tobin
109 Bande et ciné, Gilles CimentExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400798 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400798.jpgImage Jpeg
[n° ou bulletin]
Titre : 623 - Janvier 2013 - Dossier "Figures et fleurons du studio Universal" Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Note générale : Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n623_files/sommaire.pdf Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Paul Thomas Anderson The Master Samuel Collardey Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Figures et fleurons du studio Universal
88 Un siècle de Universal, le choix des séries, Christian Viviani
92 Les étoiles filantes de Universal 1912-1962, Michel Cieutat
96 L’âge d’or du fantastique : À un nouveau monde de dieux et de monstres, Yann Calvet
100 Tout ce que le mélo permet : Causalité, coïncidences et destin chez John Stahl et Douglas Sirk, Pascal Binétruy
104 La grenouille et le scorpion… ou pourquoi Universal ne put s’empêcher de détruire La Soif du mal, Nachiketas Wignesan
107 Lew Wasserman, le dernier des nababs, Baptiste Villenave
111 L’Étrange Créature du lac noir, Philippe Rouyer
Universal Studios, 100 ans de cinéma, Christian Viviani
[n° ou bulletin] 623 - Janvier 2013 - Dossier "Figures et fleurons du studio Universal" [texte imprimé] . - 2014.
Sommaire détaillé ici : http://www.revue-positif.net/n623_files/sommaire.pdf
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Positif Mots-clés : Paul Thomas Anderson The Master Samuel Collardey Index. décimale : 75 Positif Note de contenu : Figures et fleurons du studio Universal
88 Un siècle de Universal, le choix des séries, Christian Viviani
92 Les étoiles filantes de Universal 1912-1962, Michel Cieutat
96 L’âge d’or du fantastique : À un nouveau monde de dieux et de monstres, Yann Calvet
100 Tout ce que le mélo permet : Causalité, coïncidences et destin chez John Stahl et Douglas Sirk, Pascal Binétruy
104 La grenouille et le scorpion… ou pourquoi Universal ne put s’empêcher de détruire La Soif du mal, Nachiketas Wignesan
107 Lew Wasserman, le dernier des nababs, Baptiste Villenave
111 L’Étrange Créature du lac noir, Philippe Rouyer
Universal Studios, 100 ans de cinéma, Christian Viviani
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400794 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
400794.jpgImage Jpeg PermalinkLe Film Noir / Noël Simsolo
PermalinkL'historien et le film / Christian Delage
PermalinkPetite anthologie des Cahiers du cinéma, I. Le goût de l'Amérique / Antoine de Baecque
PermalinkLes nuits fauves / Michel Condé
PermalinkLe western / Christian González
PermalinkL'avant-scène cinéma, 113. Les sept samouraïs (d'Akira Kurosawa) / Collectif
PermalinkAndrzej Wajda / Hadelin Trinon
PermalinkSjöström / René Jeanne
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