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15 recherche sur le mot-clé 'Un chien andalou'
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Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
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Titre : Webdog, la série qui a du chien Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Pierre Morales, Metteur en scène, réalisateur ; Julien Cernobori, Metteur en scène, réalisateur Editeur : ARTE Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire:Webdocumentaire
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : chiens Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : Observez les chiens. Que racontent-ils de nous ? Que racontent-ils de vous ? Qui tire la laisse ? Le maître ? Ou le chien ? Webdog est une série documentaire multimédia faisant le portrait d’êtres humains avec chiens. Le chien provoque chez son maître un plaisir de converser et de se raconter. On s’est dit qu’on tenait là unbon poste d’observation de la société actuelle : vie quotidienne travail, politique, amour, famille… les maîtres évoquent tous ces sujets avec une parole incroyablement libre. Ils nous plongent dans leurs représentations, dans leurs histoires personnelles. Au bout de la laisse, vous croiserez vos contemporains, avec leurs histoires à la fois singulières et surprenantes. Genre : webdocumentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://webdog.franceculture.fr/ Webdog, la série qui a du chien [document projeté ou vidéo] / Pierre Morales, Metteur en scène, réalisateur ; Julien Cernobori, Metteur en scène, réalisateur . - ARTE, 2013.
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Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:FictionMots-clés : chiens Index. décimale : 92.21 Webdocumentaire Résumé : Observez les chiens. Que racontent-ils de nous ? Que racontent-ils de vous ? Qui tire la laisse ? Le maître ? Ou le chien ? Webdog est une série documentaire multimédia faisant le portrait d’êtres humains avec chiens. Le chien provoque chez son maître un plaisir de converser et de se raconter. On s’est dit qu’on tenait là unbon poste d’observation de la société actuelle : vie quotidienne travail, politique, amour, famille… les maîtres évoquent tous ces sujets avec une parole incroyablement libre. Ils nous plongent dans leurs représentations, dans leurs histoires personnelles. Au bout de la laisse, vous croiserez vos contemporains, avec leurs histoires à la fois singulières et surprenantes. Genre : webdocumentaire Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://webdog.franceculture.fr/ Exemplaires
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Titre : Les remakes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Bourdon, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2012 Collection : Comprendre et reconnaître ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-584326-5 Note générale : Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les remakes [texte imprimé] / Laurent Bourdon, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2012. - (Comprendre et reconnaître) .
ISBN : 978-2-03-584326-5
Un remake (du verbe anglais to remake qui signifie « refaire »), ou une reprise, est un film adapté à partir d'un film existant précédemment. En fonction des choix des nouveaux réalisateurs et producteurs, le nouveau contenu peut être plus ou moins fidèle à l'original (certains sont des remakes plan par plan (en), comme Psycho de Gus Van Sant), mais il reprend toujours le scénario original qui a déjà été filmé, ce qui le distingue de l'adaptation cinématographique. Le terme est étendu à la télévision et aux jeux vidéos, où certaines séries et certains jeux ont connu des remakes.
Dans le cinéma américain on peut distinguer deux types de remake :
* Les remakes de films « anciens » (principalement américains ou anglophones, plus rarement étrangers), que l'on remet au goût du jour. Généralement, il faut compter une période d'au moins vingt ans pour qu'un film connaisse une nouvelle version.
* Les remakes de films étrangers contemporains, produits généralement peu de temps après l'original, et destinés en premier lieu à adapter une œuvre remarquée au public américain, majoritairement réfractaire à la lecture des sous-titres (le plus souvent la seule façon de voir un film tourné en langue étrangère aux États-Unis, le doublage des films étrangers étant très rare).
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : A bout de souffles made in usa a bout de souffle a bout portant les tueurs les amants diaboliques le dernier tournant les aventures de mister deeds l'extravant m.deeds les aventures du baron de munchausen les aventures fantastique du baron de munchhausen casbah pépé le moko la charette fantôme le cercle the ring le chacal les choristes la cage aux rosignols de batrre mon coeur c'est arrêté mélodie pour un tueur desperate hours la maison des otages le diable au corp diabolique les diaboliques elle et lui l'embrouille est dans le sac oscar en plein coeur en cas de malheur le facteur sonne toujours deux fois féline la féline guet-apens hantise gaslight l'homme à la chaussure rouge le grand blond avec une chaussure noire l'homme de la riviera bon le flambeur les infiltrés infernal affaiores intersection les choses de la vie king-kong le limier sleuth m m le maudit la maison de l'horreur la nuit de tous les mystères monsieur hire panique ocean's eleven l'inconnu de las vegas outland le train sifflera trois fois la petit boutique des horreurs psycho psychose rendez-vous avec le destin la rue rouge la chienne scarface la scoumoune un nommé la roca les sept samouraï les sept mercenaires sommerby le retour de martin guerre suspicion garde à vue le talentueux m. ripley plein soleil the long night le jour se lève trois hommes et un couffin trois hommes et un bébé Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : La pratique du remake existe dès les débuts du cinéma. Depuis, elle n'a cessé de prendre de l'ampleur, jusqu'à susciter de très officielles "foires aux remakes" où se discutent même des projets non encore filmés. Pourtant, cette possibilité de "refaire" des films est bien souvent dénigrée : la "copie" peut-elle rivaliser avec l'original ? Au lieu d'un hommage, n'est-elle pas plutôt une trahison à visée commerciale ? Une adaptation artificielle n'ayant d'autre but que de s'accorder avec le goût d'une époque ou d'un pays ? Partant de l'idée que chaque remake est, en quelque sorte, une aventure unique, cet ouvrage a choisi d'analyser une quarantaine de ces étranges couples "premake/remake". Grâce à des analyses aussi précises que passionnantes, on apprendra, par exemple, pourquoi le roman
américain Le facteur sonne toujours deux fois fut, d'abord,
adapté en France puis en Italie avant qu'Hollywood ne s'y intéresse ; comment le très parisien A bout de souffle de Jean-
Luc Godard a traversé l'Atlantique ; ce que les deux versions
de Guet-apens nous disent sur l'évolution des mœurs ; comment les Infiltrés de Martin Scorsese a été adapté d'une trilogie policière hongkongaise ... autant de raisons de considérer les remakes comme une catégorie cinématographique à part entière. Avec des fiches techniques complètes et comparatives, les résumés des scénarios, des bonus, des anecdotes ...Note de contenu : Les remakes se comptent par centaines voire par milliers dans l'histoire du cinéma. Dès 1896, Auguste et Louis Lumière font plusieurs versions de "L'Arroseur arrosé" afin de multiplier les angles de vue mais aussi pour fournir plusieurs copies. En revanche, les « remakes » du film "Voyage dans la Lune" de Georges Méliès en 1902, sont des plagiats.
Ils correspondent généralement à une minimisation de la prise de risque de la part de la production, s'appuyant le plus souvent sur la renommée d'un film célèbre, parfois aussi sur le désir de « dépoussiérer » un film moins connu ou pour le réalisateur de retravailler son propre film, comme "La Grande Évasion", "La Fille du désert" de Raoul Walsh ou encore "L'Homme qui en savait trop en 1934 et L'Homme qui en savait trop" (film, 1956) en 1956 d'Alfred Hitchcock. Le cinéma américain, plus que tout autre, y a eu abondamment recours (jusque dans les années 1960, il s'agit essentiellement d'un cinéma de reprise) en puisant dans ses propres films mais également dans les succès des cinématographies étrangères, auquel son public est assez hermétique. C'est ainsi que l'on trouve de nombreux films européens ou asiatiques contemporains et leur remake américain.
Pour les cinéphiles, les remakes peuvent présenter un intérêt car, présentant une vision différente de la même œuvre initiale, les différences sont révélatrices des caractéristiques de leur époque de réalisation. Ce peut être aussi l'occasion de faire des choix idéologiques ou politiques par exemple en remplaçant ou en supprimant certaines répliques. Les innovations technologiques telles que l'apparition du son, de la couleur, des animatroniques évolués ou encore les effets numériques sont autant d'évènements qui font que les remakes existent.
En 2010 est créé à Los Angeles le Remakes Market, salon qui permet la rencontre entre écrivains, éditeurs, réalisateurs, sociétés de production et distributeurs du monde entier.
Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304033 17 H.1.04521 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304033URL
Titre : Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Antxon Salvador, Auteur Editeur : Rome [Italie] : Gremese Année de publication : 2011 Importance : 282 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-88-7301-739-4 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Le cinéma espagnol : 250 films incontrounables de la cinématographie hispanique et latinoaméricaine, du cinéma sonore à nos jours [texte imprimé] / Antxon Salvador, Auteur . - Rome [Italie] : Gremese, 2011 . - 282 p.
ISBN : 978-88-7301-739-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiquesMots-clés : cinéma espagnol Amérique latine Almodovar Amenabar Bunuel Bayona Del Toro Inarritu L'Ange exterminateur Tout sur ma mère Labyrinthe de Pan L'Orphelinat d'Amours chiennes Mar adentro Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Almodovar, Amenabar, Bunuel... mais aussi Bayona, Del Toro, Inarritu : cet extraordinaire volume a le mérite de faire connaître, outre les productions des grands maîtres internationaux, d'autres cinéastes, d'autres histoires et genres cinématographiques qui - bien que (presque) totalement inconnus, pour nous ont, dans leur pays d'origine, attiré des millions de spectateurs dans les salles de cinéma, consacré des acteurs et actrices de talent, reflété des bouleversements politiques aux répercussions planétaires, porte des prix lors de compétitions prestigieuses et souvent influencé les styles et les thématiques des grands réalisateurs américains et européens. Fiche après fiche, ce livre raconte et synthétise - pour la première fois de manière aussi complète - le meilleur du cinéma en langue espagnole, plaçant côte à côte des films a but "commercial" et des films "engagés", les œuvres des réalisateurs les plus reconnus et les débuts des jeunes espoirs du cinéma mexicain ou uruguayen, des films distribués en France et d'autres uniquement a l'étranger. Avec pour résultat, non seulement une multitude d'informations, d'images et de noms, mais un cadre d'ensemble culturel et artistique d'une exceptionnelle profondeur, qui met en lumière des œuvres et des auteurs peu connus et enrichit d'un sens nouveau nombre de films célèbres, de L'Ange exterminateur a Tout sur ma mère, du Labyrinthe de Pan à L'Orphelinat, d'Amours chiennes à Mar adentro.Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303961 17 H.1.04460 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303961URL
Titre : Le court métrage Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Méranger Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-460-2 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le court métrage [texte imprimé] / Thierry Méranger . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2007 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm.
ISBN : 978-2-86642-460-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Court MétrageMots-clés : Production courts-métrages cinéma des premiers temps film à sketch un chien andalou Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Commencer à faire du cinéma, c'est souvent commencer par réaliser un premier court-métrage.
Le court-métrage recouvre toutes sortes d'initiatives, d'une durée généralement inférieure à une demi-heure. Les plus grands réalisateurs, comme Scorsese ou Godard, se sont illustrés à leurs débuts par des courts-métrages, et c'est sans doute dans les formes courtes que s'élabore la plus grande diversité d'expérimentations novatrices.
Dans les écoles de cinéma du monde entier, les étudiants réalisent des films de courte durée dans le cadre de leur apprentissage. Il existe aujourd'hui une profusion de moyens techniques bon marché (dont le téléphone portable) qui permettent aux jeunes gens passionnés de cinéma de passer à l'acte avec beaucoup plus de facilité et moins de contraintes extérieures...
Un ouvrage qui offre un panorama historique du court-métrage qui commença par être un film muet d'une bobine avant de devenir la première partie d'un programme dans les salles de cinéma.
Thierry Méranger apporte une dimension pragmatique à cet ouvrage en exposant comment, aujourd'hui en France, on peut produire un court-métrage, avec quels moyens, en s'appuyant sur quels réseaux, quelles subventions, et comment il est possible d'accéder à une diffusion en salle, en festival ou télévisuelle.Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302428 17 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 301266 21 H.1.04026 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
Le_court_métrageURL André Delvaux ou le réalisme magique / Adolphe Nysenholc
PermalinkPermalinkIberia / Carlos Saura
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink201/202 - Septembre-Octobre 1975 - Cinéma 201/202 - Spécial rentrée : le nouveau cinéma indien, le phénomène du cinéma porno, la chienne de Jean Renoir (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
PermalinkPermalinkEl Dorado - livret d'accompagnement
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